vendredi 18 mai 2018

©L'Evasion poèmeThomasandréphoto

1 commentaire:

  1. 18-5-2018
    CONDOLEANCES POUR LES ELEVES DU LYCEE DU TEXAS, ET BEAUCOUP DE FORCE, ET DE COURAGE, POUR LES BLESSES, ET LES TRAUMATISEES
    amicalement Martine ANCIAUX & THOMAS André
    QUAND LES NOUVELLES SONT SOMBRES, notre esprit voudrait pouvoir s'évader, mais la puissance, de tant de violence, nous empêche de se vider l'esprit, et d'oublier.A.T.
    10-12-2017 Amis Internautes
    S'EVADER N'EST CE PAS LA CONCRETISATION D'UN RËVE?
    L 'approche comme un roman d'une autre vie?
    définissez vous même si vous le voulez, ce qu'est pour vous le mot évasion ?THOMAS André

    28-7-2015 mise, à jour ,titre,tags, et présentation de ce photo-poème
    Ajoutée le 10 nov. 2013
    THOMAS ANDRE,auteur,écrivain,poète, http://thomasandre.orgfree.com/,
    MARTINE ANCIAUX, photographe d’art,et créatrice de la photo-peinture, photo painting, créateur de la photo-peinture
    Martine ANCIAUX creator of the photo painting. new art of the photo painting, art photographer,
    http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com,
    MUSIQUE PAUL DECOMBLE.
    L'EVASION,un terme magique,synonyme de liberté,de rêve,De projets,de créativité,
    des voyages,des découvertes,ainsi qu'un leurre, que l'on appelle le progrès,qui contrairement à ce que l'on croit, ne procure pas la liberté, mais l'addiction,couplé a un asservissement,avons-nous fais tout cela pour en arriver là?
    ©L'EVASION POEME DE THOMAS ANDRE©
    Alors que l'aurore allait se lever,
    Et dans le ciel, le soleil commençait à s'élever,
    Devant mes yeux éblouis, par ce rêve,
    Je songeais à ma vie, sans trêve.

    Dans mon univers quotidien, si agité,
    Je me sens, comme une feuille emporté,
    Et cela me laisse souvent, dans des états seconds,
    Entre colère et raison, et loin de mes sentiments profonds.

    Je voudrais être libre,
    Quel mot, quelle beauté, quelle splendeur, que d'être libre,
    Voyant ces oiseaux, si majestueux,
    Voler vers des horizons, plus fructueux,

    Je voudrais faire comme eux, m'envoler désormais,
    M'échapper de cette ville, qui m'étouffe,
    Et dont son centre, m'engouffre,
    Et me laisse sans réactions, et comme enchaîné à jamais.

    Anesthésié, par cette marche forcée,
    Comme si nous étions engoncés,
    Par ce progrès, qui nous abîme constamment,
    Lui, qui devait nous aider, à nous réaliser pleinement.

    Alors, je m'évade en songes,
    Je cherche les cieux, et la mer,
    Cette couleur bleue qui me repose, loin du mensonge,
    Mes yeux cherchent un coin de tranquillité, et le ressac des vagues de la mer.

    Alors, je retrouve en moi d'autres sensations,
    Un homme que je croyais disparu, où ses sentiments sortent à la perfection,
    Qui croirait, que je suis moi,
    Seul, peut être, toi.

    Car, tu m'as connu avant,
    Et tu m'as vu, me transformant,
    Comme par magie, ou subterfuges provocants,
    Eloignant de tes pas, celui que tu aimais tant,

    Ne me laisse pas sans toi, et loin de notre histoire,
    Je ne pourrais pas vivre, sans ton amour,
    Moi, qui croyais tout faire, pour parfaire notre amour,
    Je me suis fourvoyé, je suis là, larmoyant, pour pouvoir continuer notre histoire.

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