MARTINE ANCIAUX PHOTOGRAPHE D'ART www.anciaux-photos.fr
met ce blog pour la diffusion de ces photos peintures et veut aussi faire découvrir sa facon de ressentir la photgraphie,SON ART;
MARSEILLE RIEN QUE SON NOM CHANTE LE SOLEIL, Ici le jaune, c'est la dilution, dans de l'eau du soleil, Au stade, L'OM IL FAUT QU'IL BRILLE et gagne, Sinon rien ne va plus, chez nous à Marseille, on joue toujours la gagne.
Et nous nous surprenons souvent à les chanter comme une chanson de toujours, Nous qui vous apprécions aussi, pour votre engagement envers les Arméniens, Ce peuple si martyrisé et pourtant d'une telle douceur dans la vie de tous les jours, Ces hommes et ces femmes si pieux dans leurs fois, ce sont de grands chrétiens.
Je vous ai vu 3 fois, une fois à Vaison la Romaine, Tel un césar, vous aviez conquis l'auditoire qui n'était pourtant pas romain. La deuxième fois, vous étiez à l'Olympia, la salle était debout, Et le rappel n'en finissait pas, insuffisant malgré tout.
La troisième fois, c'était aux arènes de Nîmes, Rome encore, Dans ce légendaire décor, vous brillez plus encore. Et nous étions transportés par votre musique, Et nous fredonnions vos airs magnifiques.
Vous êtes comme ces oliviers millénaires, Qui vivent dans notre midi, et qui sont si précieux. Vous êtes arrivé, et êtes toujours au sommet de votre art pour les millénaires. Nous, fans du premier au dernier jour, sommes toujours fidèles et sérieux.
24-3-2019 VOIR OU REVOIr
RépondreSupprimer©MARSEILLE UN PETIT RESUME POEME THOMAS André©
MARSEILLE RIEN QUE SON NOM CHANTE LE SOLEIL,
Ici le jaune, c'est la dilution, dans de l'eau du soleil,
Au stade, L'OM IL FAUT QU'IL BRILLE et gagne,
Sinon rien ne va plus, chez nous à Marseille, on joue toujours la gagne.
ET SI CELA NE VA PAS, ON METTRA UN CIERGE A LA BONNE MERE,
TOI QUI N'EST PAS D'ICI? SACHES QUE NOTRE DAME DE LA GARDE, C'est la BONNE MERE.
ICI TU POINTES, OU TU TIRES, et tu casses le point, en faisant un carreau, c'est le cri du coeur
c'est aussi la belote immortalisé par Marcel PAGNOL, n'oublie pas tu me fends le coeur.
13-2-2019
©MONSIEUR CHARLES AZNAVOUR POEME THOMAS ANDRE©
Pour nous, vous incarnez la culture Française,
Dans son unicité, par le biais de vos chansons qui musicalisent la langue française.
Vos mélodies semblent couler comme l'eau à sa source,
Nous emmenant souvent au bout du monde, nous les sans ressources.
Et nous nous surprenons souvent à les chanter comme une chanson de toujours,
Nous qui vous apprécions aussi, pour votre engagement envers les Arméniens,
Ce peuple si martyrisé et pourtant d'une telle douceur dans la vie de tous les jours,
Ces hommes et ces femmes si pieux dans leurs fois, ce sont de grands chrétiens.
Je vous ai vu 3 fois, une fois à Vaison la Romaine,
Tel un césar, vous aviez conquis l'auditoire qui n'était pourtant pas romain.
La deuxième fois, vous étiez à l'Olympia, la salle était debout,
Et le rappel n'en finissait pas, insuffisant malgré tout.
La troisième fois, c'était aux arènes de Nîmes, Rome encore,
Dans ce légendaire décor, vous brillez plus encore.
Et nous étions transportés par votre musique,
Et nous fredonnions vos airs magnifiques.
Vous êtes comme ces oliviers millénaires,
Qui vivent dans notre midi, et qui sont si précieux.
Vous êtes arrivé, et êtes toujours au sommet de votre art pour les millénaires.
Nous, fans du premier au dernier jour, sommes toujours fidèles et sérieux.