mercredi 31 mai 2017

©HD FAIS COMME L'OISEAU MICHEL FUGAIN A.THOMASphotopeintureM.ANCIAUXNatu...

1 commentaire:

  1. 1-6-2017
    AMIS INTERNAUTES
    APRES INTERDICTION YOUTUBE SUR LA BANDE SON DE CE DIAPORAMA,J' jAI CHANGE LE TITRE DU DIAPO ,ET ON VERRA AMICALEMENT MARTINE ANCIAUX

    THOMAS ANDRE, auteur, écrivain ,poète, MARTINE ANCIAUX, photographe d’art,et créatrice de la photo-peinture,
    Martine ANCIAUX creatorofthephotopainting,newartphoto painting, artphotographer,L’automne c’est la saison où la faune et la flore se transforment, la flore se dépouille de ses ornements,la faune s’engraisse pour pouvoir hiverner, où faire comme les oiseaux, de grandes migrations pour avoir plus chaud.C’est aussi pour notre région languedoc roussillon, le moment ou nos villes et nos villagesRedeviennent des lieux de vie sans tourisme, c’est la période des vendanges,Enfin c’est l’instant où le peîntre du ciel,nous donne la palette Des couleurs sur ses arbres encore habillés, et qui ne tarderont pas à perdre leurs parures.
    ©L’OISEAU PECHEUR POEME DE THOMAS ANDRE©

    Par une belle journée d’automne,
    Lorsque le calme revient, dans notre méditerranée,
    Alors, on peut voir des choses presque surannées,
    Cela aussi, c’est l’une des belles figures d’automne.

    Sur cette mer, aux ressacs feutrés,
    Nous promenant, sur ce sable tous préparés,
    Cherchant des yeux un horizon introuvable,
    Un spectacle nous transporte vers l’incroyable.

    Nous assistons en spectateurs,
    A la danse de l’oiseau pécheur,
    Nous restons comme muets par ce spectacle,
    Ne cherchant qu’à apprendre en silence au dessous du spectacle.

    Mué comme par une ficelle invisible,
    Le volatil se déplace avec grande précision vers cet invisible,
    Cette unité qu’est la mer et ses secrets,
    Cherchant à savoir nous nous fîmes discrets.

    Alors commença cette approche,
    Si délicate, et de nous assez proche,
    Avec une dextérité digne d’un danseur étoile,
    Il interpréta son ballet devant le soleil, son étoile.

    Chaque coup d’aile était pensé,
    Comme un chef d’orchestre, au sommet de son art,
    Il évoluait avec grâce, et beauté, qui étaient complètement maîtrisées.
    Et comme une merveilleuse symphonie, il adapté ses mouvements à son art.

    Abasourdi par cette chorégraphie,
    Nous ne savions pas, comment nous placer, pour mieux rêver,
    Immobile, la photographe prenait des photos comme des radiographies,
    Le poète s’émerveillait, de tant de vivacité, et serait rester, des heures à l’observer.

    Enfin après maintes péripéties,
    A une vitesse folle, il plongea dans la mer,
    Laissant sans ressources sa proie, comme si c était écrit dans une prophétie,
    Alors un peu triste, pour la victime, nous quittâmes le bord de mer.

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