mardi 27 mars 2018

©HD ParcsNationauxUSA n°4 2008 Lake Powell

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  1. Présentation HDdiaporama Parcs Nationaux USA n°4 Lake Powell & Colorado river 2008 Photo&Photo-Peinture Anciaux MartinemONDEtvWEB
    THOMASANDRE,poète,écrivain,
    MARTINEANCIAUX,photographed’art,créatricedelaphoto-peinture,creatorphotopainting,
    Art 21ème Siècle, art photographer,

    ©LAKE POWELL poème THOMAS ANDRE©

    Comme ces cavaliers traversant cette route,
    Qui semble conduire à nulle part,
    Dans la chaleur de juin ils vont au pas vers un autre part,
    Nous en voiture scrutons cette armée en route.

    Au loin, au milieu d’un lac, un énorme rocher sert de tour,
    Comme aux échecs, il supervise l’axe vertical et horizontal,
    S’abrogeant le droit de cacher la vue au-delà de sa tour.
    Un banc de sable nous dirige vers ce lieu minéral.

    Ce bleu intense fondu dans cette couleur sable,
    A quelque chose d’étrange,
    On dirait que tout a été étudié surtout tout ce sable,
    La pierre se dresse comme un lieu de vie qui dérange.

    Elle, à la façon du règne animal, marque son territoire,
    Scindant en deux l’étendue d’eau,
    Et la séparant de son histoire,
    Celle de la continuité de sa masse d’eau.

    Plus loin sur ce lac, il y a une cité lacustre,
    Qui n’est pas là depuis des lustres,
    Mais qui marque sa place, grâce à ces bateaux maisons,
    Donnant lieu à un village flottant de maisons.

    Cet aspect insolite se renforce,
    Par la présence du barrage hydraulique,
    Qui dégage dans ses gorges une telle sérénité et une force,
    Par la hauteur de son poitrail qui donne un aspect physique.

    Aller au LAKE POWELL, sans faire une promenade en bateau,
    Serait complètement irresponsable,
    Car là, c’est dans un dédale de rochers insondables,
    Que notre périple se fera sur ce bateau.

    ©COLORADO POEME THOMAS ANDRE©

    Lors de notre séjour à Moab,
    Nous avons eu la chance de visiter le parc national de MOAB,
    Le parc de ARCH VALLEY, CANYONSLAND, et le fleuve « COLORADO »,
    Surnommer ici la RED RIVER ou l’espoir d’un eldorado.

    En effet après les conquérants espagnols, la ruée vers l’or,
    Nous fîmes la descente de la rivière rouge,
    Il me vint à l’esprit, qu’on était loin de la couleur de l’or,
    Et que nous étions dans le territoire des indiens, aussi nommés peaux rouges.

    Je me souvins avoir vu à LAKE POWELL, cet immense barrage,
    Qui était domestiqué, c’était le Colorado.
    Sur ce lieu, ce fleuve était bleu,
    Et sans aucun partage, il étalait sa couleur le bleu,

    C’était comme un joueur de poker, étalant sa couleur,
    Remportant le tapis, avec bonheur,
    Il montrait sa détermination, pour gagner,
    Et imposait sa façon de jouer.

    A LAKE POWELL, j’avais fait une ballade,
    A Canyons land, je l’avais dominé,
    A MOAB, tout ce travail, sur des pierres m’avait fasciné,
    Et maintenant, j’allais aller sur la Red River, en promenade.


    Je fus impressionné, par la beauté de ces rives,
    Nous étions, sur un bateau à fond plat,
    Notre guide était le maître à bord, et nous expliquait la richesse sur ces rives.
    Et la couleur de cette eau, sans en faire un plat.

    Nous arrivâmes à croiser, un ami concurrent,
    Car le commandant, est aussi possesseur de son bateau,
    Et du car qui permet de le tracter, et Dieu sait, si ce n’est pas évident,
    Et comme par enchantement, ce fut un merveilleux tour de bateau.

    La rivière était surmontée,
    Par de nombreux à pic,
    Qui nous surplombaient,
    Et qui exposaient leurs formidables beautés, ainsi que leurs pics.

    Comme à regret, nous finissions
    Cette somptueuse promenade,
    Les yeux pleins de beautés, de cette ballade,
    Et notre bateau, s’en allait vers de nouvelles excursions.

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