samedi 6 juin 2015

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1 commentaire:

  1. ©STEVEN SPIELBERG POEME THOMAS ANDRE ©

    STEVEN SPIELBERG, est un homme, un cinéaste, acteur, producteur que j'admire beaucoup,
    Qui n'a jamais peur de se remettre en question,
    Et de soulever en nous de plus amples questions,
    Au risque de nous interpeller, ce qu'il réussit à chaque coup.

    Il a le don de nous emmener ailleurs,
    Au cœur d'un suspense palpitant, dans le film Duel,
    Étudiant, ce fut mon premier film de Steven Spielberg, dans la dimension terreur,
    Cet automobiliste, poursuivit par ce camion, au conducteur fou, quel frayeur et quel duel,

    Lutter conte sa peur pour se sauver,
    Se surpasser pour essayer de survivre,
    Dans une bataille qui vous amène dans une folie meurtrière, pour de nouveau vivre,
    Quel cauchemar, il faut se battre avec l'énergie du désespoir, afin d' arriver.

    Autre film de terreur, les Dents de la Mer,
    Qui peut dire qu'il n'a pas ressenti de la frayeur,
    en visionnant les dents de la mer, Ne mentez pas, voilà vous y êtes, ce requin était effrayant,
    Je me rappelle, mes premiers bains après le film, étaient souvent angoissés par la vue de ce monstre terrifiant.

    Ensuite, toujours avec Spielberg, je partis vers les extra terrestres,
    Avec Rencontre du 3eme type, et cette drôle de musique,
    Différente, et inconnue, de nos oreilles terrestres,
    Alors je rencontrais E.T, et son désir de rentrer "maison", un besoin physique.

    Je vis l'arche perdue, et les Indiana Jones,
    Vous le comprendrez très vite, après chaque film, j'étais ce héros
    , Et pour les humoristes, je précise, j'étais bien un crack, comme mon héros,
    Cet Harrison Ford, sans peur, et inventif, il méritait son nom d'Indiana Jones.


    Vint la Couleur Pourpre, un film fantastique,
    Où, pour moi, le poète, l'expression des sentiments,
    Se développait au rythme des images magnifiques,
    Et je me sentis transporter, par l'histoire, et ses sentiments.


    Alors vint, Jurassic Park, l'aventure dans ce film, j'étais lilliputien,
    Fini mes airs de grandeurs, là, face à ces dinosaures,
    Pouvoir vivre comme un petit homme, Gulliver, c'était la bête, et moi toujours le lilliputien.
    Alors je fis face, et affrontais les dinosaures.

    Les hommes du feu d'Always, m'auraient été bien utiles,
    Pourtant ceux-ci, dans ce film, malgré toutes leurs volontés,
    N'arrivaient point à conjurer le feu, lutte féroce, et semblant inutile,
    Pourtant avec du courage, et la mort, ils réussirent à vaincre de cruelles vérités.

    Un film drame, la liste de Schindler,
    Une histoire vraie, sur des thèmes atroces,
    Où l'on voit l'homme, dans ces aspects destructeurs, et féroces,
    Et tout cela s'est passé, triste pour l'histoire humaine, mais quel film que la liste de Schindler.

    Et à l'heure, où j'écris ce poème, je m'apprête Monsieur STEVEN SPIELBERG,
    A aller voir à UZES, votre dernier film,
    Celui de l'histoire des USA, « LINCOLN », tout le monde, est dithyrambique pour ce fameux film,
    Moi, THOMAS, qui ne croit que ce qu'il voit, vous aurez mon avis plus tard, merci Monsieur STEVEN SPIELBERG.

    TRANSLATED BY GOOGLE TRANSLATION


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