MARTINE ANCIAUX PHOTOGRAPHE D'ART www.anciaux-photos.fr
met ce blog pour la diffusion de ces photos peintures et veut aussi faire découvrir sa facon de ressentir la photgraphie,SON ART;
Il y a déjà 13 ans que tu es parti Pourtant il n’y a pas un jour, que l’on ne parle de toi, Toi qui dans notre maison, tu étais en territoire conquis, Je me rappelle quand j’avais acheté ton grand panier, tu as de suite sut qu’il était pour toi
Après bon, le fauteuil, et le matin quand je t’amenais courir, Tu me faisais le cirque si je trainais un peu, pour toi il était l’heure de courir, On faisait des haltes d’eau, et après en route Ce chemin des rosiers tu l’as je ne sais combien de fois cette route
Je me rappelle un soir dans le jardin, Je t’avais dit de faire attention au jardin Ta Rencontre avec monsieur hérisson, Avait été épique, ta curiosité n’avait pas emballé le hérisson
Combien d’histoires j’aurais à raconter, toi que nous aimions tant, Et qui s’appelait Cartan Le plus gros coup que tu nous as fait, C’était à ce restaurant, Qui acceptait les chiens, et toi tu n’acceptais pas les clients, et pourtant
Tu nous manques et souvent avec Martine on parle de tes coups pendables, Qui nous faisaient faire les gros yeux, mais tu étais toujours pardonnable, Tu nous aimais énormément, et je n’ai plus voulu d’autres chiens Car pour moi, ce n’aurait pas était vraiment, mon chien.
CECI EST UN HOMMAGE A NOS AMIS LES BËTES
RépondreSupprimerMARTINE ANCIAUX ET THOMAS André.
©NOTRE CHIEN CARTAN POEME THOMAS André©
Il y a déjà 13 ans que tu es parti
Pourtant il n’y a pas un jour, que l’on ne parle de toi,
Toi qui dans notre maison, tu étais en territoire conquis,
Je me rappelle quand j’avais acheté ton grand panier, tu as de suite sut qu’il était pour toi
Après bon, le fauteuil, et le matin quand je t’amenais courir,
Tu me faisais le cirque si je trainais un peu, pour toi il était l’heure de courir,
On faisait des haltes d’eau, et après en route
Ce chemin des rosiers tu l’as je ne sais combien de fois cette route
Je me rappelle un soir dans le jardin,
Je t’avais dit de faire attention au jardin
Ta Rencontre avec monsieur hérisson,
Avait été épique, ta curiosité n’avait pas emballé le hérisson
Combien d’histoires j’aurais à raconter, toi que nous aimions tant,
Et qui s’appelait Cartan
Le plus gros coup que tu nous as fait, C’était à ce restaurant,
Qui acceptait les chiens, et toi tu n’acceptais pas les clients, et pourtant
Tu nous manques et souvent avec Martine on parle de tes coups pendables,
Qui nous faisaient faire les gros yeux, mais tu étais toujours pardonnable,
Tu nous aimais énormément, et je n’ai plus voulu d’autres chiens
Car pour moi, ce n’aurait pas était vraiment, mon chien.