samedi 18 juillet 2015

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  1. le18-07-2015 mise à jour titre,tags,et présentation de ce photo-poème
    Ajoutée le 9 sept. 2013
    Musique "Sunbeams On the Water" de Jo Marten
    THOMAS ANDRE,écrivain,poète,auteur,poésie,poème,
    thomasandre.orgfree.com
    MARTINE ANCIAUX,photographe d'art,crèatrice de la photo-peinture.
    http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com
    Musique « Balade pour 2 amis » par Paul Decomble
    Qui est indépendant du temps, et qui ne varie pas avec lui,
    les valeurs, sont des vérités intemporelles,
    transmises de générations en générations, en conditionnant le moi profond de l'homme.
    Pour moi,la vérité,l'amour,le deuil,la religion,la philosophie,le destin,l'univers,le temps,et l'histoire sont,
    et deviennnent intemporelles,
    translated by Google translation
    THOMAS ANDRE, writer, poet, author, poetry, poem,
    thomasandre.orgfree.com
    MARTINE ANCIAUX, art photographer, creator of the photo-painting.
    http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com
    Music "Walk for 2 friends" by Paul Decomble
    Which is independent of time, and that does not vary with him,
    values are timeless truths,
    transmitted from generation to generation, conditioning the inner self of man.
    For me, truth, love, grief, religion, philosophy, destiny, the universe, time, and history,
    and on become timeless,

    INTEMPOREL POEME THOMAS ANDRE

    Au fil du temps, lorsque raccourcissent les jours,
    Et que les matins, m’éloignent de la chaleur des beaux jours,
    Mon esprit vagabonde, et se remémore pour toujours,
    Les douceurs de cet été, où toi et moi, fêtions nos amours.

    Après de longs échanges amicaux,
    Où nous nous plaisions à nous rencontrer,
    Un sentiment très étrange, s’est immiscé changeant nos égaux,
    Modifiant l’approche, de nos rencontres si recherchées.

    Tu étais plus proche de moi,
    J’arrivais presque à venir à toi,
    Ce long chemin, qui fait que l’amitié, se transforme en un grand amour,
    Nous pénétrait progressivement, et nous faisait aimer, encore plus nos jours.

    La plage et son ressac, orchestraient nos discours,
    Et là, des hypothèses de vies se dessinaient,
    Nous menant paradoxalement, vers notre couple de toujours,
    Toi l’optimiste, moi le pessimiste, restait notre destin à cheminer.

    Drôle de vie, l’ouverture est souvent, au bout du chemin,
    Comme lorsqu’on rentre dans un tunnel, il nous tarde d’en voir la lumière,
    Nos yeux en cherchent la fin,
    Comme si l’obscurité nous angoissait, attendant enfin, ce rai de lumière.


    Depuis ta disparition, je n’ai pas voulu chercher,
    Mais la vie, s’est pris un malin plaisir, à la rechercher,
    Et au moment, où je doutais le plus,
    Elle s’est avancée, surpris par tant de spontanéité, ce signal était la preuve de plus.

    La désespérance, n’est pas le propre de l’homme,
    Son parcours, est plus complexe,
    Il est parsemé, de tribulations convexes,
    Ne le limitant pas, dans son destin d’homme.

    Mais dans un espace plus grand, et moins physique,
    Que l’on nomme parfois l’intemporel,
    Ou, parfois même l’irréel,
    Enclenchant dans nos vies, des réactions surnaturelles, et chimiques.

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