MARTINE ANCIAUX PHOTOGRAPHE D'ART www.anciaux-photos.fr
met ce blog pour la diffusion de ces photos peintures et veut aussi faire découvrir sa facon de ressentir la photgraphie,SON ART;
le 23-07-2015 misà jour titre,tags et présentation de ce photo-poème Ajoutée le 9 oct. 2013 THOMAS ANDRE,écrivain,poète,auteur,poésie,poème, http://thomasandre.orgfree.com/, MARTINE ANCIAUX, photographe d'art, créatrice de la photo-peinture,PHOTO PAINTING, AND CREATOR OF THE PHOTO PAINTING, ART PHOTOGRAPHER? http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com
On a tous eus un jour, un moment de mélancolie, C'est l'instant, ou l'esprit, se nourrit des souvenirs du passé, Ceux qui malheureusement, sont bels et bien, tristes, et passés, Te laissant là, sans ressort et sans joie, dans une sorte d'atonie.
Ce moment, est souvent catastrophique, pour l'humain, Il est la source, de problèmes intérieurs, Des événements de son histoire, à jamais disparue, le laissant seul, sans possible lendemain, Pourtant chaque être, doit pouvoir se battre, pour vivre sa vie d'humain. THOMAS André
Voici un photo-poème, sur cette mélancolie, qui parfois, en nous, nous ronge.
Comme ce chien, qui hurle dans la nuit, Comme ce cheval, seul dans sa prairie, Comme cette vache, qui te regarde, car elle s'ennuie, Comme tout un chacun, tu connais la mélancolie.
Toi, qui était habitué, à ce qu'elle soit là, Aujourd'hui, tu regrettes ce temps là, Les engueulades, comme les rires, A l'instant, il n'y a même plus de sourires.
Et tu écoutes, cette musique, Et comme un fou, tu chantes ces harmoniques, Balbutiant, au travers de tes pleurs, Tout ce temps, que t'accompagne tes douleurs.
Dans la tombée du soir, Tu te retrouves seul, comme dans un miroir, Cherchant au travers, de l'appartement, Si elle n'est pas là, dans cet immense appartement.
Mais non, tu ronges ta peur, Celle de ne plus la revoir, quelle terreur, Tu te hasardes, prés du pick-up, qui joue un de ces airs préférés, Comme ci cela pouvait, la faire revenir, et retrouvé ta bien aimée, ta préféré.
Alanguit par les notes, de ces belles chansons, Tu te laisses aller, dans ton chagrin, Depuis qu'elle n'est plus là, tu as perdu ton chemin, Et même la vie, n'est plus à tes yeux, cette douce chanson.
Alors, comme un somnambule, Dans ces pièces, tu déambules, Cherchant ton trésor disparut, Et auquel comme un naufragé, tu cherches, cette disparut.
Regardant lentement, les notes qui s'enfuient, Et loin d'elle, aujourd'hui encore, tu la poursuis. Tu erres, dans le noir, Comme tu le fais, chaque soir.
Ta puissance à oublier le malheur, s'est tarit, Et tu as beau te raisonner, s'en est ainsi, Comme un homme, qui n'a plus de but, Tu es devenu esclave, de ta mélancolie, dans quel but ?
le 23-07-2015 misà jour titre,tags et présentation de ce photo-poème
RépondreSupprimerAjoutée le 9 oct. 2013
THOMAS ANDRE,écrivain,poète,auteur,poésie,poème, http://thomasandre.orgfree.com/,
MARTINE ANCIAUX, photographe d'art, créatrice de la photo-peinture,PHOTO PAINTING, AND CREATOR OF THE PHOTO PAINTING, ART PHOTOGRAPHER?
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com
On a tous eus un jour, un moment de mélancolie,
C'est l'instant, ou l'esprit, se nourrit des souvenirs du passé,
Ceux qui malheureusement, sont bels et bien, tristes, et passés,
Te laissant là, sans ressort et sans joie, dans une sorte d'atonie.
Ce moment, est souvent catastrophique, pour l'humain,
Il est la source, de problèmes intérieurs,
Des événements de son histoire, à jamais disparue, le laissant seul, sans possible lendemain,
Pourtant chaque être, doit pouvoir se battre, pour vivre sa vie d'humain.
THOMAS André
Voici un photo-poème, sur cette mélancolie, qui parfois, en nous, nous ronge.
©MELANCOLIE POEME THOMAS ANDRE©
Comme ce chien, qui hurle dans la nuit,
Comme ce cheval, seul dans sa prairie,
Comme cette vache, qui te regarde, car elle s'ennuie,
Comme tout un chacun, tu connais la mélancolie.
Toi, qui était habitué, à ce qu'elle soit là,
Aujourd'hui, tu regrettes ce temps là,
Les engueulades, comme les rires,
A l'instant, il n'y a même plus de sourires.
Et tu écoutes, cette musique,
Et comme un fou, tu chantes ces harmoniques,
Balbutiant, au travers de tes pleurs,
Tout ce temps, que t'accompagne tes douleurs.
Dans la tombée du soir,
Tu te retrouves seul, comme dans un miroir,
Cherchant au travers, de l'appartement,
Si elle n'est pas là, dans cet immense appartement.
Mais non, tu ronges ta peur,
Celle de ne plus la revoir, quelle terreur,
Tu te hasardes, prés du pick-up, qui joue un de ces airs préférés,
Comme ci cela pouvait, la faire revenir, et retrouvé ta bien aimée, ta préféré.
Alanguit par les notes, de ces belles chansons,
Tu te laisses aller, dans ton chagrin,
Depuis qu'elle n'est plus là, tu as perdu ton chemin,
Et même la vie, n'est plus à tes yeux, cette douce chanson.
Alors, comme un somnambule,
Dans ces pièces, tu déambules,
Cherchant ton trésor disparut,
Et auquel comme un naufragé, tu cherches, cette disparut.
Regardant lentement, les notes qui s'enfuient,
Et loin d'elle, aujourd'hui encore, tu la poursuis.
Tu erres, dans le noir,
Comme tu le fais, chaque soir.
Ta puissance à oublier le malheur, s'est tarit,
Et tu as beau te raisonner, s'en est ainsi,
Comme un homme, qui n'a plus de but,
Tu es devenu esclave, de ta mélancolie, dans quel but ?