MARTINE ANCIAUX PHOTOGRAPHE D'ART www.anciaux-photos.fr
met ce blog pour la diffusion de ces photos peintures et veut aussi faire découvrir sa facon de ressentir la photgraphie,SON ART;
A la fin, de ce jour, Je repense à notre toujours, Et me grise, dans ton univers de couleurs, Ciel d'éternité, de beauté, guide-moi, sans douleurs.
Dans la souffrance de l’absence de l’amour de ma vie, Toi, qui sais, qu'ici-bas, sans elle je ne suis plus en vie, Attendant avec envie, ma future ascension, Pour qu’enfin, nous soyons de nouveau au diapason.
Alors, je viendrais de nouveau auprès de toi, Libérant ce chagrin, qui me taraude depuis que je suis sans toi, Et t’hurler, toute la force de mon amour, Moi, qui étais si riche grâce à ton amour.
Ce déclin de soleil, m’envahit de pensées nostalgiques, Me laissant seul, et me rappelant nos moments tragiques, Ne comprenant pas, l’erreur que nous avions commise, pour que la vie, nous envoie un tel sort, En mourant, et me laisses, seul face à mon sort.
Le temps passe, et je ne peux t’oublier, Chaque mot, ou chanson, me rappelle ton souvenir, Me laissant souvent prostré sur cet avenir, De Moi sans Toi, dans cette vie qui nous a sans qu’on le veuille séparer.
Présentation©HD Les Couchers de Soleil Pensées
RépondreSupprimerTHOMAS André &Photo& Photo-Peinture Martine ANCIAUX MondeTvWEB©17-3-2019
©SUR UN COUCHER DE SOLEIL POEME THOMAS ANDRE©17-3-2019
A la fin, de ce jour,
Je repense à notre toujours,
Et me grise, dans ton univers de couleurs,
Ciel d'éternité, de beauté, guide-moi, sans douleurs.
Dans la souffrance de l’absence de l’amour de ma vie,
Toi, qui sais, qu'ici-bas, sans elle je ne suis plus en vie,
Attendant avec envie, ma future ascension,
Pour qu’enfin, nous soyons de nouveau au diapason.
Alors, je viendrais de nouveau auprès de toi,
Libérant ce chagrin, qui me taraude depuis que je suis sans toi,
Et t’hurler, toute la force de mon amour,
Moi, qui étais si riche grâce à ton amour.
Ce déclin de soleil, m’envahit de pensées nostalgiques,
Me laissant seul, et me rappelant nos moments tragiques,
Ne comprenant pas, l’erreur que nous avions commise, pour que la vie, nous envoie un tel sort,
En mourant, et me laisses, seul face à mon sort.
Le temps passe, et je ne peux t’oublier,
Chaque mot, ou chanson, me rappelle ton souvenir,
Me laissant souvent prostré sur cet avenir,
De Moi sans Toi, dans cette vie qui nous a sans qu’on le veuille séparer.