dimanche 22 mai 2016

©HDCOEURTHOMASAndréMartineANCIAUXCreatorPhotoPaintiingMondepompierDocteu...

1 commentaire:

  1. 23/5/2016 MISE A JOUR ET CONTESTATION à YOUITUBE sur le refus de la musique du aux droits d'auteurs
    BONJOUR,
    Je voudrais que vous m'enleviez svp l'interdiction sur la bande son instrumentale du photo-poème le coeur,d'avance un très grand merci, car cette musique exprime la sentimentalité, et le ressentit de nos coeurs, une puissance d'amour, que tout être humain peut un jour ressentir, d'avance un grand merci, et je pense surtout a ces opérés du coeur, ou ses victimes de crise cardiaques dans le monde, ce diaporama est pour eux. merci
    MARTINE ANCIAUX
    11-09-2015 mise à jour de ce photo-poème
    Ajoutée le 21 mai 2015
    THOMAS ANDRE, auteur, écrivain ,poète, http://thomasandre.orgfree.com/poemes.html,
    MARTINE ANCIAUX, photographe d’art,créatrice de la photo-peinture, photo painting,
    Martine ANCIAUX, creator of the photo painting, new art of the photo painting, art photographer,
    http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com
    Ce photo-poème est différent des autres, en effet il s’inspire beaucoup du Cœur, au point
    De vue scientifique, médical, et à l’opposé, fait vivre le vrai cœur de monsieur, et madame tout le monde,UN BOJOUR A TOUS LES CARDIAQUES
    Pressé de vivre le grand amour, de ressentir le grand frisson, de profiter de la vie,
    De tenter l’aventure, de profiter des bonnes choses, de sentir vibrer ce cœur.
    Comment lier les deux ? THOMAS André
    ©MON CŒUR PÖEME THOMAS ANDRE©

    Lorsque mon cœur dans ma poitrine ne battra plus,
    Et que tu ne sauras pas, pourquoi je n’y suis plus,
    Tu devras penser, que ce battement n’a point cesser pour toi,
    Et que même mort, il bat encore pour toi.

    Comme notre amour, qui sera toujours éternel,
    Tu auras la charge, de penser à toi,
    Même si ce n’est pas, de ton goût à toi,
    Et alors, peut-être même, un jour de Noël,

    Sans que même, tu t’y attendes,
    Tu sentiras frémir, le battement de ce cœur délaissé,
    Tu ne sauras pas pourquoi, comme une offrande,
    Il voudra retrouver sa nouvelle vérité, comme si, il était lassé,

    De souffrir, de ne plus s’extasier,
    De ne plus savoir apprécier,
    Alors, comme un esclave révolté,
    Dans un chahut impressionnant, il aura hâte de récolter,

    La sève dont il est issu,
    Et dont ta marche sans issue,
    Le forcer, à survivre,
    Lui qui ne voulait, que vivre.

    Et étonné, sans le vouloir,
    Sans même le savoir,
    Tu t’accrocheras petitement, comme au commencement, un arbre,
    Avant de devenir, plus bruyant, et fort comme un arbre.

    RépondreSupprimer