jeudi 2 juillet 2015

©HD WHISKYCollectionpoèmeTHOMASAndréphotos&photos-peinturesANCIAUXMartin...

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  1. THOMAS ANDRE,écrivain,poèteMARTINE ANCIAUX,photographe d’art,créatrice de la photo-peinture,Martine ANCIAUX creator of the photo painting,ceci est en aucun cas un plaidoyer pour l’alcool,qui se nomme le whisky,mais simplement le constat d’un fait,la collectionnite aiguê se niche partout,même dans les flacons de ce breuvage.
    C’est en rentrant dans ce restaurant,que j’en ai été convaincu.Pour ma part,je n’ai jamais aimé l’alcool,car je trouve que sous son effet, l’homme,ou la femme,ivres deviennent des déchets,et même peuvent être très dangereux,pour eux même,et leurs entourage.
    ©WHISKY POEME THOMAS ANDRE©
    Ce n’est pas une ode à l’alcool,
    C’est montrer, jusqu’où peut se cacher, l’âme d’un collectionneur,
    De méticuleuses recherches, pour trouver, et prouver, l’universalité de cet alcool,
    Le whisky, et ses flacons si différents, et si riches, pour le collectionneur.
    Ce fluide, dont je vous parle, n’est pas réservé pour l’ivresse,
    C’est une confrontation, de ses qualités, et défauts, et même parfois de sa jeunesse.
    D’un parfum différent, qui vous invite quand même, à de la méfiance,
    Et qui vous entraîne, dans le royaume des coupes, et des alliances.
    Nous livrant,de subtiles mélanges,
    Comme dans l’assemblage du vin, après les vendanges,
    Ouvrant son cœur, pour marquer sa signature,
    Et qui scelle une paternité juste, et une ossature.
    Ces bouteilles, alignées sur ces étagères,
    Avec, pour chacune un nom, mais de provenances étrangères,
    Que l’on qualifierait ,de whisky du monde,
    Et ne se volatilisant pas dans les ondes,
    Mais se créant, un chemin dans des palais délicats, et connaisseurs,
    Pour se mesurer à un standard, et devenir la référence ,de ses ôtes buveurs,
    Pas ceux qui roulent sous la table,
    Non au contraire, ceux qui comme par challenge, jugent le nectar à table.
    Ceux, qui dans le vin, sont des oeunologues,
    Et qui peuvent classer une bouteille, avec la régularité d’un métronome,
    Sans erreur, et avec prestidigitation, comme un cycliste lors d’un prologue,
    Qui engrange les kilomètres, en se livrant sans paraître économe.

    Il est aussi grisant que de sentir cette odeur,
    Caractéristique, et en même temps dévastatrice, si on en abuse,
    Comme le goupil, ce breuvage, agit avec ruse,
    Ou de simple dégustateur, on peut en devenir, un infâme buveur.
    Ces récipients, qui enserrent cet alcool, et en amplifient la teneur,
    Par leurs couleurs, et leurs diversités, magnifiant cette liqueur,
    Et nous laissant ébahis, devant tant de différences, pour ce simple whisky,
    Que seul un obstiné dénicheur, a pris patience, pour embellir encore plus ce whisky.
    First of all this is by no means a plea for alcohol, which is called whiskey,
    but simply the finding of a fact, acute collectionnite nests everywhere, even in the bottles of this beverage.
    On returning to this restaurant, I'm convinced.
    For my part, I have never liked alcohol, because I think in effect, man or woman, drunk
    become waste, and even can be very dangerous to themselves and their surroundings.

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