mercredi 12 octobre 2016

©MARTINE ANCIAUX Créatrice de la Photo-PeintureTHOMAS ANDRE NATURE MONDE...

1 commentaire:

  1. 13-10-2016
    BIEN AVANT L'HOMME, LES ANIMAUX, ET LES PLANTES HABITAIENT NOTRE TERRE.mais seul l'humain par la non maîtrise du progrès technologique, peut à la longue, détruire notre terre.

    3-9-2016
    N'OUBLIONS JAMAIS, DEPUIS LA VENUE SUR CETTE TERRE L'HOMME A TOUJOURS ET EST UN ANIMAL BIPEDE, QUI PARLE.
    MAIS LES AUTRES ANIMAUX, ONT EUX AUSSI LEURS LANGAGES QUE NOUS NE COMPRENONS PAS?
    EVITONS DE TUER NOS SEMBLABLES, MEME SI LEURS LANGUAGES EST AUTRE QUE LE NOTRE, POUR NOTRE BIEN ËTRE, ET CELUI DE NOTRE VIE SUR CETTE TERRE.
    POUR EN MONTER L'HORREUR, CELA EQUIVAUT A VOULOIR TUER DES HOMMES, DES FEMMES, ET DES ENFANTS, DE CONFESSIONS DIFFERENTES.
    THOMAS André & MARTINE ANCIAUX
    THOMAS André,poète,écrivain,
    MARTINE ANCIAUX,photographe d’art,créatrice de la photo-peinture, Martine ANCIAUX creator of the photo painting,art photographer,http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com

    ©Le cycle de la nature poème Thomas André©

    La venue du printemps s’annonce par la naissance de la fleur,
    Qui habille l’arbre de ses belles parures,
    Le transformant par l’apparition de couleurs,
    Alors, tel un mannequin il offre aux spectateurs sa verdure.

    Qui va se faner, ou se transformer par l’arrivée de l’été et sa chaleur.
    Alors assoiffé, il attendra les quelques gouttes d’eau pour se remettre en valeur,
    Ses branches aspirant cette humidité, qui lui permettra de résister au soleil.
    Et se montrera vaillant face au coucher de soleil.

    Quand les premières brumes automnales engendreront la chute de ses feuilles,
    Il ne se plaindra pas de se séparer de cette couverture.
    Il osera commencer, à montrer sa réelle architecture,
    Découvrant ses branches, et leurs structures dépouillées de ces feuilles.

    Aux premiers frimas de l’hiver, notre Arbre sera nu, et frigorifié.
    Se retrouvant livré à lui-même, frissonnant sous le vent glacial,
    Et à son pied, la neige le couvrira de son manteau blanc si spécial,
    Qui fait que l’on se trouve emmitouflé, et en même temps vitrifié.

    Alors, l’homme en son jardin,
    Attendra de revoir le chemin,
    Celui que sa marque a laissé,
    Pour que son petit éden soit matérialisé.

    Tel un animal ayant hiverné,
    Il patientera aux retours des jours ensoleillés,
    Et où, nature rime avec renaissance,
    Comme pour la femme qui attends une naissance.

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