MARTINE ANCIAUX PHOTOGRAPHE D'ART www.anciaux-photos.fr
met ce blog pour la diffusion de ces photos peintures et veut aussi faire découvrir sa facon de ressentir la photgraphie,SON ART;
Le temps change la partition de la musique, Suivant son état d’esprit on peut être classique, Ou totalement rythmique, La course des notes n’en est que plus artistique.
Nous sommes dans ce cas souvent imprévisibles, Cela me fait penser aux icebergs si peu visibles. Notre esprit à la dérive nous entraîne soit vers l’harmonie, En diffusant en nous cette douce mélodie,
Soit un besoin extrême de bruits en cascade, Et alors nous voici dans l’escalade. Vociférant avec ce que l’on entend, Comme si ce besoin de hurler nous détend.
Nous dé stressant de cette vie moderne, Qui nous échappe comme le son dans une caverne. Toujours à cran, toujours plus vite, Nous fonçons à toute vitesse sans aucune limite.
Souvent, on nous dit prends le temps de vivre, Mais à cet instant là, je ne peux que survivre. Rattrapé par les malheurs, Je sens que me fuit le bonheur.
Qui n’a jamais songé à une chanson, Provoquant un mélange de sensations, Libérant sa sensibilité comme un vent de pulsions, S’entendant fredonner par envie cette chanson.
Et se mettre à la réécouter, Comme une rengaine aujourd’hui délaissée, L’humain a dans ces gênes, la musicalité Car chaque bruit du monde contient cette musicalité.
Et il est triste pour les non entendants, De ne pas avoir la possibilité de capter tous ses sons assourdissants. Aussi, toi le jeune qui met à fond ton MP3, ne l’oublie pas, Car dans vingt ans, alors, tu seras de ceux qui n’entendent pas.
Je ne suis pas un moraliste, mais j’aime la vérité, Sachant, malheureusement, que parfois elle fait très mal. Et pouvoir l’entendre, n’est peut être pas un mal. Ta vie est devant toi, construit là, le mieux possible dans la sincérité.
le 23-11-2014
RépondreSupprimermise a jour titre et tags de ce photo-poème mis en ligne sur youtube le 19-08-2011
©MA VIE EN MUSIQUE poème THOMAS André
Le temps change la partition de la musique,
Suivant son état d’esprit on peut être classique,
Ou totalement rythmique,
La course des notes n’en est que plus artistique.
Nous sommes dans ce cas souvent imprévisibles,
Cela me fait penser aux icebergs si peu visibles.
Notre esprit à la dérive nous entraîne soit vers l’harmonie,
En diffusant en nous cette douce mélodie,
Soit un besoin extrême de bruits en cascade,
Et alors nous voici dans l’escalade.
Vociférant avec ce que l’on entend,
Comme si ce besoin de hurler nous détend.
Nous dé stressant de cette vie moderne,
Qui nous échappe comme le son dans une caverne.
Toujours à cran, toujours plus vite,
Nous fonçons à toute vitesse sans aucune limite.
Souvent, on nous dit prends le temps de vivre,
Mais à cet instant là, je ne peux que survivre.
Rattrapé par les malheurs,
Je sens que me fuit le bonheur.
Qui n’a jamais songé à une chanson,
Provoquant un mélange de sensations,
Libérant sa sensibilité comme un vent de pulsions,
S’entendant fredonner par envie cette chanson.
Et se mettre à la réécouter,
Comme une rengaine aujourd’hui délaissée,
L’humain a dans ces gênes, la musicalité
Car chaque bruit du monde contient cette musicalité.
Et il est triste pour les non entendants,
De ne pas avoir la possibilité de capter tous ses sons assourdissants.
Aussi, toi le jeune qui met à fond ton MP3, ne l’oublie pas,
Car dans vingt ans, alors, tu seras de ceux qui n’entendent pas.
Je ne suis pas un moraliste, mais j’aime la vérité,
Sachant, malheureusement, que parfois elle fait très mal.
Et pouvoir l’entendre, n’est peut être pas un mal.
Ta vie est devant toi, construit là, le mieux possible dans la sincérité.