PRESENTATION © LE REVE DE NOEL JOYEUX NOEL 2024 PHOTOS ET PHOTOS - PEINTURES de MARTINE ANCIAUX CREATRICE DE LA PHOTO – PEINTURE POEMES THOMAS André © NOUS AVIONS FAIT CE DIAPORAMA POUR REDONNER DE L’ESPOIR, Avant l’inauguration de NOTRE DAME DE PARIS A NOTRE PAYS LA FRANCE, MAIS IL Y A EUT MAYOTTE, et cet ouragan assassin, Qui a détruit MAYOTTE ET TOUTE L’ILE, et à laisser, que malheurs, tristesse, deuils, Et désolation, alors, nous n’avons pu qu’être dans le drame, de nos compatriote et De ces gens qui ont perdus des êtres chers, à qui nous présentons nos condoléances, Et tous ces blessés, et ces disparues, et la destruction de toutes leurs habitations, Et tout le manque de tout que cette catastrophe a engendré Après plusieurs jours d’hésitation, nous avons décidé, De le mettre en ligne en voulant croire que MAYOTTE, Revivra ET SERA RECONSTRUITE AVEC PLUS DE SECURITE, ET COMME VOUS NOUS N’OUBLIERONS JAMAIS LA CATASTROPHE, Les morts, les blessés, les traumatismes, MAIS IL FAUT VIVRE, POUR CEUX QUI RESTENT, ET CELA NE SERA PAS FACILE. QUE DIEU VOUS AIDENT ET NOUS AIDENT A ETRE TOUJOURS AUPRES DE VOUS. AVEC TOUT NOTRE CŒUR , NOTRE PEINE, ESSAYONS MALGRE LA SOUFFRANCE ET LES ABSENTS DE VOUS REDONNER L’ESPOIR, ET DE REUSSIR ; Avec toute notre amitié, et nos prières, Et notre aide, et de vous faire revoir la vie. LE 18/12/2024 A 0H22 HEUURE DE LA METROPOLE MARTINE ANCIAUX ET THOMAS André. Ces Ecrits ont étaient fait le 06/12/2024. A notre époque, où le mot paix, et trêve des confiseurs, sont devenues obsolètes, Il m’arrive, de me rappeler, des NOELS, de mon enfance. THOMAS André ; © LE REVE DE NOEL POEME THOMAS André © Quand j’étais petit, le mois de décembre, était le début de NOEL, Les quartiers des villes, et villages, s’enrichissaient, de crèches, des lumières de NOEL. Adultes, et enfants, souriaient plus souvent, un moment de grâce Flottait d’ans l’air, comme si l’évènement, nous donnait un instant de grâce. Croyants, ou non croyants, devenaient plus proches, Chacun, avait peu de sous, dans leurs poches, Mais aucun, n’aurait sacrifié, le repas de NOEL, Pour les catholiques, la fête était sacrée, on vivait, et on pensait NOEL. Comme par miracle, les pensées de ces êtres, étaient vers la paix, La fraternité, L’écoute des autres, devenaient primordiales, On sentait, un instant de calme, et de compréhension, un besoin de paix, Les jours précédant NOEL, étaient la ruée, dans les magasins, avec des foules cordiales. On aurait dit, que tout le monde, se connaissait, Les gens, dans les longues queues des étals, se parlaient Simplement, avec des petits sourires, et se disaient, des gentillesses, Ce mois de décembre, était unique, c’était le mois des gentillesses. La nativité, apportait la sérénité, Et chacun, voulait partager, ce moment de tranquillité, Même les enfants, les plus turbulents, s’achetaient une meilleure conduite, Pas, par conviction, non, c’était le mois, où ils se devaient d’avoir une bonne conduite. LE PAPA NOEL, ne pouvait gâter, que les enfants sages, Et chacun, de ses petits, s’attachait, à être très sage, A cette époque de l’année, aucun risque de laisser, la porte pas fermée, Cela, à notre époque, semble impensable, pourtant c’était vrai, on pouvait vivre sans fermer Sa maison, et dire, que maintenant, on cambriole tous les jours, On tue, tous les jours, Les femmes, et enfants, ne peuvent plus sortir, tranquille seule, Que s’est-il passé, pour que le rêve de NOEL, soit, que plus souvent, on reste seul.