MARTINE ANCIAUX PHOTOGRAPHE D'ART www.anciaux-photos.fr
met ce blog pour la diffusion de ces photos peintures et veut aussi faire découvrir sa facon de ressentir la photgraphie,SON ART;
Le 6 juin 1944, sur les côtes normandes, de nombreux soldats sont morts, Pour nous libérer du nazisme, et nous faire vivre notre vie de ce jour. Où le mot liberté, est brandi comme un étendard sans support, Et que chacun, veut chérir en son pays pour toujours.
A cette époque, cette opération fut très meurtrière, Sous le feu nourri des allemands, français, américains, canadiens, anglais, S’efforcèrent de gagner la plage, malgré des conditions dignes d’une souricière. Du courage, il en fallait, et les pertes s’accumulaient.
Mais jamais, ils ont douté, Et ces braves nous ont délivrés, Nous offrant la joie de la liberté, Celle que l’on cherche, pour la vérité.
Celle qui nous motive Quand le joug est si fort, et si destructif, Nous abrogeant un espace de vie qui s’esquive, Sous la force du pouvoir abusif.
Nous avons rendu hommage, à ces héros, Ceux, qui ont aussi fait face aux zéros, Dans le pacifique, pour retrouver la dignité, Celle des peuples bafoués et opprimés, dans leurs sensibilités.
Aujourd‘hui, de grands cimetières, nous rappelle ce temps, Pourtant pas si lointain, où l’écoute d’une radio était interdite, Et chaque soir, on écoutait radio Londres pour croire à un autre temps, Jusqu’à ce fameux soir, où le message diffusé était symbole d’une vérité prescrite.
Les vers du débarquement furent les suivants: «Les sanglots longs des violons de l'automne, Blessent mon coeur d'une langueur monotone..." Ces vers de VERLAINE, donnaient le signal pour les assaillants.
Toi, qui le l'a pas vécu, Toi, qui ne l'a pas connu, Toi, qui n'était pas encore né, Lors, de ces dures années.
Ils ont offert leurs vies, Pour que toi, son enfant, ou son petit enfant, Tu puisses vivre ta vie, Et construire dans la liberté, le chemin de tes enfants.
Ces hommes, et ces femmes, de France, et de partout, Se sont unis, contre le nazisme, venus d’Allemagne, Un fléau, contre la vie, et ses atouts, Ne laissant que, morts, larmes, ruines, dans les villes et les campagnes.
Aussi, toi l’enfant, l’adolescent, l’adulte, ou le vieux, qui n’a pas connu ces horreurs, Pense que ce n’est pas du cinéma, et que cela a existé en vérité, Et que toi, homme, ou femme, êtes capables, de faire de telles horreurs, Souvient toi toujours, et ne cherche pas, à éviter, cette triste vérité.
Il Y A LONGTEMPS PETIT, JE PENSE, Que tu n’étais pas né, ou si petit, Mais sache que cela a existé, Et sache que ta mémoire, sera le livre de notre humanité.
Il faut connaître les monstruosités de la guerre, Et toujours en soi, les mémoriser pour éviter d'autres guerres, Il y a des générations qui n'ont vu que des conflits mondiaux, D’autres n'ont subi que les images de conflit régional,
Mais dans tous les cas, les horreurs, et la terreur, les ont accompagnés, Ne te laisse pas distraire, parce que ce sont des images visionnées, Dans chaque lieu que tu vois, ou que tu sois, La déchéance de l'homme, sera ce que tu vois,
Comment faire pour éviter cela, Plus facile à dire, ou à écrire, qu'à faire Car l'humain a en lui ce côté belliqueux, et cela Est le problème, pour apprivoiser, ce raisonnement à faire ?
RépondreSupprimerPRESENTATION ©D.DAY-6 JUIN 1944 DEBARQUEMENT-
6 JUIN 2020 NOUS N'OUBLIERONS JAMAIS
MARTINEANCIAUX THOMAS André©
©D.DAY POEME DE THOMAS ANDRE©
Il y a longtemps sur une planète qu’on appelle terre,
Des hommes, et des femmes, ont donné leurs vies pour que tu sois libre.
Toi, l’homme du 21eme siècle, si heureux d’être sur terre,
Sans que tu te rendes bien compte, de ce que veux dire Libre.
Le 6 juin 1944, sur les côtes normandes, de nombreux soldats sont morts,
Pour nous libérer du nazisme, et nous faire vivre notre vie de ce jour.
Où le mot liberté, est brandi comme un étendard sans support,
Et que chacun, veut chérir en son pays pour toujours.
A cette époque, cette opération fut très meurtrière,
Sous le feu nourri des allemands, français, américains, canadiens, anglais,
S’efforcèrent de gagner la plage, malgré des conditions dignes d’une souricière.
Du courage, il en fallait, et les pertes s’accumulaient.
Mais jamais, ils ont douté,
Et ces braves nous ont délivrés,
Nous offrant la joie de la liberté,
Celle que l’on cherche, pour la vérité.
Celle qui nous motive
Quand le joug est si fort, et si destructif,
Nous abrogeant un espace de vie qui s’esquive,
Sous la force du pouvoir abusif.
Nous avons rendu hommage, à ces héros,
Ceux, qui ont aussi fait face aux zéros,
Dans le pacifique, pour retrouver la dignité,
Celle des peuples bafoués et opprimés, dans leurs sensibilités.
Aujourd‘hui, de grands cimetières, nous rappelle ce temps,
Pourtant pas si lointain, où l’écoute d’une radio était interdite,
Et chaque soir, on écoutait radio Londres pour croire à un autre temps,
Jusqu’à ce fameux soir, où le message diffusé était symbole d’une vérité prescrite.
Les vers du débarquement furent les suivants:
«Les sanglots longs des violons de l'automne,
Blessent mon coeur d'une langueur monotone..."
Ces vers de VERLAINE, donnaient le signal pour les assaillants.
©SOUVIENT TOI TOUJOURS, LA GUERRE 1939-1945 POEME DE THOMAS ANDRE©
Toi, qui le l'a pas vécu,
Toi, qui ne l'a pas connu,
Toi, qui n'était pas encore né,
Lors, de ces dures années.
Ils ont offert leurs vies,
Pour que toi, son enfant, ou son petit enfant,
Tu puisses vivre ta vie,
Et construire dans la liberté, le chemin de tes enfants.
Ces hommes, et ces femmes, de France, et de partout,
Se sont unis, contre le nazisme, venus d’Allemagne,
Un fléau, contre la vie, et ses atouts,
Ne laissant que, morts, larmes, ruines, dans les villes et les campagnes.
Aussi, toi l’enfant, l’adolescent, l’adulte, ou le vieux, qui n’a pas connu ces horreurs,
Pense que ce n’est pas du cinéma, et que cela a existé en vérité,
Et que toi, homme, ou femme, êtes capables, de faire de telles horreurs,
Souvient toi toujours, et ne cherche pas, à éviter, cette triste vérité.
©Rappelle-toi POEME THOMAS André©
Il Y A LONGTEMPS PETIT,
JE PENSE, Que tu n’étais pas né, ou si petit,
Mais sache que cela a existé,
Et sache que ta mémoire, sera le livre de notre humanité.
Il faut connaître les monstruosités de la guerre,
Et toujours en soi, les mémoriser pour éviter d'autres guerres,
Il y a des générations qui n'ont vu que des conflits mondiaux,
D’autres n'ont subi que les images de conflit régional,
Mais dans tous les cas, les horreurs, et la terreur, les ont accompagnés,
Ne te laisse pas distraire, parce que ce sont des images visionnées,
Dans chaque lieu que tu vois, ou que tu sois,
La déchéance de l'homme, sera ce que tu vois,
Comment faire pour éviter cela,
Plus facile à dire, ou à écrire, qu'à faire
Car l'humain a en lui ce côté belliqueux, et cela
Est le problème, pour apprivoiser, ce raisonnement à faire ?