vendredi 28 juillet 2017

©L'INFIDELITE POEMETHOMASANDRE PHOTOS

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  1. 28-7-2017
    AMIS INTERNAUTES
    MUSIQUE INTERDITE PAR YOUTUBE CHANGEMENT BANDE SON

    THOMAS ANDRE poète,écrivain,http://www.thomasandre.c.la/
    MARTINE ANCIAUX photographe d'art, créatrice de la photo peinture,
    http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com ,
    L'infidélité, un concept de vie pour certains, dont les valeurs sont,
    Le mensonge, et la duperie, ainsi que l'hypocrisie.
    Qui n'a pas connu, des enfants dans ces jeunes années,
    Qui se sentaient trahis,
    Par leurs pères, ou leurs mères infidèles.
    A notre époque complètement dépréciée,
    On veut montrer la traîtrise, la roublardise, le fait, de faire du mal,
    À soit disant, celle qu'on aime, comme une chose tout à fait normale.
    Quelle grossière erreur, dans les valeurs qu'ils restent dans notre société.
    En effet, ne pas respecter la femme qu'on aime, ou qu'on a aimé, est indigne
    De l'être humain, surtout qu'à notre époque, il n'existe presque plus de mariages,
    Suite au dénigrement de son concept par ce gouvernement,
    Alors oui, dire à la personne intéressée,
    Qu'on la trompe, c'est faire acte de franchise et de respect de l'autre.
    Moi qui ai en aberration l'infidélité, j'ai voulu mettre en vers, ce mot,
    Qui pour moi, est une insulte, pour les êtres humains.

    ©L'INFIDELITE POEME THOMAS ANDRE©

    C'est le royaume de la tromperie,
    C'est le monde de la duperie,
    C'est le domaine de l'hypocrisie,
    C'est le moyen des lâches et de la sournoiserie.

    Il est des femmes, et des hommes, dont l'infidélité est leurs valeurs,
    Peu importe pour l'autre les douleurs,
    Incapable de vrais sentiments,
    Ce sont des individus qui ne vivent qu'en se fourvoyant constamment.

    Se jouant des êtres, que soient disant, ils aiment,
    Ils sont inaptes à comprendre, cette nécessité de l'unicité
    Ce besoin que tout être devrait connaître, la sincérité,
    Egoïste comme il y en a peu, ils s'aiment.

    Laissant derrière eux, les pleurs,
    Jouant souvent de leurs pouvoirs,
    Pour éblouir et s'octroyer a ce qu'il pense tous les avoirs,
    Sans se rendre compte d'engendraient que des malheurs.

    Peu importent les dégâts qu'ils occasionnent,
    Là, n'est pas leurs problèmes, ils faut qu'ils se positionnent,
    Pour assouvir leurs soif de conquêtes,
    Leurs plaisirs étant leurs principales requêtes.

    Sont ils des hommes, ou des femmes, au sens juste du terme,
    Celui des sentiments, celui de l'amour, de la compréhension,
    Je ne le pense pas, car si peu enclin au vrai terme,
    Celui de l'amour unique, fort, et de grande dimension,

    Que la blessure de l'outrage, serait terrible, et plus une vie,
    Que le chagrin occasionnait, ferait rompre le lien,
    Que cette masse de malheurs accumulés dissolverait le lien,
    Celui du mariage, et du partage, enlevant l'amour de sa vie.

    Nous en avons connu de ces personnages, un que l'on nommé le roi de l'anaphore,
    Toujours enclin à des mots peu comiques, mais surfant sur l'anaphore,
    Semant enfants comme moissons,
    Et les laissant là, pour s'encanaillait de sa dernière soit disant passion.

    Plus, dure sera la chute,
    Car, là, point de parachute,
    La disgrâce étant le point de non retour de la liaison,
    Afin, que le tombeur, puisse continuer à son gibier, sa prochaine liaison.

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