MARTINE ANCIAUX PHOTOGRAPHE D'ART www.anciaux-photos.fr
met ce blog pour la diffusion de ces photos peintures et veut aussi faire découvrir sa facon de ressentir la photgraphie,SON ART;
Protectrice de la ville, la bonne mere, Appelée notre dame de la garde, veille sur la ville comme une mère. De là haut on voit toute la cité, Comme déposée à tes pieds, oh quelle belle cité !
Ici, on te parle ballon, L’OM est le porte fanion, Gare, si tu n’y comprends rien au ballon, Va au stade vélodrome, tu te feras ton opinion.
Le marseillais, c’est d’abord la pêche, et le vieux port, Où le nouveau ferry boat traverse le port, Celui de Marius et de César, Est malheureusement, parti au rencard.
Tu verras dans certains bistrots encore, on joue à la belote, Ce jeu de cartes que pagnol décrit si bien, Et qui pour nous, est comme un bien, La parlante, étant interdite à la belote.
Chaud est notre soleil, Qui fait des milliers d’heureux, dans les touristes, Bronzants, et brûlants, durant leurs sommeils, Fada qu’ils sont de vouloir cuire, ce soir, ce ne sera pas triste.
Nous, pendant ce temps, à l’ombre, on joue à la pétanque, Henri salvador, adorait jouer à la pétanque. Et là, il n’y a plus d’amis, un point c’est un point, Et méfie à la fanny, si tu veux que je tire, dis moi, à qui est le point.
A ce moment là, on entend que cet accent, Et le son des cigales, qui pourtant, ne sortent que tous les 7ans, Allez vas y, frappe là, bravo, tu l’as eus au fer, Et les spectateurs, de constater, le carreau qu’il s’est offert.
Après, on descendra la canebière, Pour aller boire une bière, Il est fou celui là, ici, on boit le jaune, qui a un goût d’anis, Cela peut-être un monaco? ou vraiment un pastis.
Ensuite, on prendra la voiture, et on ira sur la corniche, Où la méditerranée fait des siennes et creuse ses niches, Se brisant sur le sable de la plage des catalans, Ou va se faire voir, dans les criques en chahutant.
Car chez nous, il y a un vent, Le mistral, peuchère, il ne connaît pas ce vent, Qui, ne connaît pas le mistral, Ne sait pas ce que voulait dire, Frédéric MISTRAL.
Alors, tu verras sur la mer, les vagues, S’amonceler, avant de se fracasser sur les rochers, Là, tu entendras le bruit de son souffle, et tu verras, la blancheur de l’écume des vagues, Déferler, et se précipiter, sur ses rochers.
12-10-2016 mise à jour MUSEE DE LA CHARITE EST DE TOUTE BEAUTE.
RépondreSupprimerIL Y A DEJA 5 ANS SE TENAIT UNE EXPO DE DELACROIX A MATISSE,JE VOUS LA FAIS PARTAGER
AMICALEMENT MARTINE ANCIAUX
06-06-2016 REFUS YOUTUBE BS ALLEZVAIMARSEILLE?BS YOUTUBE
Recherche Scientifique C.N.R.S,Ecole des Hautes Etudes en SciencesSociales E.H.E.S.
L’Orientalisme en EuropeDe Delacroix à Matisse
Marseille,CentredelaVieilleCharité,21/5/A 22/8/2011.
L’expositionprésentée auparavant à Bruxelles,à Munich,, l’exposition sur l’Orientalisme en Europe termine son parcours à Marseille,dans ce lieu exceptionnel la Vieille Charité.A la fois thématique,chronologique,la visite permet au visiteur de comprendre les enjeux,l’évolution de ce que l’on appelle l’Orientalisme.
l’Orientalisme,qui se déploie au XIXe siècle,au début du XXe,n’est pas un style.Une peinture est Orientaliste lorsqu’elle représente une scène se déroulant en Afrique du Nord ou au Proche-Orient, incluant la Turquie,certaines représentations de l’Espagne,qui conserve encore au XIXe siècle bien des témoignagesmaurespeuventparfoisaussiêtrequalifiéesainsi.
L’exposition de Marseille est remarquable d’abord en ce qu’elle ne propose que le meilleur,ou presque.
©Marseille poème Thomas andré©
Ville populaire et de vieilles traditions,
Elle a connu nombre de civilisations,
D’abord phénicienne, puis grecque, et romaine, enfin française, et libre,
Elle est le résultat, de conquêtes, et d’acharnement pour être libre.
Protectrice de la ville, la bonne mere,
Appelée notre dame de la garde, veille sur la ville comme une mère.
De là haut on voit toute la cité,
Comme déposée à tes pieds, oh quelle belle cité !
Ici, on te parle ballon,
L’OM est le porte fanion,
Gare, si tu n’y comprends rien au ballon,
Va au stade vélodrome, tu te feras ton opinion.
Le marseillais, c’est d’abord la pêche, et le vieux port,
Où le nouveau ferry boat traverse le port,
Celui de Marius et de César,
Est malheureusement, parti au rencard.
Tu verras dans certains bistrots encore, on joue à la belote,
Ce jeu de cartes que pagnol décrit si bien,
Et qui pour nous, est comme un bien,
La parlante, étant interdite à la belote.
Chaud est notre soleil,
Qui fait des milliers d’heureux, dans les touristes,
Bronzants, et brûlants, durant leurs sommeils,
Fada qu’ils sont de vouloir cuire, ce soir, ce ne sera pas triste.
Nous, pendant ce temps, à l’ombre, on joue à la pétanque,
Henri salvador, adorait jouer à la pétanque.
Et là, il n’y a plus d’amis, un point c’est un point,
Et méfie à la fanny, si tu veux que je tire, dis moi, à qui est le point.
A ce moment là, on entend que cet accent,
Et le son des cigales, qui pourtant, ne sortent que tous les 7ans,
Allez vas y, frappe là, bravo, tu l’as eus au fer,
Et les spectateurs, de constater, le carreau qu’il s’est offert.
Après, on descendra la canebière,
Pour aller boire une bière,
Il est fou celui là, ici, on boit le jaune, qui a un goût d’anis,
Cela peut-être un monaco? ou vraiment un pastis.
Ensuite, on prendra la voiture, et on ira sur la corniche,
Où la méditerranée fait des siennes et creuse ses niches,
Se brisant sur le sable de la plage des catalans,
Ou va se faire voir, dans les criques en chahutant.
Car chez nous, il y a un vent,
Le mistral, peuchère, il ne connaît pas ce vent,
Qui, ne connaît pas le mistral,
Ne sait pas ce que voulait dire, Frédéric MISTRAL.
Alors, tu verras sur la mer, les vagues,
S’amonceler, avant de se fracasser sur les rochers,
Là, tu entendras le bruit de son souffle, et tu verras, la blancheur de l’écume des vagues,
Déferler, et se précipiter, sur ses rochers.