MARTINE ANCIAUX PHOTOGRAPHE D'ART www.anciaux-photos.fr
met ce blog pour la diffusion de ces photos peintures et veut aussi faire découvrir sa facon de ressentir la photgraphie,SON ART;
Tout petit déjà, son père qui était marin, L’amener contempler la mer les jours de grandes marées. Et conscient des risques de la mer, il lui expliquait le milieu marin, L’invitant a être humble lors des grandes marées.
Sur ce promontoire qui dominait l’océan, Il l’invitait toujours à observer attentivement cet océan. Rappelle toi, toujours la terre est à nous, l’eau est au poisson, Et l’homme malgré tout son désir est encore loin d’être redevenu un poisson.
Mon fils quand tu seras grand, souviens en toi toujours, Nous sommes petits sur cette terre, Car nous ne maîtrisons pas tout, ne serait ce que les jours, Le soleil malgré son lever quotidien, n’éclaire pas tout le temps la terre.
Pour ce garçon, le bon sens de son père était fantastique, Il l’aurait écouté des heures, Cette philosophie qu’ont ces pécheurs, Est une source de jouvence et de clarté systémique.
Cette vague qui éclatait sur ce rocher, Etait immense pour l’enfant, Le bruit de l’océan se fracassant, Faisait craindre la mort du rocher.
Pourtant avec un courage exemplaire, Il regardait ce paysage dantesque, Qui s’offrait à ses yeux éclaboussés par les embruns parcellaires, Et qui le trempaient, cela aurait pu être burlesque,
Mais là, au contraire le marin jugeait son ami, Qui par gros temps devenait son ennemi. Ici aussi, dans ce métier rien n’est facile, Et encore plus par ces temps difficiles.
le 24-11-2014
RépondreSupprimermise à jour titre et tags et presentation de ce photo-poème mis en ligne sur youtube le 02-09-2011
amicalement martine anciaux
©L’ENFANT ET LA MER POEME THOMAS ANDRE©
Tout petit déjà, son père qui était marin,
L’amener contempler la mer les jours de grandes marées.
Et conscient des risques de la mer, il lui expliquait le milieu marin,
L’invitant a être humble lors des grandes marées.
Sur ce promontoire qui dominait l’océan,
Il l’invitait toujours à observer attentivement cet océan.
Rappelle toi, toujours la terre est à nous, l’eau est au poisson,
Et l’homme malgré tout son désir est encore loin d’être redevenu un poisson.
Mon fils quand tu seras grand, souviens en toi toujours,
Nous sommes petits sur cette terre,
Car nous ne maîtrisons pas tout, ne serait ce que les jours,
Le soleil malgré son lever quotidien, n’éclaire pas tout le temps la terre.
Pour ce garçon, le bon sens de son père était fantastique,
Il l’aurait écouté des heures,
Cette philosophie qu’ont ces pécheurs,
Est une source de jouvence et de clarté systémique.
Cette vague qui éclatait sur ce rocher,
Etait immense pour l’enfant,
Le bruit de l’océan se fracassant,
Faisait craindre la mort du rocher.
Pourtant avec un courage exemplaire,
Il regardait ce paysage dantesque,
Qui s’offrait à ses yeux éclaboussés par les embruns parcellaires,
Et qui le trempaient, cela aurait pu être burlesque,
Mais là, au contraire le marin jugeait son ami,
Qui par gros temps devenait son ennemi.
Ici aussi, dans ce métier rien n’est facile,
Et encore plus par ces temps difficiles.