mardi 24 février 2015

©Lumièredel'OmbreodeThomasandréphotophotopeintureMartineAnciauxcréateurd...

1 commentaire:

  1. le 25-02-2015
    MISEA JOUR,TITRE,TAGS, ET PRESENTATION DE CE PHOTO-POEME ©Lumièredel'OmbreodeThomasandréphotophotopeintureMartineAnciauxcréateurdelaphoto-peinturemondewebtv©
    Mise en ligne le 16 nov. 2011
    Musique "Unchained Melody" de Richard Clayderman

    Le poète THOMAS André avec mes photos s'est rebellé, contre notre inadaptation aux circonstances, que provoquent la nature dans notre 21eme siècle, voici sa présentation de notre photo-poème.
    THOMAS ANDRE auteur, écrivain, poète,http://thomasandre.orgfree.com/,
    Je me suis inspiré des superbes photos & photos-peintures de MARTINE ANCIAUX, photographe d’art,et créatrice de la photo-peinture, photo painting, créateur de la photo-peinture
    Martine ANCIAUX creator of the photo painting. new art of the photo painting, art photographer,
    http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com,

    Par une nuit d'orage, je me suis senti l'esclave de la fée électricité,
    Malade de ne pas lire mon courrier sur internet,
    Agressif par mon inconfort,
    Et tributaire du progrès,
    Ne pouvant regarder mon film à la télévision.
    Que je suis loin d'un de mes ancêtres, l'homme de Cro-Magnon,
    Capable de se diriger avec les moyens du bord,
    De ce fait on peut dire que l'homme a régressé,
    Et il s'est habitué à la facilité de ces inventions.

    ©LA LUMIERE DE L’OMBRE POEME THOMAS ANDRE©

    Sombre est cette lumière,
    Ne serait-elle pas qu’étincelle.
    Dans cette clarté première,
    Oscillant à la lueur de la chandelle.

    Un souffle de vent éteint notre dernier repère,
    Maintenant, il me semble que tout va de travers.
    Parachevant cette nuit qui s’obscurcit,
    Dans la pénombre de l’oubli.

    L’orage a coupé l’électricité,
    Nous mettant en grande difficulté.
    Essayant de nous habituer à l’obscurité,
    Nous sommes gauches, et titubant à chaque pas, étant si mal habitués.

    Loin de notre confort,
    La survie n’est plus notre fort.
    Il s’agit de pouvoir patienter,
    Afin de ne plus nous perdre, alors assit, on attend sans bouger.

    Admiratif devant la vie de nos ancêtres,
    Ceux là même qui ne s’offusquer pas du manque de ce paramètre.
    Nous constatons que notre instinct s’est enfuit,
    Notre attitude est devenue plus que jamais asservit.

    Avant que de nous poser, nous trébuchions les bras tendus,
    A la recherche de nos places perdues.
    Tâtonnant, butant contre tout,
    En attente que la délivrance revienne chez nous.

    Finit le monde à porter de mains,
    Il s’agit maintenant de pouvoir s’adapter,
    La connaissance technique ne suffit plus pour mieux se situer,
    L’internet n’est plus disponible, inutile on a plus la main.

    Comme hébéter, par cet incident qui me bloque,
    Et me rend esclave de la fée électricité.
    Notre monde est-il à la merci de cette incapacité,
    Que le manque d’une source énergétique suffise à ce que tout ce bloque.


    4 heures plus tard, revoilà le courant,
    Comme un fou, je me rue sur les appareils,
    Vérifiant que rien ne manque et mettant à l’heure chaque appareil,
    Soulagé, je critique à cœur joie la panne de courant.

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