MARTINE ANCIAUX PHOTOGRAPHE D'ART www.anciaux-photos.fr
met ce blog pour la diffusion de ces photos peintures et veut aussi faire découvrir sa facon de ressentir la photgraphie,SON ART;
J'ai écris un photo-poème sur une musique de ELVIS PRESLEY Où l'héroïne est une rose fleur et parfois femme, Fleur aux multiples couleurs et aux milliers de significations en amour, Tu as un nom que tous le monde connaît, je t'ai baptisé pour ce poème ROSE DE VIE, Car tu entraines avec toi la vie, et le bonheur, Rejetant au loin le malheur, Tu imposes tes couleurs et tes désirs, Et tu fais naître chez elle son instinct de plaisir.THOMAS André
A mon réveil tu étais là, toi qu’on appelle Rose, Tu m’as fait écrire cette prose, Pour te magnifier, toi qui pour moi est la plus belle des fleurs. Tes pétales s’entrouvrant comme des cœurs,
Annonçant tes précieuses senteurs, Divulguant tes plus belles couleurs, Magnifiant mon jardin de tes parfums, Qui envoûtent l’esprit lorsqu’il est en parfum.
Et comme ses abeilles qui te butinent, Je mets mon nez pour te respirer, Me délecter de ton odeur qui s’obstine, A me conduire vers toi pour te posséder.
Des spécialistes te donneront un nom, Et le marchand de fleurs écrira ton nom, Pour que le public puisse te choisir, Et que demain, en son jardin tu puisses sortir.
Faisant de l’homme qui t’a choisis, Un jardinier conquis, Qui n’aura de cesse de te montrer, Comme un de ses trésors fabuleux, acquis et à préserver.
Et soudain comme par enchantement, Il déclamera quelques vers futiles, Où des grandes pensés subtiles Que tu lui auras fait naître subrepticement.
Et d’un trait, il énoncera sa vérité, Tu es la lumière de mon jardin, Tu éclaires ton entourage par ta magnificence libérée, Tu présides comme un marbre de Rodin.
Te laissant faire, par l’homme de ta vie, Celui qui t’a donné la vie, En te soignant par tous les temps, Et lui accaparant sa marche du temps.
Sur, qu’il ne le regrettera pas, Mais sera triste que tu ne puisses vivre plus longtemps, Qu’un trajet d’une journée de soleil au pas, Et t’en aller, en t’effeuillant pour pouvoir t’éteindre discrètement.
When I woke up you were there, you called Rose, You made me write this prose To magnify you, who for me is the most beautiful flowers. Your petals keyed alike like hearts,
Announcing your precious scents Disclosing your best colors, Magnifying my garden of your perfumes, That captivate the mind when in perfume.
And as his bees foraging you, I put my nose to breathe you, I revel in your smell that insists, A lead me to you to possess you.
Specialists will give you a name, And the flower shop will write your name, For the public to choose you, And tomorrow in the garden thou mayest go out.
Making man made you choose, Conquered gardener, Which will not cease to show you, As one of its fabulous treasures acquired and preserved.
And suddenly as if by magic, It déclamera some verses futile Where large subtle thought Thou hast made him surreptitiously born.
And a line, it will set out its truth, You are the light of my garden, You light around you through your magnificence released, You preside as Rodin's marble.
Leaving you do, man of your life, The one who gave you life, Taking care of you in any weather, And monopolizing his time walking.
On, he will not regret, But will be sad that you can not live longer, A path of a sunny day at the walk, And you go in effeuillant you order off you discreetly.
le 16-02-2015 mise à jour ,titre tags,et présentation de ce photo-poème ©CommelaRosepoèteThomasandréMartineAnciauxcréatricedelaphotopeintureartcréatorofthephotopaintingtv©
RépondreSupprimerMise en ligne le 8 sept. 2011
Musique "I'll Remember You" de Elvis Presley & The Jordanaires
J'ai écris un photo-poème sur une musique de ELVIS PRESLEY
Où l'héroïne est une rose fleur et parfois femme,
Fleur aux multiples couleurs et aux milliers de significations en amour,
Tu as un nom que tous le monde connaît,
je t'ai baptisé pour ce poème ROSE DE VIE,
Car tu entraines avec toi la vie, et le bonheur,
Rejetant au loin le malheur,
Tu imposes tes couleurs et tes désirs,
Et tu fais naître chez elle son instinct de plaisir.THOMAS André
©COMME LA ROSE POEME THOMAS ANDRE©
A mon réveil tu étais là, toi qu’on appelle Rose,
Tu m’as fait écrire cette prose,
Pour te magnifier, toi qui pour moi est la plus belle des fleurs.
Tes pétales s’entrouvrant comme des cœurs,
Annonçant tes précieuses senteurs,
Divulguant tes plus belles couleurs,
Magnifiant mon jardin de tes parfums,
Qui envoûtent l’esprit lorsqu’il est en parfum.
Et comme ses abeilles qui te butinent,
Je mets mon nez pour te respirer,
Me délecter de ton odeur qui s’obstine,
A me conduire vers toi pour te posséder.
Des spécialistes te donneront un nom,
Et le marchand de fleurs écrira ton nom,
Pour que le public puisse te choisir,
Et que demain, en son jardin tu puisses sortir.
Faisant de l’homme qui t’a choisis,
Un jardinier conquis,
Qui n’aura de cesse de te montrer,
Comme un de ses trésors fabuleux, acquis et à préserver.
Et soudain comme par enchantement,
Il déclamera quelques vers futiles,
Où des grandes pensés subtiles
Que tu lui auras fait naître subrepticement.
Et d’un trait, il énoncera sa vérité,
Tu es la lumière de mon jardin,
Tu éclaires ton entourage par ta magnificence libérée,
Tu présides comme un marbre de Rodin.
Te laissant faire, par l’homme de ta vie,
Celui qui t’a donné la vie,
En te soignant par tous les temps,
Et lui accaparant sa marche du temps.
Sur, qu’il ne le regrettera pas,
Mais sera triste que tu ne puisses vivre plus longtemps,
Qu’un trajet d’une journée de soleil au pas,
Et t’en aller, en t’effeuillant pour pouvoir t’éteindre discrètement.
TRADUCTION GOOGLE
© AS THE ROSE POEM THOMAS ANDRE ©
When I woke up you were there, you called Rose,
You made me write this prose
To magnify you, who for me is the most beautiful flowers.
Your petals keyed alike like hearts,
Announcing your precious scents
Disclosing your best colors,
Magnifying my garden of your perfumes,
That captivate the mind when in perfume.
And as his bees foraging you,
I put my nose to breathe you,
I revel in your smell that insists,
A lead me to you to possess you.
Specialists will give you a name,
And the flower shop will write your name,
For the public to choose you,
And tomorrow in the garden thou mayest go out.
Making man made you choose,
Conquered gardener,
Which will not cease to show you,
As one of its fabulous treasures acquired and preserved.
And suddenly as if by magic,
It déclamera some verses futile
Where large subtle thought
Thou hast made him surreptitiously born.
And a line, it will set out its truth,
You are the light of my garden,
You light around you through your magnificence released,
You preside as Rodin's marble.
Leaving you do, man of your life,
The one who gave you life,
Taking care of you in any weather,
And monopolizing his time walking.
On, he will not regret,
But will be sad that you can not live longer,
A path of a sunny day at the walk,
And you go in effeuillant you order off you discreetly.