mardi 11 avril 2017

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  1. 11-4-2017 interdiction BANDE SON PAR YOUTUBE CHANGEMENT BANDE SON
    THOMAS André,écrivain,poète,poème,
    Je me suis inspiré des photos&photos-peintures de la photographe d'art
    et créatrice de la photo-peinture MARTINE ANCIAUX http://www.anciaux-photos.fr
    http://www.anciauxmartine.com
    c'est en décembre 2011, pendant la période de noël,que j'ai écris ce texte,
    après avoir vu la parade Fantillusion du parc Disneyland PARIS.
    Cette parade ou les lumières brillaient de mille feux,ou les chars,
    Tout décorés avançaient au pas et ou petits et grands étions comme subjugués
    Par ce spectacle et ou les personnages jouaient avec nous et parachevaient
    La fête;
    ©LA PARADE POEME THOMAS ANDRE©

    Comme des enfants, nous nous étions mis, très au bord,
    Bien avant, qu'elle ne commence,
    Pour mieux la voir d'abord,
    L'apprécier ensuite, et surtout, se forger des images, comme une semence,

    Pour que notre cerveau d'adulte, puisse voir le rêve,
    Ce que dès l'enfance, nous cherchons sans trêve.
    Voir ce passage de chars, tous illuminés et décorés,
    Qui nous évoquent, notre jeunesse toute dorée.

    Le long cortège, se promène,
    Avec des sensations diverses,
    Quelle chance, il ne pleut pas averses,
    Ne voulant rien manquer de ces attractions, qui nous emmènent

    Dans le monde merveilleux de Walt Disney,
    Où bien sûr on ne peut manquer Mickey,
    Nos yeux cherchent ces lumières,
    Et quand enfin nous les découvrons, nous n'en sommes pas peu fier,

    En fait un sentiment couvre tout le reste,
    C'est la garniture qui complète l'approche par un zeste,
    Non de citron, mais de personnages,
    Qui dans notre esprit n'ont plus d'âge.


    L'enfant qui sommeille, en nous,
    Se remémore, de tout, vous le savez bien, vous,
    Quand petit, nos parents nous amenaient voir, ces dessins animés,
    Qui nous rendaient sages, et intrigués, le temps de ces films animés.

    Pendant la séance, bizarrement les enfants faisaient silence,
    Et découvraient l'image du bien, et du mal,
    Voyant au cinéma, où peut se cacher le mal,
    Et adorant, quand le bien, finissait par gagner, avec patience.


    Ces lampes qui éclairent, cette route,
    Où le public est massé, comme des rangs d'oignons
    Complètement amassés pour voir, ce défilé si mignon.
    Ne pensant qu'à une chose, voir le beau cortège, sur cette route.

    Pleinement à ce spectacle,
    Nous ne cherchons, qu'à voir ce spectacle,
    Qui nous propulse, dans un autre monde,
    Et nous accompagne un moment, loin de la dure réalité, de notre monde.

    Quand le dernier char, est passé,
    On court, pour plus loin, le voir repasser,
    Comme si on voulait, que jamais ne s'arrête, cet instant,
    Ce moment, d'intense bonheur de ce présent si important.

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