vendredi 12 octobre 2018

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1 commentaire:

  1. 12-10-2018
    COMME L'AIR QU'ON RESPIRE, la vie n'est qu'un souffle, ou le passé s'étiole,et le présent un combat, avant de s'enfuir vers un avenir, par avance finalisé, la variable étant le temps, heures,minutes, et secondes, qu'ils nous faut apprécier, par bonheur, et parfois en pleurer par nos malheurs.
    THOMAS André
    ©LE TEMPS POEME THOMAS ANDRE©
    Quand la flamme diminue,
    Quand la lumière s'atténue,
    Que les moments semblent plus courts
    Et que la vieillesse accourt.

    Alors, vient le temps de la pensée,
    De réfléchir, sur son passé,
    De ne plus, être enclin à la légèreté,
    Et de se pencher, sur sa destinée.

    C'est l'instant, du grand bilan,
    De comptabiliser sa vie, et son plan.
    De retracer les bons moments,
    Et d'approfondir sur tous les accidents.

    Il est temps, à ce moment là, de faire le point,
    Et de s'affranchir, de tous les mauvais points,
    Pour s'évader, dans la sérénité,
    Et mourir, en toute liberté.

    16-6-2018
    LE TEMPS, POUR TOUS CEUX, QUI ONT UNE AUTRE DEVISE QUE LE TEMPS C'EST DE L'ARGENT,
    DONC, POUR CEUX LA, CE TEMPS, C'EST LE PLAISIR D' ETRE AVEC CEUX QUE L'ON AIME THOMAS André

    25-1-2018
    LA VIE EST UN LONG CHEMIN COMME UNE TRAVERSEE DU DESERT, OU CHAQUE SIGNE PEUT ËTRE UNE OUVERTURE OU UNE FERMETURE, C'EST COMME UNE TEMPËTE DE SABLE, mais pour en savoir les effets garde en tête le sablier de sable .A.T.
    Notre vie est comme le sable d'un sablier s'écoulant inexorablement,
    Quoi que l'on fasse, le sable se vide, et notre vie prend des chemins incontournables,
    Ceux de nos choix qui parfois sont lourds de conséquence.

    ©SABLIER DE VIE POEME THOMAS ANDRE©

    Il est vrai que souvent le soir,
    On se laisse aller vers le désespoir,
    On a une impression contraignante de la vie
    Car on est en manque d'envie.

    Comme une apparition, apparaît une lumière,
    Qui te chuchote à l'esprit une prière,
    Et te fait découvrir la vérité,
    Et creuse en toi, pour te faire de la vie retrouver la sincérité.

    Il se nomme ton ami,
    Veillant sur toi lors de tes moments de doutes infinis,
    Pour te refaire voir ton chemin,
    Et te dicter des dogmes, comme sur un parchemin.

    Tu trouveras alors que la tristesse
    Est si éloignée de l'allégresse,
    Malgré tout, ces deux univers se rudoient,
    Et chaque jour de notre existence, elles se côtoient.

    Tu devras trouver le courage, pour garder la force en toi.
    Pour apprendre à surmonter leurs dessins qui peuvent être rudesse,
    Ou bien trouver de plus grandes motivations,
    Pour que tu puisses trouver d'autres satisfactions

    Comme une libération, tu entends une musique,
    Et soudain, il semble y avoir un avenir,
    Comme si par magie, quelque chose te rappelle, que tu as encore un devenir,
    Celui indécis, imprécis et peut être physique,

    Car les efforts pour te reconstruire te coûteront beaucoup,
    Et tu devras t'imposer dans la difficulté,
    Comme si tu étais, à la recherche, de ta source de vie tout à coup,
    Comme un bruit intérieur, tu le percevras dans ta quasi surdité,

    Celle qui t'empêche de continuer,
    Car ta peine n'est pas encore assez atténuée,
    Et cette blessure, t'ôte l'envie de vie,
    Pour toi quoi qu'il se passe tu n'es qu'en survie.

    Ecoule toi mon sablier de temps,
    Pour que je puisse un jour ne plus être à contretemps,
    Et que de tous mes malheurs j'en tire une force,
    Et que de bribes, je devienne syllabes, puis phrase pour gagner en force,

    Alors, toujours en courroux, au fond de moi,
    Je pénétrerais jusqu'au plus profond de moi,
    Pour essayer de retirer, ce grain de sable,
    Qui ne m'autorise pas à voir, ce qu'il reste de mon histoire, cet océan de sable.

    Comme pris dans un étau,
    Je ne peux mettre en paix mon cerveau,
    Sans risquer chaque jour de désillusion,
    Je me dois d'éviter cette confusion.

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