dimanche 1 février 2015

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  1. ©MARSEILLE POEME THOMAS ANDRE©

    Ville populaire et de vieilles traditions,
    Elle a connu nombre de civilisations,
    D’abord phénicienne, puis grecque, et romaine, enfin française, et libre,
    Elle est le résultat, de conquêtes, et d’acharnement pour être libre.

    Protectrice de la ville, la BONNE MERE,
    Appelée notre Dame de la Garde, veille sur la ville comme une mère.
    De là haut on voit toute la cité,
    Comme déposée à tes pieds, oh quelle belle cité !

    Ici, on te parle ballon,
    L’OM est le porte fanion,
    Gare, si tu n’y comprends rien au ballon,
    Va au stade vélodrome, tu te feras ton opinion.

    Le marseillais, c’est d’abord la pêche, et le vieux port,
    Où le nouveau ferry boat traverse le port,
    Celui de Marius et de César,
    Est malheureusement, parti au rencard.

    Tu verras dans certains bistrots encore, on joue à la belote,
    Ce jeu de cartes que Pagnol décrit si bien,
    Et qui pour nous, est comme un bien,
    La parlante, étant interdite à la belote.

    Chaud est notre soleil,
    Qui fait des milliers d’heureux, dans les touristes,
    Bronzants, et brûlants, durant leurs sommeils,
    Fada qu’ils sont de vouloir cuire, ce soir, ce ne sera pas triste.

    Nous, pendant ce temps, à l’ombre, on joue à la pétanque,
    Henri Salvador, adorait jouer à la pétanque.
    Et là, il n’y a plus d’amis, un point c’est un point,
    Et méfie à la Fanny, si tu veux que je tire, dis moi, à qui est le point.

    A ce moment là, on entend que cet accent,
    Et le son des cigales, qui pourtant, ne sortent que tous les 7ans,
    Allez vas y, frappe là, bravo, tu l’as eus au fer,
    Et les spectateurs, de constater, le carreau qu’il s’est offert.

    Après, on descendra la Canebière,
    Pour aller boire une bière,
    Il est fou celui là, ici, on boit le jaune, qui a un goût d’anis,
    Cela peut-être un Monaco ou vraiment un pastis.

    Ensuite, on prendra la voiture, et on ira sur la corniche,
    Où la méditerranée fait des siennes et creuse ses niches,
    Se brisant sur le sable de la plage des catalans,
    Ou va se faire voir, dans les criques en chahutant.

    Car chez nous, il y a un vent,
    Le Mistral, peuchère, il ne connaît pas ce vent,
    Qui, ne connaît pas le MISTRAL,
    Ne sait pas ce que voulait dire Frédéric Mistral.

    Alors, tu verras sur la mer, les vagues,
    S’amonceler, avant de se fracasser sur les rochers,
    Là, tu entendras le bruit de son souffle, et tu verras, la blancheur de l’écume des vagues,
    Déferler, et se précipiter, sur ses rochers.

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