MARTINE ANCIAUX PHOTOGRAPHE D'ART www.anciaux-photos.fr
met ce blog pour la diffusion de ces photos peintures et veut aussi faire découvrir sa facon de ressentir la photgraphie,SON ART;
Cet animal parait hors de l'eau, gauche, Pourtant, quand on le voit évoluer dans l'eau, il n'est pas gauche, Il est même gracile, à se jouer dans l'eau, de la pesanteur, C'est l'homme dans l'espace, quand il n'y a plus de pesanteur.
Il est impressionnant au sol, car il est court sur patte, Contraste effarant, quand on le voit dans l'eau avec ses pattes, Cet animal est à lui tout le seul, une énigme, Pas celle des thrillers, où la recherche de l'assassin est l'énigme.
Non, simplement un fait zoologique, Pour cette mutation bluffante, entre milieu terrestre, et aquatique, Une hypothèse de travail, pour l'homme en mer, Combien de possibilités d'adaptations, pour l'humanité et la mer.
Bien signalé, notre quête fut facile, A Saint Aignan, des panneaux de signalisations nous indiquaient notre but, Comme des aventuriers dont le chemin fut facile, Notre destination se faisait proche, nous touchions au but.
Un hôtel accueillant, avec du personnel souriant, Et puis destination le Graal, Le fameux zoo de Beauval, En route par un chemin pédestre, nous entrions dans un parc très avenant.
D’exclamations en surprises, nous voulions découvrir en vrais les pandas, De même que notre recherche était aussi axée sur les koalas, Force est de constater, que nos haltes furent nombreuses, et diverses, Des émerveillements sur ces oiseaux sous une légère averse.
Ces félins et leurs comportements Comme intrigués des gens de l’autre côté de leurs cages, Ceux qui appareils photos et mobiles aux poings les observaient franchement, En fait de temps en temps, on se demandait qui étaient en cages?
A l’approche des gorilles, sur le chemin, Nous avions la compagnie du paon, et de ses merveilleuses couleurs, Il avait l’air de nous indiquer le chemin, Puis comme un chasseur d’images à l’affût, nous mitraillons ces singes, qui semblent être douceurs.
Avançant à marche forcée, pour ne rien manquer, Les manchots, Dieu que leurs attitudes étaient bizarres, Pour nous bipèdes, qui avons pour eux, une drôle de façon de marcher. Leurs éléments l’eau, alors là, plus rien n’est bizarre.
Dans cette course aux pandas géants, Nous avons trouvé la porte de Chine, Et là, cette peluche qui se repose allègrement, c’est notre panda géant ! Magnifique de décontraction, en pleine méditation, il tient bien de Lao TSEU, et de cette Chine.
Quand devant des vitres, nous trouvons nos koalas, La sieste, est leur sujet de préoccupation, Demain, nous les verrons en mouvement, ces koalas, Pour moi une peluche plus petite mais très mignonne, que l’on voudrait avoir en pension.
Il est déjà, l’heure de partir, Pourtant, je n’ai pu tout vous montrer, pour finir, Ce zoo, une merveille, un retour à notre mère nature, Cadre de vie splendide, qui contraste à notre jungle de tous les jours, qui jalonne notre aventure. en 2016 l'attraction était le bassin aux hippopotames ,une réalisation technique de toute beauté pour apprècier ses danseurs aux déplacement magnifiques dans l'eau que sont les hippopotames. THOMAS André Pour moi les hippopotames étaient une découverte, et comme une enfant je n'ai pensé qu'à les regarder, et à les photographier dans le but de faire partager ce grand plaisir du zoo de BEAUVAL amicalement Martine ANCIAUX
10-2-2019 voir ou revoir
RépondreSupprimer©L’HIPPOPOTAME poème THOMAS André© 23-3-2018
Cet animal parait hors de l'eau, gauche,
Pourtant, quand on le voit évoluer dans l'eau, il n'est pas gauche,
Il est même gracile, à se jouer dans l'eau, de la pesanteur,
C'est l'homme dans l'espace, quand il n'y a plus de pesanteur.
Il est impressionnant au sol, car il est court sur patte,
Contraste effarant, quand on le voit dans l'eau avec ses pattes,
Cet animal est à lui tout le seul, une énigme,
Pas celle des thrillers, où la recherche de l'assassin est l'énigme.
Non, simplement un fait zoologique,
Pour cette mutation bluffante, entre milieu terrestre, et aquatique,
Une hypothèse de travail, pour l'homme en mer,
Combien de possibilités d'adaptations, pour l'humanité et la mer.
Alors au zoo de Beauval de voir ces bêtes,
Cherchant à jouer, en se dressant sur les pattes pour nous voir, les autres bêtes,
Me procura une joie intense, de voir cette recherche de communication,
Avec nous derrière une glace, comme un signe de satisfaction
25-2-2018
©ZOO DE BEAUVAL POEME THOMAS ANDRE© Écrit le 2-9-2015
Etrangement, avant le passage à la télévision d’un reportage sur ce zoo,
Je ne connaissais pas ce zoo,
Aussi intrigué, et curieux, nous partîmes à sa recherche,
Folle épopée près des châteaux de la Loire, pour voir où il perche.
Bien signalé, notre quête fut facile,
A Saint Aignan, des panneaux de signalisations nous indiquaient notre but,
Comme des aventuriers dont le chemin fut facile,
Notre destination se faisait proche, nous touchions au but.
Un hôtel accueillant, avec du personnel souriant,
Et puis destination le Graal,
Le fameux zoo de Beauval,
En route par un chemin pédestre, nous entrions dans un parc très avenant.
D’exclamations en surprises, nous voulions découvrir en vrais les pandas,
De même que notre recherche était aussi axée sur les koalas,
Force est de constater, que nos haltes furent nombreuses, et diverses,
Des émerveillements sur ces oiseaux sous une légère averse.
Ces félins et leurs comportements
Comme intrigués des gens de l’autre côté de leurs cages,
Ceux qui appareils photos et mobiles aux poings les observaient franchement,
En fait de temps en temps, on se demandait qui étaient en cages?
A l’approche des gorilles, sur le chemin,
Nous avions la compagnie du paon, et de ses merveilleuses couleurs,
Il avait l’air de nous indiquer le chemin,
Puis comme un chasseur d’images à l’affût, nous mitraillons ces singes, qui semblent être douceurs.
Avançant à marche forcée, pour ne rien manquer,
Les manchots, Dieu que leurs attitudes étaient bizarres,
Pour nous bipèdes, qui avons pour eux, une drôle de façon de marcher.
Leurs éléments l’eau, alors là, plus rien n’est bizarre.
Dans cette course aux pandas géants,
Nous avons trouvé la porte de Chine,
Et là, cette peluche qui se repose allègrement, c’est notre panda géant !
Magnifique de décontraction, en pleine méditation, il tient bien de Lao TSEU, et de cette Chine.
Quand devant des vitres, nous trouvons nos koalas,
La sieste, est leur sujet de préoccupation,
Demain, nous les verrons en mouvement, ces koalas,
Pour moi une peluche plus petite mais très mignonne, que l’on voudrait avoir en pension.
Il est déjà, l’heure de partir,
Pourtant, je n’ai pu tout vous montrer, pour finir,
Ce zoo, une merveille, un retour à notre mère nature,
Cadre de vie splendide, qui contraste à notre jungle de tous les jours, qui jalonne notre aventure.
en 2016 l'attraction était le bassin aux hippopotames ,une réalisation technique de toute beauté pour apprècier ses danseurs
aux déplacement magnifiques dans l'eau que sont les hippopotames. THOMAS André
Pour moi les hippopotames étaient une découverte, et comme une enfant je n'ai pensé qu'à les regarder, et à les photographier dans le but de faire partager ce grand plaisir du zoo de BEAUVAL amicalement Martine ANCIAUX