mercredi 25 octobre 2017

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  1. 26-10-2017 Amis Internautes
    H2O
    L'EAU VITALE POUR NOTRE VIE,
    DESASTREUSE LORS DE SES CATASTROPHES,
    EVASION POUR LE MARIN,
    ROMANTIQUES POUR LE POETE,
    SENTIMENTALES POUR LES AMOUREUX,
    ET POUR LE COMMUN DES MORTELS SYNONIME DES VACANCES
    THOMAS André
    ©H2O POEME THOMAS André©

    Une formule chimique,
    Pour un corps si pur,
    Que l’on trouve dans la nature,
    Et qui s’avère être notre source de vie physique.

    Ce breuvage tant estimé,
    N’est pas un alcool, ou une boisson fabriquée,
    Non, ce liquide, c’est de l’eau,
    Sachant que la terre, est composée de plus de 72% d’eau.

    Comment risque-t-on d’en manquer?
    Cette matière première essentielle, paraissant si prolixe,
    Couvre la majeure partie, de notre planète bleue en entourant nos continents fixes,
    Mais cette eau si abondante, est salée, et c’est à cause de cela, qu’on risque d’en manquer.

    Sachant que l’humanité ne consomme que de l’eau non salée,
    Nous avons fait de nombreux progrès, pour la désalinisation de l’eau de mer,
    Mais, force est de constater que l’investissement nous donne une note très salée,
    Pourtant, notre survie ne passera que par, la déstructuration de cette eau de mer.

    Alors on nous dit, économisez votre eau,
    Mais comme on dit, pour nous humains le premier chaînon de la vie, c’est l’eau.
    Alors la première chose à faire, c’est d’offrir l’eau au monde,
    Car sans cela, vous n’aurez plus de monde.


    ©L’EAU POEME DE THOMAS ANDRE©

    Comme une goutte d’eau qui fera plus tard un fleuve,
    Comme une source qui nous abreuve,
    L’eau est un élément de notre vie qui est indispensable,
    Et qui est si riche en soi que s’en est impensable.

    Une force et un pouvoir,
    Une richesse pour notre avoir,
    Une beauté et une capacité pour notre savoir,
    Et si fragile à être potable, que pour nous s’en est un devoir,

    De l’empêcher de se tarir,
    De ne pas se battre pour la conquérir,
    Qu’ignorer ses limites pour s’en servir,
    Est une faute qui peut nous desservir.

    Comme un refrain qui me trotte dans la tête,
    La mélodie de l’eau,
    Mère nourricière que l’on fête,
    Est aussi celle que l’on sort au seau.

    Nos amis indiens d’Amérique avaient du respect, comme un pacte,
    Avec cette denrée si rare, et qui a tant d’impact,
    Sur notre vie si difficile à changer,
    Que ce serait un drame si elle venait à manquer, si on ne pouvait plus la piéger.

    Alors pendant des voyages initiatiques,
    Qui réfèrent à la maturité,
    Le monde doit se préparer à prendre des mesures drastiques,
    Afin de pouvoir inverser les statistiques,

    Ceux qui nous prédisent un monde de sécheresse,
    Car l’eau venant à être si précieuse,
    Que seul, la posséder sera signe de richesse,
    Et la détention de celle-ci sera la plus belle pierre précieuse.

    Comme par enchantement le ciel a répondu à notre appel,
    Mouillant le sol et les voitures de ce liquide si merveilleux,
    Nous rafraîchissant et sonnant pour nous comme un rappel,
    De précautions pour nos futures décisions, pour éviter un avenir désastreux.

    Mais cette pluie qui se répand dans ce champ,
    Arrosant à foison les céréales de ce champ,
    Provoquant une immense joie à en crier,
    Par cette eau si difficile que l’on a à trouver.

    Alors, toi l’homme qui sans cesse l’utilise sans détour,
    Pense que le manque d’eau peut arriver à son tour,
    Et tu n’auras alors, peut être plus de recours,
    Car sans elle impossible de vivre ton parcours.

    Martine ANCIAUX CreatorphotopaintingartphotographerTHOMAS Andrépoèteécrivainauteur

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