vendredi 3 avril 2015

©Oùestpassé monChevalBleu poèmeTHOMASandré GilbertBécaud Martine Anciaux...

1 commentaire:

  1. Mon dernier photo-poème
    amicalement Martine ANCIAUX
    THOMAS ANDRE, auteur, écrivain ,poète, http://thomasandre.orgfree.com/poemes.html,
    MARTINE ANCIAUX, photographe d’art,et créatrice de la photo-peinture, photo painting,
    Martine ANCIAUX creator of the photo painting. new art of the photo painting, art photographer,
    http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com
    il y a trente cinq ans déjà,
    J’ai eu la chance de le voir en direct
    A l’opéra théâtre d’Avignon,
    Celui que l’on appelait monsieur 100 000 volts
    Et plus généralement Monsieur Gilbert BECAUD.
    La chanson, le cheval bleu me souleva, et me fit avoir au fonds de moi, encore plus d’enthousiasme.
    Dans son récital, ou je me régalais, et comble de bonheur,
    Après son tour de chant, il nous dédicaça son disque,
    Avec une gentillesse, et une façon simple de nous mettre à l’aise,
    « ALORS COMMENT TU AS TROUVE LE SPECTACLE »
    JE LUI DIS EN TOUTE FRANCHISE QUE C’ETAIT FORMIDABLE.
    Aussi ce chanteur, et cet homme merveilleux, n’a jamais pu être remplacé,
    Et de temps en temps, j’aime à pouvoir, moi le poète, lui rendre hommage.
    N’oublions pas les compositeurs de gilbert becaud, louis amade,pierre delanoë,
    Maurice vidalin, Charles Aznavour, Frank Thomas, Pierre Grosz,
    Serge Lama, Claude Lemesle,Didier Barbelivien, Luc Plamondon.

    ©Ou Est Mon Cheval Bleu, Poème Thomas André©
    Musique et Chanson Gilbert Bécaud, Paroles Louis Amade

    La 1ère fois, que j’ai entendu cette chanson,
    C’était au théâtre opéra d’Avignon,
    Ce soir là, ma star préférée Gilbert Bécaud y chanté,
    Nous offrant son récital, et nous fûmes tous enchantés.

    Pour moi, Monsieur 100 000 volts c’était la passion,
    C’était une voix, une mélodie, des textes, et aussi une interprétation,
    Qui te traversaient, et te faisaient entrer dans son monde, et te donnaient des sensations,
    Alors comme un enfant en admiration,

    Tu n’avais plus d’yeux, que pour cet homme spectacle,
    Et Dieu sait, qu’il en faisait un beau spectacle,
    Toi, dans ton siège, tu n’y tenais plus,
    La moindre parole, la moindre note, provoquait en toi, comme un plus.

    Nous étions dans les années 1980, et la France riait,
    Il chanta sa nouvelle chanson, le cheval bleu,
    Immédiatement, je dis à ma femme, il faut que j’achète ce cheval bleu,
    Les mots, et la musique, m’interpellaient, et me tiraillaient.

    Ce cheval volant transportant tous nos rêves,
    A l’époque, le virtuel n’existait pas,
    Seul le cinéma, nous menait dans les rêves,
    Il était un précurseur, de nos prochains pas,

    Où Le moment allait venir, où l’informatique,
    Allait nous propulser, dans l’illogique,
    Pouvant même créer, des tendances fanatiques,
    Sur des sujets, mal dans leurs peaux, et frénétiques.

    Pour moi, l’homme à tendance à oublier, son côté humain,
    Se réservant, des jours sans lendemains,
    Où le rêve, ne sera plus, et la vie, sera si dure, et si absente de compassion,
    Que l’être, ne pourra être que malheureux, et sans aucune concessions.

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