MARTINE ANCIAUX PHOTOGRAPHE D'ART www.anciaux-photos.fr
met ce blog pour la diffusion de ces photos peintures et veut aussi faire découvrir sa facon de ressentir la photgraphie,SON ART;
Revoir le printemps, C’est découvrir les fleurs, et les abeilles, La pollinisation de la nature grâce à ces mêmes abeilles, Voir augmenter la longueur des jours pendant ce printemps.
Inexorablement la matière reprend vie, Nous laissant perplexe devant cette mutation, Qui nous ébahis par sa diversification, Qui comme un souffle magique se dépose et fait renaître la vie.
Dans des arbres qui se parent de fleurs, Les oiseaux préparent leurs nids, pour accueillir leur premier enfant, Et la nature offre aux artisans oiseaux, les conditions de bien choyer les enfants, Le travail est intense mais c’est une récompense pour voir les premiers pleurs.
C’est comme si un magicien venait perpétrait un miracle, Celui de la bousculade pour l’installation, Des couples, afin de donner naissance à l’amour et son miracle, Le fruit de leur amour, celui de la procréation.
Alors, maman oiseau se fera indispensable, Aux yeux, et surtout aux becs de son petit insatiable, Pour le nourrir, afin qu’il puisse grandir, Pour un jour comme il se doit le voir partir.
Et moi le béat de service, je m’émerveille de tant de vie, Moi qui sort de mon abri semblant en survie, Échappant à ce long et froid hiver insoutenable, Pour mon moral, atteint par tant de grisaille inépuisable.
Alors comme dopé par le soleil, Je retrouverais des forces pendant ce printemps, pour affronter plus tard, l’été et son soleil, Alors à nouveau, il faudra éviter de trop s’exposer, Pour éviter de rougeurs être affublé, et vers l’ombre chercher à se reposer.
En ce matin de printemps, J’ai vu éclore les premiers bourgeons, Planifiant comme un métronome le fil du temps, Entendue les grenouilles, et leurs premiers plongeons.
Siffloter en gazouillant, les oiseaux de retour, Dans leurs habitats, et la préparation de leur nids pour la fécondation, Fondant dans le confort, leurs familles, pour que puisses naître, dans leurs habitations, Leurs progénitures, et pouvoir les éduquer aux alentours.
Ma rose, à ouvert ses pétales, Pour distiller, à foison sa fragrance, Que nos nez, s’inventeront à définir comme à l’étal, Cherchant le terme, et le mot vrai, de ta fragrance.
Comme un revenant, d’un siècle de non vie, Tu t’ouvriras, de nouveau à la vie, De nouveau, à l’écoute, et aux bruits de la nature, Te libérant, de ton emprisonnement de l’hiver, et de son armure.
Alors, comme cette flore, et cette faune, Tu réaliseras sur la musique, d’un après midi d’un faune, Le ballet du printemps, la ronde des fleurs, Le mouvement épisodique, de notre planète pour admirer, la beauté des fleurs.
Alors après avoir chanté, les louanges de ce printemps, C’est presque avec avidité, que tu attendras la chaleur de l’été, Pour pouvoir voir, dans les champs, les tournesols en leurs temps, Et entendre le bruit des moissonneuses batteuses, avant la venue des touristes de l’été.
27-2-2019 VOIR OU REVOIR
RépondreSupprimerpar ces jours d'hiver, qui ressemblent au printemps, la nature a annoncé son réveil, les oiseaux gazouillent dès le matin, les abeilles, bourdons et papillons visitent les fleurs ouvertes pour pollenniser les arbres et faire du miel
©REVOIR LE PRINTEMPS POEME DE THOMAS ANDRE©
Revoir le printemps,
C’est découvrir les fleurs, et les abeilles,
La pollinisation de la nature grâce à ces mêmes abeilles,
Voir augmenter la longueur des jours pendant ce printemps.
Inexorablement la matière reprend vie,
Nous laissant perplexe devant cette mutation,
Qui nous ébahis par sa diversification,
Qui comme un souffle magique se dépose et fait renaître la vie.
Dans des arbres qui se parent de fleurs,
Les oiseaux préparent leurs nids, pour accueillir leur premier enfant,
Et la nature offre aux artisans oiseaux, les conditions de bien choyer les enfants,
Le travail est intense mais c’est une récompense pour voir les premiers pleurs.
C’est comme si un magicien venait perpétrait un miracle,
Celui de la bousculade pour l’installation,
Des couples, afin de donner naissance à l’amour et son miracle,
Le fruit de leur amour, celui de la procréation.
Alors, maman oiseau se fera indispensable,
Aux yeux, et surtout aux becs de son petit insatiable,
Pour le nourrir, afin qu’il puisse grandir,
Pour un jour comme il se doit le voir partir.
Et moi le béat de service, je m’émerveille de tant de vie,
Moi qui sort de mon abri semblant en survie,
Échappant à ce long et froid hiver insoutenable,
Pour mon moral, atteint par tant de grisaille inépuisable.
Alors comme dopé par le soleil,
Je retrouverais des forces pendant ce printemps, pour affronter plus tard, l’été et son soleil,
Alors à nouveau, il faudra éviter de trop s’exposer,
Pour éviter de rougeurs être affublé, et vers l’ombre chercher à se reposer.
28-7-2018
En ces temps de canicule, mon jardin est loin d'être à la fête,
il souffre de ces énormes températures
PRESENTATION DU PHOTO-POEME ©HDEN MON JARDINpoèmeTHOMASAndré photopotospeintureANCIAUXMartineCréatricephotopeintureMondeTvWebNatureEducationVieSaison©
THOMAS ANDRE, auteur, écrivain ,poète,
MARTINE ANCIAUX, photographe d’art,et créatrice de la photo-peinture, photo painting,
Martine ANCIAUX creator of the photo painting. new art of the photo painting, art photographer,
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com
Bon sang, que le temps passe vite,
En mon jardin j’ai vu venir le printemps, et tous ce que cela entraîne,
le bal des couleurs, le défilé des bourgeons,
la chanson des oiseaux, la ronde des amours
©EN MON JARDIN POEME THOMAS ANDRE©
En ce matin de printemps,
J’ai vu éclore les premiers bourgeons,
Planifiant comme un métronome le fil du temps,
Entendue les grenouilles, et leurs premiers plongeons.
Siffloter en gazouillant, les oiseaux de retour,
Dans leurs habitats, et la préparation de leur nids pour la fécondation,
Fondant dans le confort, leurs familles, pour que puisses naître, dans leurs habitations,
Leurs progénitures, et pouvoir les éduquer aux alentours.
Ma rose, à ouvert ses pétales,
Pour distiller, à foison sa fragrance,
Que nos nez, s’inventeront à définir comme à l’étal,
Cherchant le terme, et le mot vrai, de ta fragrance.
Comme un revenant, d’un siècle de non vie,
Tu t’ouvriras, de nouveau à la vie,
De nouveau, à l’écoute, et aux bruits de la nature,
Te libérant, de ton emprisonnement de l’hiver, et de son armure.
Alors, comme cette flore, et cette faune,
Tu réaliseras sur la musique, d’un après midi d’un faune,
Le ballet du printemps, la ronde des fleurs,
Le mouvement épisodique, de notre planète pour admirer, la beauté des fleurs.
Alors après avoir chanté, les louanges de ce printemps,
C’est presque avec avidité, que tu attendras la chaleur de l’été,
Pour pouvoir voir, dans les champs, les tournesols en leurs temps,
Et entendre le bruit des moissonneuses batteuses, avant la venue des touristes de l’été.