MARTINE ANCIAUX PHOTOGRAPHE D'ART www.anciaux-photos.fr
met ce blog pour la diffusion de ces photos peintures et veut aussi faire découvrir sa facon de ressentir la photgraphie,SON ART;
Alors,il devient incontrôlable, Engendrant des phénomènes palpables, Comme une surtension, Comme une explosion
Ou les souvenirs le submergent, Et qui souvent,relance la tête dans la gamberge, Tu vois rien n'est simple,toi qui de la haut,me surveille, Et je sais que sans relâche,tu me veilles.
Comme notre amour,qui sera toujours éternel, Tu auras la charge,de penser à toi, Même si ce n’est pas, de ton goût à toi, Et alors,peut-être même,un jour de Noël,
Sans que même,tu t’y attendes, Tu sentiras frémir,le battement de ce cœur délaissé, Tu ne sauras pas pourquoi,comme une offrande, Il voudra retrouver sa nouvelle vérité,comme si,il était lassé,
De souffrir,de ne plus s’extasier, De ne plus savoir apprécier, Alors,comme un esclave révolté, Dans un chahut impressionnant,il aura hâte de récolter,
La sève dont il est issu, Et dont ta marche sans issue, Le forcer,à survivre, Lui qui ne voulait,que vivre.
Et étonné,sans le vouloir, Sans même le savoir, Tu t’accrocheras petitement,comme au commencement,un arbre, Avant de devenir,plus bruyant,et fort comme un arbre.
28-12-2017 ©LE TEMPS DU COEUR THOMAS André©
RépondreSupprimerContrairement à ce qu'en disent les gens,
Malgrè le temps,qui a passé, ET CE QUE VOIT LES GENS,
Mon coeur continue toujours,à battre pour toi,
Il a apprivoisé son rythme,mais quand quelque chose lui rappelle toi,
Alors,il devient incontrôlable,
Engendrant des phénomènes palpables,
Comme une surtension,
Comme une explosion
Ou les souvenirs le submergent,
Et qui souvent,relance la tête dans la gamberge,
Tu vois rien n'est simple,toi qui de la haut,me surveille,
Et je sais que sans relâche,tu me veilles.
Et moi souvent, je t'appelle
Pour que de notre bonheur,tu te rappelles,
Et tu vois il y a très longtemps,
Mais pour moi ton départ à arrêter le temps;
7-10-2017 AMIS INTERNAUTES
LE COEUR peut-être malade de plusieurs façons
la romantique,quand le coeur bat la chamade,quand il voit sa dulcinée
la prèoccupante,alternant l'arythmie,ou la tachycardie
la définitive pas tous le temps,mais la crise cardiaque pardonne pas souvent
enfin il y a celui du coeur brisé,par la mort d'un proche ou un divorce,
Et malgré tout cela,nous humains arrivons a vivre . THOMAS André
23/5/2016 MISE A JOUR CONTESTATION à YOUTUBE sur le refus de la musique
BONJOUR,
Je voudrais que vous m'enleviez svp l'interdiction sur la bande son instrumentale du photo-poème le coeur,d'avance un très grand merci, car cette musique exprime la sentimentalité, et le ressentit de nos coeurs, une puissance d'amour, que tout être humain peut un jour ressentir, d'avance un grand merci, et je pense surtout a ces opérés du coeur, ou ses victimes de crise cardiaques dans le monde, ce diaporama est pour eux. merci
MARTINE ANCIAUX
11-9-2015 mise à jour
Ajoutée 21-5-2015
THOMAS André,écrivain ,poète,
MARTINE ANCIAUX, photographe d’art,créatrice photo-peinture,Martine ANCIAUX,creatorphotopainting,art photographer, photo-poème est différent des autres, en effet il s’inspire beaucoup du Cœur, au point De vue scientifique,médical,et à l’opposé,fait vivre le vrai cœur de monsieur,et madame tout le monde,
BONJOUR A TOUS LES CARDIAQUES
Pressé de vivre le grand amour,de ressentir le grand frisson,de profiter de la vie,
De tenter l’aventure,de profiter des bonnes choses,de sentir vibrer ce cœur.
Comment lier les deux ? THOMAS André
©MON CŒUR PÖEME THOMAS ANDRE©
Lorsque mon cœur dans ma poitrine ne battra plus,
Et que tu ne sauras pas,pourquoi je n’y suis plus,
Tu devras penser,que ce battement n’a point cesser pour toi,
Et que même mort,il bat encore pour toi.
Comme notre amour,qui sera toujours éternel,
Tu auras la charge,de penser à toi,
Même si ce n’est pas, de ton goût à toi,
Et alors,peut-être même,un jour de Noël,
Sans que même,tu t’y attendes,
Tu sentiras frémir,le battement de ce cœur délaissé,
Tu ne sauras pas pourquoi,comme une offrande,
Il voudra retrouver sa nouvelle vérité,comme si,il était lassé,
De souffrir,de ne plus s’extasier,
De ne plus savoir apprécier,
Alors,comme un esclave révolté,
Dans un chahut impressionnant,il aura hâte de récolter,
La sève dont il est issu,
Et dont ta marche sans issue,
Le forcer,à survivre,
Lui qui ne voulait,que vivre.
Et étonné,sans le vouloir,
Sans même le savoir,
Tu t’accrocheras petitement,comme au commencement,un arbre,
Avant de devenir,plus bruyant,et fort comme un arbre.