vendredi 10 avril 2015

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1 commentaire:

  1. le 10-04-2015
    mise à jour,titre,tags,et présentation de ce photo-poème
    ©Site poèteThomasandréphotophotopeintureMartineAnciauxcreatorphotopaintingTvwebmondeordinateur©

    Ajoutée le 24 août 2012
    Musique "Le Monde Est Fou, Le Monde Est Beau (A Veces Tu A Veces Yo)" de Julio Iglesias

    THOMAS ANDRE, poète, écrivain, poème,thomasandre.orgfree.com,
    s'est inspiré
    Des superbes photos& photos-peintures de MARTINE ANCIAUX photographe d'art
    Et créatrice de la photo-peinture,Martine ANCIAUX creator of the photo painting, new art of the photo painting,art photographer,
    http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com
    pour accompagner son photo-poème le site.
    Je compare la signification différentes des mots, et l'oublie de certains,
    Une perte de vocabulaire et de culture lié au développement de la technologie moderne

    © UN SITE POEME DE THOMAS ANDRE©

    Il n’y a pas si longtemps, ce mot désignait un lieu,
    On arrivait même à y associer, le mot beauté,
    C’était bien avant le GPS, et la localisation des lieux.
    Un temps néanderthalien du 20ème siècle, et de son humanité,

    Et le vocabulaire a évolué à une vitesse extravagante,
    Au 21eme siècle, ce terme n’est plus vrai, réalité flagrante.
    N’oubliez jamais, avant la révolution technologique, la vie existait,
    Phrases et mots aussi, moins d’anglicismes étaient utilisés,

    Le français se parlait encore,
    Les livres et les copies n’étaient pas des SMS,
    L’écriture était d’une utilisation normale encore,
    Au moment des mobiles, on ne se parla plus que par SMS.

    Les enfants s’enchaînaient aux téléphones,
    L’addiction était terrible,
    On ne pouvait plus vivre, sans son téléphone,
    Chaque jour, il y en avait des nouveaux, c’était horrible.

    Cette dépendance était remarquable,
    Grâce à des sites internet, ils se propageaient de façon inéluctable.
    Changeant l’apparence du monde, au dehors de la vie,
    Les écouteurs, dans les oreilles étaient synonymes de survie,

    Un site était devenu, un endroit marchant,
    Où s’exposaient les envies de notre monde,
    Les internautes, des cosmonautes de la communication,
    Sans qu’on s’en aperçoive, nous étions les jouets de la mondialisation.

    Des navigateurs n’étaient plus des hommes de la mer,
    C’étaient des moyens de se déplacer sur la toile,
    Pas celle des peintres, non celle du web qui comme l’araignée tisse sa toile,
    A qui cela profite t-il, cela est sûr mais insondable comme la mer.

    Et nous qui sommes les témoins du binaire,
    Restons coi, devant ce phénomène extraordinaire,
    Subissant la loi du progrès, sans jamais le domestiquer,
    Nous sommes les esclaves de la modernité, qui devons nous apprivoiser.

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