MARTINE ANCIAUX PHOTOGRAPHE D'ART www.anciaux-photos.fr
met ce blog pour la diffusion de ces photos peintures et veut aussi faire découvrir sa facon de ressentir la photgraphie,SON ART;
Il est des hivers beaucoup plus rigoureux, Que nos habitudes, et là, nous constatons nos limites, Et cela ne plaît, à aucun de nous, Dans le Gard, la glaciation du GARDON Se passa le 14-2-2012, LE JOUR DE LA SAINT VALENTIN
Quand l’eau frissonne trop, Alors se produit, un phénomène étrange, L’eau, par réaction chimique, en glace s’arrange, Et ce gentil cours d’eau, frémissant devient, une patinoire de trop.
On se sent, submergé de froideur, Comme si la cryogénie en nous, devenait effective, Malgré nos marches, et nos gestes qui s’activent, La morsure de l’hiver, nous glace en profondeur.
Ce vent, qui s’appelle le mistral, nous pénètre profondément, Et malgré nos vêtements vendus si chaud, on se sent éperdument, Envahi de cet atroce picotement, Qui comme des aiguilles, nous transpercent lamentablement.
Qui ne connaît pas le vent, ne peut ressentir telles sensations, C’est comme un supplice, sur nos peaux sous pressions, Le seul rémède, est l’arrivée dans une maison, bien chauffée, Ou après ce terrible moment, il fera bon se réchauffer.
PRESENTATION©HDdiaporama Gel dans le Gard Pont St Nicolas & Pont submersible de Dions
RépondreSupprimerPhoto&Photo-Peinture Anciaux MartineMondeTvWeb 14-2-2012©
Il est des hivers beaucoup plus rigoureux,
Que nos habitudes, et là, nous constatons nos limites,
Et cela ne plaît, à aucun de nous,
Dans le Gard, la glaciation du GARDON
Se passa le 14-2-2012, LE JOUR DE LA SAINT VALENTIN
©HIVER POEME THOMAS André 5-2-2018©
Quand l’eau frissonne trop,
Alors se produit, un phénomène étrange,
L’eau, par réaction chimique, en glace s’arrange,
Et ce gentil cours d’eau, frémissant devient, une patinoire de trop.
On se sent, submergé de froideur,
Comme si la cryogénie en nous, devenait effective,
Malgré nos marches, et nos gestes qui s’activent,
La morsure de l’hiver, nous glace en profondeur.
Ce vent, qui s’appelle le mistral, nous pénètre profondément,
Et malgré nos vêtements vendus si chaud, on se sent éperdument,
Envahi de cet atroce picotement,
Qui comme des aiguilles, nous transpercent lamentablement.
Qui ne connaît pas le vent, ne peut ressentir telles sensations,
C’est comme un supplice, sur nos peaux sous pressions,
Le seul rémède, est l’arrivée dans une maison, bien chauffée,
Ou après ce terrible moment, il fera bon se réchauffer.