MARTINE ANCIAUX PHOTOGRAPHE D'ART www.anciaux-photos.fr
met ce blog pour la diffusion de ces photos peintures et veut aussi faire découvrir sa facon de ressentir la photgraphie,SON ART;
Quand la nature s’éveille, à la nouvelle saison, Celle, de l’éclatement des bourgeons, de mère nature, Et de la vie, aussi bien animale, que végétale, embellissant cette saison, Que l’on nomme le printemps, celle, ou l’énergie se restructure.
Dans ce jardin, ou chaque fleur, Qui S’épanouit sur sa branche, afin que de fleur, Elle devienne fruit, Et fasse sa vie, sans bruit.
Admiratif, devant la parade de cette tourterelle, devant ma fenêtre, Et en même temps surpris, par son attitude, Dans ces jours de printemps, sous notre latitude, Que mon regard restera longtemps rivé, sur cette fenêtre.
Cette danse amoureuse, de ces perroquets, Au parc de Sigean, célébrant les beaux jours, En jouant la parade amoureuse, avec leurs plus beaux atours, C’est là, que se gagne, ou se perd la maternité, madame perroquet!
Et quoi d’autre encore, que ces petites marguerites, S’épanouissant sur cette herbe verte,et fraîche, Montrant leurs pétales, et leurs couleurs si fraîches, Et se disposant, sur ce parterre, comme pour des rites,
Alors, dans notre région, si belle, Je prendrais un bateau, pour voir le bleu de la mer, Et comme un touriste, je profiterais de ce voyage en mer, Chassant au loin, la froideur de l’hiver, pour apprécier, cette méditerranée si belle.
Et dans mon rêve, tu ne serais pas partie, tu serais avec moi, Je te rechercherais, pour finalement te retrouver, afin de vivre notre histoire, Comme ces couples, d’un amour sans nuages, et qui écriront leurs histoires Et moi, tout seul, je te crierais, ne pars pas, reste avec moi.
MON DERNIER PHOTO-POEME
RépondreSupprimerAMICALEMENT MARTINE ANCIAUX
©SAISONS DE VIE POEME THOMAS ANDRE©
Quand la nature s’éveille, à la nouvelle saison,
Celle, de l’éclatement des bourgeons, de mère nature,
Et de la vie, aussi bien animale, que végétale, embellissant cette saison,
Que l’on nomme le printemps, celle, ou l’énergie se restructure.
Dans ce jardin, ou chaque fleur,
Qui S’épanouit sur sa branche, afin que de fleur,
Elle devienne fruit,
Et fasse sa vie, sans bruit.
Admiratif, devant la parade de cette tourterelle, devant ma fenêtre,
Et en même temps surpris, par son attitude,
Dans ces jours de printemps, sous notre latitude,
Que mon regard restera longtemps rivé, sur cette fenêtre.
Cette danse amoureuse, de ces perroquets,
Au parc de Sigean, célébrant les beaux jours,
En jouant la parade amoureuse, avec leurs plus beaux atours,
C’est là, que se gagne, ou se perd la maternité, madame perroquet!
Et quoi d’autre encore, que ces petites marguerites,
S’épanouissant sur cette herbe verte,et fraîche,
Montrant leurs pétales, et leurs couleurs si fraîches,
Et se disposant, sur ce parterre, comme pour des rites,
Alors, dans notre région, si belle,
Je prendrais un bateau, pour voir le bleu de la mer,
Et comme un touriste, je profiterais de ce voyage en mer,
Chassant au loin, la froideur de l’hiver, pour apprécier, cette méditerranée si belle.
Et dans mon rêve, tu ne serais pas partie, tu serais avec moi,
Je te rechercherais, pour finalement te retrouver, afin de vivre notre histoire,
Comme ces couples, d’un amour sans nuages, et qui écriront leurs histoires
Et moi, tout seul, je te crierais, ne pars pas, reste avec moi.