mercredi 6 juillet 2016

©MARTINE ANCIAUX THOMAS ANDRE NATURE©

1 commentaire:

  1. THOMAS André,poète,écrivain,
    MARTINE ANCIAUX,photographe d’art,créatrice de la photo-peinture, Martine ANCIAUX creator of the photo painting,art photographer,http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com

    ©Le cycle de la nature poème Thomas André©

    La venue du printemps s’annonce par la naissance de la fleur,
    Qui habille l’arbre de ses belles parures,
    Le transformant par l’apparition de couleurs,
    Alors, tel un mannequin il offre aux spectateurs sa verdure.

    Qui va se faner, ou se transformer par l’arrivée de l’été et sa chaleur.
    Alors assoiffé, il attendra les quelques gouttes d’eau pour se remettre en valeur,
    Ses branches aspirant cette humidité, qui lui permettra de résister au soleil.
    Et se montrera vaillant face au coucher de soleil.

    Quand les premières brumes automnales engendreront la chute de ses feuilles,
    Il ne se plaindra pas de se séparer de cette couverture.
    Il osera commencer, à montrer sa réelle architecture,
    Découvrant ses branches, et leurs structures dépouillées de ces feuilles.

    Aux premiers frimas de l’hiver, notre Arbre sera nu, et frigorifié.
    Se retrouvant livré à lui-même, frissonnant sous le vent glacial,
    Et à son pied, la neige le couvrira de son manteau blanc si spécial,
    Qui fait que l’on se trouve emmitouflé, et en même temps vitrifié.

    Alors, l’homme en son jardin,
    Attendra de revoir le chemin,
    Celui que sa marque a laissé,
    Pour que son petit éden soit matérialisé.

    Tel un animal ayant hiverné,
    Il patientera aux retours des jours ensoleillés,
    Et où, nature rime avec renaissance,
    Comme pour la femme qui attends une naissance.


    ©ZOO DE BEAUVAL POEME THOMAS ANDRE©

    Etrangement, avant le passage à la télévision d’un reportage sur ce zoo,
    Je ne connaissais pas ce zoo,
    Aussi intrigué, et curieux, nous partîmes à sa recherche,
    Folle épopée près des châteaux de la Loire, pour voir où il perche.

    Bien signalé, notre quête fut facile,
    A Saint Aignan, des panneaux de signalisations nous indiquaient notre but,
    Comme des aventuriers dont le chemin fut facile,
    Notre destination se faisait proche, nous touchions au but.

    Un hôtel accueillant, avec du personnel souriant,
    Et puis destination le Graal,
    Le fameux zoo de Beauval,
    En route par un chemin pédestre, nous entrions dans un parc très avenant.

    D’exclamations en surprises, nous voulions découvrir en vrais les pandas,
    De même que notre recherche était aussi axée sur les koalas,
    Force est de constater, que nos haltes furent nombreuses, et diverses,
    Des émerveillements sur ces oiseaux sous une légère averse.

    Ces félins et leurs comportements
    Comme intrigués des gens de l’autre côté de leurs cages,
    Ceux qui appareils photos et mobiles aux poings les observaient franchement,
    En fait de temps en temps, on se demandait qui étaient en cages?

    A l’approche des gorilles, sur le chemin,
    Nous avions la compagnie du paon, et de ses merveilleuses couleurs,
    Il avait l’air de nous indiquer le chemin,
    Puis comme un chasseur d’images à l’affût, nous mitraillons ces singes, qui semblent être douceurs.

    Avançant à marche forcée, pour ne rien manquer,
    Les manchots, Dieu que leurs attitudes étaient bizarres,
    Pour nous bipèdes, qui avons pour eux, une drôle de façon de marcher.
    Leurs éléments l’eau, alors là, plus rien n’est bizarre.

    Dans cette course aux pandas géants,
    Nous avons trouvé la porte de Chine,
    Et là, cette peluche qui se repose allègrement, c’est notre panda géant !
    Magnifique de décontraction, en pleine méditation, il tient bien de Lao TSEU, et de cette Chine.

    Quand devant des vitres, nous trouvons nos koalas,
    La sieste, est leur sujet de préoccupation,
    Demain, nous les verrons en mouvement, ces koalas,
    Pour moi une peluche plus petite mais très mignonne, que l’on voudrait avoir en pension.

    Il est déjà,l’heure de partir,
    Pourtant, je n’ai pu tout vous montrer, pour finir,
    Ce zoo, une merveille, un retour à notre mère nature,
    Cadre de vie splendide,qui contraste à notre jungle de tous les jours, qui jalonne notre aventure.

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