lundi 26 février 2018

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  1. 16-02-2016 Mise à jour,
    Mon regard cherche à percer ce rideau,
    De brume, qui m'empêche de distinguer l'obstacle dans ce rideau,
    Je suis impuissant, malgrè mes efforts a voir,
    Comme si mes yeux ne pouvaeint plus voir .
    THOMAS André
    21-5-2015 Mise à jour
    Ajoutée le 4 janv. 2013
    THOMAS ANDRE, poète et écrivain,thomasandre.orgfree.com
    Je me suis inspiré des magnifiques photos & photos-peintures,
    De la photographe d'art, créatrice de la photo-peinture,art photographer,creator of the photo painting, photo painting,
    new art of the photo painting,MARTINE ANCIAUX
    Ce photo-poème est enregistré avec les Musiques de PAUL DECOMBLE
    La brume: fines gouttelettes,où fins cristaux de glace,phènomène physique
    Quand l'atmosphère est saturé en humiditè.
    Cela se nomme une définition de dictionnaire, et d'encyclopédie.froide,brute et parfois simpliste.
    pour moi THOMAS André, il y a 4 sortes de brume, une météorologique, une due à l'abus d'alcool, ou de matière dangereuse pour le cerveau humain, et aussi illicite, et celle plus complexe, et plus difficile, quand notre vie se retrouve confronté à plusieurs choix, et que l'on doit prendre très rapidemment une décision. et celle poètique et romantique.
    Quand par la fraîcheur de la nuit, au lever du soleil, un voile épais recouvre les prairies,
    Je me sens transporté, par cette brume, qui permet aux animaux, et même aux humains,
    De se dissimuler, sans le chercher, en pleine nature, mais aussi sentir cette humidité
    Qui te pénètre et te glace les os, alors le poète cherche le biais à cette froideur,
    Dans ce mur de silence qui l'entoure, il interprète un concerto de mots, et s'épanche
    en douceur sur son bloc, là il sera prêt à accepter les mauvaises conditions du temps
    ©BRUME POEME THOMAS ANDRE©
    Quand au point du jour, l’horizon est pris par la brume,
    Inconsciemment, je sens poindre l’hiver,
    Alors la blancheur, revêtira ces arbres dans le lointain couvert de brumes,
    Et la neige, leur offrira leurs vestes d’hiver.

    Les ensevelissant d’une couche épaisse, et mœlleuse,
    Semblant les protéger, comme logés dans une caisse,
    Pour une expédition lointaine,
    Les enveloppant comme un cadeau de Noël, d’une façon prodigieuse.

    De la rive, je vois se lever notre soleil,
    Souvent, sa couleur me fascine,
    Et je reste en pleine réflexion, devant la beauté de notre soleil.
    Comme les enfants, en s’endormant après une comptine.

    Au loin dans la vallée, la terre arrive à se confondre au ciel,
    Surtout, lorsque ce voile épais, recouvre les versants,
    Donnant une impression, de butée à notre regard, pourtant si persan,
    Alors comme pour se repérer, mes yeux se portent vers le ciel,

    Et je constate avec stupeur,
    Le peu de champs, qui s’offre à ma vue,
    Et cherchant dans ma tête un repère, je constate avec terreur,
    Que point n’en trouve, sur cet axe convenu.

    Aussi je sens en moi, un besoin de prière,
    Et je m’épanche vers DIEU,
    En formulant, à voix haute ma prière,
    Comme un cri de malaise, ma voix, et mon regard, convergent vers DIEU.

    Me sentant comme mes ancêtres, incapable de trouver mon chemin,
    Je crie ma peur, pour qu’il me montre le chemin.
    Une impression diffuse se propage en moi,
    Une certitude se fait jour, et là, je sens ma foi

    Qui me permet de mieux juger,
    De mieux apprécier, les inconvénients,
    Témoignant en mon corps, une certaine réalité à mieux jauger,
    Me donnant une force, pour affronter cette difficulté sereinement.

    Viens le temps du raisonnement,
    Finis le manque de jugement,
    Comme par miracle, cette incertitude au fond de moi disparaît,
    Laissant place, à une résolution qui transparaît.

    La brume hivernale nous conforte dans la joie,
    Celle de la crèche, et la venue de l’enfant JESUS,
    Le père Noël participant à la fête, apportant lui aussi des cadeaux, à l’enfant JESUS.
    Et me rappelant la magnificence de NOËL, et sa joie.

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