POUR LE GROUPE AMITIE MARTINE ANCIAUX ET THOMAS André voir lire écouter et essayer de trouver des solutions MARTINE ANCIAUX ET THOMAS André. Présentation©HD Des Yeux pour Explorer ma Photo-Peinture MARTINE ANCIAUX Créatrice de la Photo-Peinture & le Poéte THOMAS André© D’abord un poème, que j’ai écrit, il y a plus de 14 ans, Pour nos amis les aveugles, et que nous avons Mis en ligne sur You Tube, après L’exposition artistique Pour la remise, des chiens d’aveugles, à nos amis les aveugles Le lien sur YOUTUBE https://youtu.be/AepkR-G8Hb0?si=8HZNh9cURvHS4spt Lire la présentation du diaporama. ©AVEUGLE Poème THOMAS André© Aveugle, c'est tout d'abord, vivre dans le noir, C'est palper, et s'aider de, ses mains, de l’odeur, de ses oreille, et du son, pour percevoir, C'est multiplier, les efforts, au quotidien, pour savoir, C'est, la quête de l'endroit, de chaque objet, Pour enfin pouvoir, Se déplacer, chez soi, sans buter, ni heurter, les choses, Pour aller, à sa guise, sans avoir, des psychoses. C'est fixer, en mémoire, un parcours idéal, Pour sembler, faire corps, avec l'espace, c'est vital. Etre aveugle, c'est en connaître plus, pour exister, C'est, à chaque seconde, se surpasser Et toi, l'homme qui ne voit pas, Tu forces mon admiration, Car, avec ténacité, et courage, Tu sais, ce que veut dire, l'action. Ton jugement, sur les êtres, est plus juste, que le mien, Et tu donnes, et reçois, énormément, de ton Chien. Vous qui vous aimez, et sembler, ne faire, que face, au mauvais sort, Grâce à ton ami, tu peux, enfin te diriger dehors. ©NOS YEUX POEME DE THOMAS André © Ecrit le 03-11-2024 Nos yeux, sont les moteurs de nos vies, Car sans eux, nous ne verrions pas, les couleurs de la vie, Et l’on voit, qu’au fil de l’âge, notre perception, s’affaiblit, d’où l’invention des lunettes, Pour ceux, qui n’ont pas eus dès, le plus jeune âge, des lunettes. Nous, qui sommes devenus vieux, avons vu L’évolution, On peut même dire, sans exagération, Que ce siècle, a était une révolution, Car, avant, point de détection Pour, le mal voyant, par l’usure, La vie, semblait, pour ceux-là, sans ressources, beaucoup plus dure. Mais, l’industrialisation, et le fonctionnement, de notre société, A finit, par produire, le même résultat final, pour les pauvres, de notre société. Loin d’améliorer notre situation, l’humain par son appât du gain, A élargit, encore, plus le fossé, des sans gains, Par le progrès, la rentabilisation financière, nous humains, avons causé notre perte, De notre humanité, en déclarant, l’argent roi, en profit, et perte.