MARTINE ANCIAUX PHOTOGRAPHE D'ART www.anciaux-photos.fr
met ce blog pour la diffusion de ces photos peintures et veut aussi faire découvrir sa facon de ressentir la photgraphie,SON ART;
30-08-2015 mise à jour de ce photo-poème Ajoutée le 8 déc. 2014 THOMAS ANDRE, auteur, écrivain ,poète, MARTINE ANCIAUX, photographe d’art,et créatrice de la photo-peinture, photo painting,Martine ANCIAUX creator of the photo painting. new art of the photo painting, art photographer,
Il y a bien longtemps, existait le quotidien, Pour les jeunes, cela veut dire journal, Et à mon époque, c'était l'un des moyen de connaître, par la plume, notre quotidien, Il y avait de nombreuses rubriques, dans ce journal.
Le 1er journal se nommait, la Gazette parût le 20 Mai 1631, de Théophraste Renaudot, Ce qui lui valu, de devenir en 1926, le prix littéraire, appelé le Renaudot. Au XXème siècle, de très nombreux titres de journaux, virent le jour, Le Figaro, La Dépêche du Midi, Les Échos, L’Humanité, précurseurs, et encore en vie, à ce jour.
L'information politique, en était la base, Chaque canard, avait sa base, L'un était de droite, et articulait son éditorial, sur cet axe, L'autre était de gauche, et analysait les faits suivants, cet axe.
Le public connaissait, dès l’achat, l’orientation politique, Il allait avoir des nouvelles, suivant son point de vue politique. Cet échange de nouvelles, plus ou moins influencés, Par la ligne des journaux, étaient leurs marques de fabrique, plus ou moins nuancés.
Avant l’arrivée des nouvelles technologies, Le marché était florissant, et en mouvement, Le public achetait son journal, avec un certain attachement, En effet, ce journaliste exposait bien les faits, nous faisant part de nos avancées, en technologies.
Avec la télévision, le rythme changeât, pour les informations, La couverture télévisuelle, commença à aborder plus vite les informations, Les reporters de télévisions et leurs agences par le journal télévisé couvraient la terre, Le quotidien écrit, devint moins nécessaire pour notre terre.
Nous rentrions dans le monde de l’image, Comme pour nous, les anciens lorsqu’ enfants à l’école, quand nous étions sages, Nous avions droit, à une image, Ce présent, était un but, comme une émission de télévision, passeport pour l’image.
Dans ce laps de temps assez court, Les reporters changèrent la culture de l’information, Elle se fit plus direct, prit le circuit court, Le moment où la photographie, donnait la nouvelle juste par sa diffusion.
La plume était encore là, un peu chancelante dans ces certitudes, Mais pour combien de temps, Quelques uns s’efforcèrent, de quantifier ce temps, Malheureusement, comme dans tous calculs, il y a les incertitudes.
Alors, déboula le numérique, un envahissement mondial, Laissant choir le journal écrit, pour manger la terre, Et patatras, mon pauvre journal fût par terre, Dans l’obligation, de se réformer à l’informatique, devenu fait mondial.
La morale de cette histoire, c’est que la vitesse, de transformation de nos sociétés, Nous obligent, à modifier nos habitudes, Sinon, nous risquons d’échouer dans la décrépitude, Et même si cette évolution, n’amène pas de signes positifs pour nos sociétés.
30-08-2015 mise à jour de ce photo-poème
RépondreSupprimerAjoutée le 8 déc. 2014
THOMAS ANDRE, auteur, écrivain ,poète,
MARTINE ANCIAUX, photographe d’art,et créatrice de la photo-peinture, photo painting,Martine ANCIAUX creator of the photo painting. new art of the photo painting, art photographer,
©LE JOURNAL POEME DE THOMAS ANDRE©
Il y a bien longtemps, existait le quotidien,
Pour les jeunes, cela veut dire journal,
Et à mon époque, c'était l'un des moyen de connaître, par la plume, notre quotidien,
Il y avait de nombreuses rubriques, dans ce journal.
Le 1er journal se nommait, la Gazette parût le 20 Mai 1631, de Théophraste Renaudot,
Ce qui lui valu, de devenir en 1926, le prix littéraire, appelé le Renaudot.
Au XXème siècle, de très nombreux titres de journaux, virent le jour,
Le Figaro, La Dépêche du Midi, Les Échos, L’Humanité, précurseurs, et encore en vie, à ce jour.
L'information politique, en était la base,
Chaque canard, avait sa base,
L'un était de droite, et articulait son éditorial, sur cet axe,
L'autre était de gauche, et analysait les faits suivants, cet axe.
Le public connaissait, dès l’achat, l’orientation politique,
Il allait avoir des nouvelles, suivant son point de vue politique.
Cet échange de nouvelles, plus ou moins influencés,
Par la ligne des journaux, étaient leurs marques de fabrique, plus ou moins nuancés.
Avant l’arrivée des nouvelles technologies,
Le marché était florissant, et en mouvement,
Le public achetait son journal, avec un certain attachement,
En effet, ce journaliste exposait bien les faits, nous faisant part de nos avancées, en technologies.
Avec la télévision, le rythme changeât, pour les informations,
La couverture télévisuelle, commença à aborder plus vite les informations,
Les reporters de télévisions et leurs agences par le journal télévisé couvraient la terre,
Le quotidien écrit, devint moins nécessaire pour notre terre.
Nous rentrions dans le monde de l’image,
Comme pour nous, les anciens lorsqu’ enfants à l’école, quand nous étions sages,
Nous avions droit, à une image,
Ce présent, était un but, comme une émission de télévision, passeport pour l’image.
Dans ce laps de temps assez court,
Les reporters changèrent la culture de l’information,
Elle se fit plus direct, prit le circuit court,
Le moment où la photographie, donnait la nouvelle juste par sa diffusion.
La plume était encore là, un peu chancelante dans ces certitudes,
Mais pour combien de temps,
Quelques uns s’efforcèrent, de quantifier ce temps,
Malheureusement, comme dans tous calculs, il y a les incertitudes.
Alors, déboula le numérique, un envahissement mondial,
Laissant choir le journal écrit, pour manger la terre,
Et patatras, mon pauvre journal fût par terre,
Dans l’obligation, de se réformer à l’informatique, devenu fait mondial.
La morale de cette histoire, c’est que la vitesse, de transformation de nos sociétés,
Nous obligent, à modifier nos habitudes,
Sinon, nous risquons d’échouer dans la décrépitude,
Et même si cette évolution, n’amène pas de signes positifs pour nos sociétés.