lundi 24 septembre 2018

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  1. 25-9-2018

    ©COMME LA ROSE POEME THOMAS ANDRE© 4-5-2017

    A mon réveil tu étais là, toi qu’on appelle Rose,
    Tu m’as fait écrire, cette prose,
    Pour te magnifier, toi qui, pour moi est la plus belle des fleurs.
    Tes pétales s’entrouvrant comme des cœurs,

    Annonçant, tes précieuses senteurs,
    Divulguant, tes plus belles couleurs,
    Magnifiant mon jardin, de tes parfums,
    Qui envoûtent l’esprit, lorsqu’il est en parfums.

    Et comme ces abeilles, qui te butinent,
    Je mets mon nez, pour te respirer,
    Me délecter de ton odeur, qui s’obstine,
    A me conduire vers toi, pour te posséder.

    Des spécialistes, te donneront un nom,
    Et le marchand de fleurs, écrira ton nom,
    Pour que le public, puisse te choisir,
    Et que demain, en son jardin tu puisses sortir.

    Faisant, de l’homme qui t’a choisie,
    Un jardinier conquis,
    Qui n’aura de cesse, de te montrer,
    Comme un de ses trésors fabuleux, acquis et à préserver.

    Et soudain, comme par enchantement,
    Il déclamera, quelques vers futiles,
    Ou des grandes pensées subtiles
    Que tu lui auras fait naître, subrepticement.

    Et d’un trait, il énoncera sa vérité,
    Tu es la lumière, de mon jardin,
    Tu éclaires ton entourage, par ta magnificence libérée,
    Tu présides, comme un marbre de Rodin.

    Te laissant faire, par l’homme de ta vie,
    Celui qui t’a donné, la vie,
    En te soignant, par tous les temps,
    Et lui accaparant, sa marche du temps.

    Sur, qu’il ne le regrettera pas,
    Mais sera triste, que tu ne puisses vivre plus longtemps,
    Qu’un trajet, d’une journée de soleil au pas,
    Et t’en aller, en t’effeuillant, pour pouvoir t’éteindre discrètement.

    PRESENTATION©HDFLEURSpoèmeTHOMASAndré photos&photos-peinturesANCIAUX Martinecréatricephoto-peinturemondetvwebArtéducationamourvie©

    THOMASAndré,poète,écrivain,auteur
    MARTINE ANCIAUX, photographed’art,créatricedelaphoto-peinture,
    MartineANCIAUXcreatophotopainting,art photographer,
    http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com

    ©LA FLEUR POEME THOMAS ANDRE© 12-02-2016

    Fleur, tu es souvent, l’inspiration du poète,
    Tu es aussi son imaginaire, la musicalité des rimes du même poète,
    Ta fébrilité, et tes couleurs, ensemencent sa plume, et créent ses écrits,
    Comme l’agriculteur, fertilise sa terre, qui nous nourrit.

    A la puissance, du symbole de la fleur,
    Le faiseur de rimes, idéalise la femme, qui est fleur,
    Et la couvre, de ses mots
    Pour en faire une complainte, de bons mots.

    Alors, dans cette nature si belle,
    Toi, de petit bouton, tu deviens fleur,
    Jusqu’aux moments, où on te pleure,
    Et de beauté, tu deviens dans notre esprit parure de belle.

    Alors, comme par magie, la sensibilité des mots, éclot des mains du poète,
    Sous sa plume, tu reprends forme
    Et loin de te laisser pour compte, il verbalise ta forme,
    Pour que l’éternité, se souvienne, de ta beauté, et des vers du poète.

    Cet amalgame entre, la poésie, et la nature,
    Existe, depuis la nuit des temps,
    Et c’est comme si, la montre de notre humanité, signifiait ce temps,
    Alors on peut dire, qu’à jamais sont liés, l’homme et la nature.

    translated by Google translation

    © FLOWER POEM THOMAS ANDRE © 12-02-2016

    Flower, you are often the inspiration of the poet,
    You're also his imagination, musicality rhymes of the poet himself,
    Your excitement and your colors, sow his pen, and create his writings,
    As the farmer fertilizes his land that feeds us.

    A power, the symbol of the flower,
    The maker of rhymes, idealizes the woman, who is flower,
    And the covers of his words
    To make a complaint, good words.

    So, in this nature so beautiful,
    You, small button, you become flower,
    Until moments where you cry,
    And beauty, you become our beautiful adornment mind.

    Then, like magic, the sensitivity of the words, hatched the hands of the poet,
    Under his pen, you take away form
    And far to leave you to account, verbalize your form,
    For eternity, remember, your beauty, and to the poet.

    This amalgam between poetry and nature,
    Existed since the dawn of time,
    And it's like, watch our humanity, meant this time
    So we can say that never relate, man and nature.

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