lundi 24 novembre 2014

©CommelaRosepoèteThomasandréMartineAnciauxcréatricedelaphotopeintureartc...

1 commentaire:


  1. le 25-11-2014
    mise à jour titre et tags de ce photo-poème mis en ligne sur youtbe le 08-09-2011
    amicalement Martine ANCIAUX

    Mise en ligne le 8 sept. 2011
    THOMAS ANDRE, auteur, écrivain ,poète, http://www.thomasandre.c.la/,
    MARTINE ANCIAUX, photographe d’art,et créatrice de la photo-peinture, photo painting,
    Martine ANCIAUX creator of the photo painting. new art of the photo painting, art photographer,
    http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com
    le poete THOMAS ANDRE S'EST INPIRE DE MES PHOTOS &PHOTOS-PEINTURES POUR ECRIRE CE BEAU PHOTO-POEME ET il en a rédigé la description.

    J'ai écris un photo-poème sur une musique de ELVIS PRESLEY
    Où l'héroïne est une rose fleur et parfois femme,
    Fleur aux multiples couleurs et aux milliers de significations en amour,
    Tu as un nom que tous le monde connaît,
    je t'ai baptisé pour ce poème ROSE DE VIE,
    Car tu entraines avec toi la vie, et le bonheur,
    Rejetant au loin le malheur,
    Tu imposes tes couleurs et tes désirs,
    Et tu fais naître chez elle son instinct de plaisir.

    ©COMME LA ROSE POEME THOMAS ANDRE©


    A mon réveil tu étais là, toi qu’on appelle Rose,
    Tu m’as fait écrire cette prose,
    Pour te magnifier, toi qui pour moi est la plus belle des fleurs.
    Tes pétales s’entrouvrant comme des cœurs,

    Annonçant tes précieuses senteurs,
    Divulguant tes plus belles couleurs,
    Magnifiant mon jardin de tes parfums,
    Qui envoûtent l’esprit lorsqu’il est en parfum.

    Et comme ses abeilles qui te butinent,
    Je mets mon nez pour te respirer,
    Me délecter de ton odeur qui s’obstine,
    A me conduire vers toi pour te posséder.

    Des spécialistes te donneront un nom,
    Et le marchand de fleurs écrira ton nom,
    Pour que le public puisse te choisir,
    Et que demain, en son jardin tu puisses sortir.

    Faisant de l’homme qui t’a choisis,
    Un jardinier conquis,
    Qui n’aura de cesse de te montrer,
    Comme un de ses trésors fabuleux, acquis et à préserver.

    Et soudain comme par enchantement,
    Il déclamera quelques vers futiles,
    Où des grandes pensés subtiles
    Que tu lui auras fait naître subrepticement.

    Et d’un trait, il énoncera sa vérité,
    Tu es la lumière de mon jardin,
    Tu éclaires ton entourage par ta magnificence libérée,
    Tu présides comme un marbre de Rodin.

    Te laissant faire, par l’homme de ta vie,
    Celui qui t’a donné la vie,
    En te soignant par tous les temps,
    Et lui accaparant sa marche du temps.

    Sur, qu’il ne le regrettera pas,
    Mais sera triste que tu ne puisses vivre plus longtemps,
    Qu’un trajet d’une journée de soleil au pas,
    Et t’en aller, en t’effeuillant pour pouvoir t’éteindre discrètement.

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