jeudi 20 novembre 2014

©MontréalpoèmeTHOMASAndréphotoMartineANCIAUXcréatorofthephotopaintingart...

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  1. le 20-11-2014
    mise à jour titre et tags du photo-poème mis en ligne
    sur youtube le 11-05-2011


    MONTREAL ©POEME THOMAS ANDRE©

    Au survol de Montréal, on aperçoit l’île,
    Nous poserons nous sans encombre sur l’île.
    Comme ont dit maintenant pas de problèmes,
    Ce fut un atterrissage sans aucun problème.

    Surprise, on prend place dans des véhicules en hauteur,
    Mais je n’entends pas les moteurs,
    Après toutes les formalités,
    On fonce en voiture vers la grande cité.

    Quelle chance, ici on est comme chez nous,
    Les panneaux sont bien indiqués en français,
    Une très grande joie que d’entendre cet accent français,
    Dépaysé non, sauf que le canadien c’est plus difficile pour nous.

    Malgré ce petit air, on s’aperçoit très vite de l’influence Américaine,
    Ce mélange de culture est le plus de la culture canadienne.
    Direction le port, on va faire un tour sur le Saint Laurent,
    Et dire que nous aussi dans le Gard, on habite Saint Laurent.

    Embarquement, et de suite tout est différent,
    La terre s’éloigne et les immeubles,
    L’eau nous entoure, le courant est fort et surprenant,
    Les rives sont bien dessinées et pas meubles.

    La promenade est belle,
    Nous croisons la terre,
    Sur cette eau sans parcelle,
    Le vent nous enivre du parfum lointain de notre terre.

    Je me rends compte de mon ignorance,
    Sur ce fleuve majestueux et paraissant peu docile,
    Les industries sont là le long du fleuve et travaillent avec insouciance,
    Je ne sais pourquoi, je m’étais imaginé cet endroit plus tranquille.

    Songeant aux oiseaux qui nous suivent,
    Comme lorsque les chalutiers arrivent.
    Un moment bucolique,
    Je n’ai pas trouvé le Saint Laurent si romantique.

    Mais que belle fut cette promenade en vérité,
    Avec ce vélodrome au ponton enchainé,
    Me faisant pensée aux vaches de rodéos dans les enclos,
    Les cows-boys devant faire plier la bête, alors le spectacle est clos.

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