vendredi 17 octobre 2014

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  1. mise à jour titre et tags du photo-poème mis en ligne sur youtube le 01-12-2010

    © LA CRECHE PoèmeTHOMAS ANDRE©

    Pour nous, chrétiens c’est le signe de l’avènement du fils de DIEU,
    Le début de la vie du CHRIST, l’enfant roi, devenu homme, et notre seigneur JESUS.
    Par la même, elle montre aussi la foi des hommes en DIEU.
    Et notre croyance en fêtant chaque année la naissance de JESUS.

    S’il est un être que l’on peut vénérer c’est ce petit enfant,
    Qui bien que sacré ressemble à n’importe quel enfant.
    C’est là, la splendeur de la religion catholique,
    En effet, sur notre terre quoi de plus naturel qu’une naissance classique.

    L’enfant est le fruit de l’amour de deux êtres,
    Qui ont conçu une famille pour pouvoir épanouir leurs êtres.
    L’aboutissement de cette union est le petit bébé,
    Si petit dans nos grosses mains qu’on a peur de faire mal au bébé.

    Cet enfant qui paraît, pour toi le père, c’est ton devenir,
    Et tu le guideras vers son avenir.
    A la mère et à toi les angoisses des maladies,
    Les mauvaises chutes et l’apprentissage de la vie.

    Il ne viendra pas un jour sans souci,
    Et pourtant que son sourire te redonne goût à ta vie.
    Menacé de routine, avec lui, impossible.
    Chaque mot doit être vérifié, car sinon, il sera tel un perroquet incorrigible.

    A sa naissance aussi il y a eu ses parrains,
    Il est devenu ton monde,
    Dont au début il fut souverain,
    En attendant qu’enfin, tu puisses lui expliquer ce monde.

    Indiscipliné à l’adolescence, tu auras de grandes peines à le canaliser,
    Comme un mustang sauvage, tu devras lui apprendre à s’apprivoiser.
    Ignorant tes conseils, il ruera dans les brancards,
    En mésestimant tout ce que tu lui dis, en jetant tes discours au placard.

    Puis l’âge venant, il se souviendra de ce que tu disais,
    Ce n’était pas bête, alors, un peu choqué et si je l’écoutais.
    Toi qui l’âge venant, t’aura fait évolué, plus proche de lui tu seras,
    Et comme par hasard, les débats et les disputes s’envoleront de ce pas.

    Notre enfant roi lui, n’a pas eu cette chance et ne put rester avec nous,
    Car avec tous les pouvoirs de son père DIEU,
    Il a fait peur à certains hommes qui se prenaient pour des dieux,
    Sûrs d’eux, ils l’ont condamnaient et sacrifié sur la croix pour nous.

    Aujourd’hui à cause d’eux, nous n’avons put comprendre ce qui est en nous,
    Et tel des adolescents en révolte avec la société,
    Nous nous battons face à nos difficultés,
    En évitant d’écouter les préceptes des religions: « LA PAIX Soit AVEC VOUS ».

    Et nous voilà ce soir de Noel tous réunis,
    Pour partager la joie de ce revoir enfin unis,
    Oubliant les querelles et les mots assassins,
    Assis autour de la table, devant l’enfant JESUS, nous partageons notre pain.

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