MARTINE ANCIAUX PHOTOGRAPHE D'ART www.anciaux-photos.fr
met ce blog pour la diffusion de ces photos peintures et veut aussi faire découvrir sa facon de ressentir la photgraphie,SON ART;
Il est des lieux dans le monde, dont l’histoire est peu connue, Et plus chargée, qu’il n’y parait. Pour les photographes, ces gens qui semblent peu connus, Leurs appareils photos, les conditionnent vers l’inconnu, ce monde qui leur apparait
Le partage, étant dans leurs religions, Le fait de trouver quelque chose, ou un lieu nouveau, implique immédiatement sa signalisation, Le désir d’être le cartographe, de la terre des photos, Ce sentiment de recherche, est aussi reconnu par la rigueur, et la perfection de faire de la photo,
Un monde surréaliste, rigoureux et pourtant si créatif, La photographie pour moi, est un phénomène très inventif, Car enfin reproduire, et fixer l’image de nos vues, Avec une exactitude telle, que des années après, on reconnaît où a été prise cette vue.
Est déroutant, car même ma mémoire aux temps où elle était très bonne, Ne pouvait restituer, sans aucune faute, ce cliché Que le professionnel avait matérialisé, Alors avec une certaine jalousie, j’admets que la photo est plus bonne,
Pour montrer, Un monde plus incroyable qu’il n’y parait dans notre univers temps, Celui qu’avant l’art photographique, les peintres donnaient l’impression de figer le temps, En gravant sur la toile, les impressions qu’ils voyaient, Ils furent les descendants sans le savoir de la photographie, en immortalisant ce qu’ils voyaient.
Comme un orpailleur, ou un chercheur de diamants, le chasseur d’images Réalise Une étude photographique, de ceux qui a existé, en le matérialisant en images Pour permettre un témoignage visuel, de notre humanité, Pour montrer en images, la constante de l’existence de la vie.
Il est toujours intéréssant de connaître la vie de ces lieux LA GARDE GUERIN EN LOZERE Par WIKIPEDIA Histoire : Village traversé par le Chemin de Régordane (GR700), Axe de communication presque unique reliant le Massif central à la Méditerranée, Très fréquenté au Moyen Âge. À l’origine, Ce chemin était connu sous le nom de l’Estrade (occitan estrada, « grande route », du latin strata).
Au XIIème siècle, à la demande de l’évêque de Mende, Le village devient un poste frontière défendu par une garnison chargée De la sécurité des voyageurs et des marchandises sur la Regordane. Pendant tout le XIIIe siècle, ce lieu s’appelle simplement La Garde. Le nom de Guérin n’apparaît qu’en 1298.
Le village fortifié, ou castrum de La Garde, est possédé en coseigneurie Par une communauté de chevaliers los Parièrs (en occitan : « les Égaux », du latin pares), Communauté économique et militaire dans l'esprit des Écoles de chevalerie florissante en France Dès le XIIe siècle qui prêtent serment à l'évêque de Mende. Chaque parièr possède une parérie, Appelée aussi part ou portion, dont il assume la charge et perçoit les revenus : Péage, cartelage (droit sur la mesure du grain), guidage et protection des voyageurs, Des animaux et des marchandises sur la portion du chemin de Régordane Qu’ils entretenaient, pulvérage (droit sur la poussière soulevée par les troupeaux de bêtes).
Au XIIIe siècle, un chevalier peut devenir parier dès qu’il a 16 ans, Réside sur place, et assure le service. C’est l’acte créateur de la parérie. Pour empêcher un trop grand démembrement, le nombre de paréries Ou portions d’un parièr est limité et des conditions restrictives seront aménagées au fur Et à mesure par des statuts (les premiers datent de 1228).
©LE PHOTOGRAPHE, UN AVENTURIER CHERCHEUR D’IMAGES POEME THOMAS ANDRE©24-4-2020
RépondreSupprimerIl est des lieux dans le monde, dont l’histoire est peu connue,
Et plus chargée, qu’il n’y parait.
Pour les photographes, ces gens qui semblent peu connus,
Leurs appareils photos, les conditionnent vers l’inconnu, ce monde qui leur apparait
Le partage, étant dans leurs religions,
Le fait de trouver quelque chose, ou un lieu nouveau, implique immédiatement sa signalisation,
Le désir d’être le cartographe, de la terre des photos,
Ce sentiment de recherche, est aussi reconnu par la rigueur, et la perfection de faire de la photo,
Un monde surréaliste, rigoureux et pourtant si créatif,
La photographie pour moi, est un phénomène très inventif,
Car enfin reproduire, et fixer l’image de nos vues,
Avec une exactitude telle, que des années après, on reconnaît où a été prise cette vue.
Est déroutant, car même ma mémoire aux temps où elle était très bonne,
Ne pouvait restituer, sans aucune faute, ce cliché
Que le professionnel avait matérialisé,
Alors avec une certaine jalousie, j’admets que la photo est plus bonne,
Pour montrer, Un monde plus incroyable qu’il n’y parait dans notre univers temps,
Celui qu’avant l’art photographique, les peintres donnaient l’impression de figer le temps,
En gravant sur la toile, les impressions qu’ils voyaient,
Ils furent les descendants sans le savoir de la photographie, en immortalisant ce qu’ils voyaient.
Comme un orpailleur, ou un chercheur de diamants, le chasseur d’images
Réalise Une étude photographique, de ceux qui a existé, en le matérialisant en images
Pour permettre un témoignage visuel, de notre humanité,
Pour montrer en images, la constante de l’existence de la vie.
Il est toujours intéréssant de connaître la vie de ces lieux
LA GARDE GUERIN EN LOZERE Par WIKIPEDIA
Histoire : Village traversé par le Chemin de Régordane (GR700),
Axe de communication presque unique reliant le Massif central à la Méditerranée,
Très fréquenté au Moyen Âge. À l’origine,
Ce chemin était connu sous le nom de l’Estrade (occitan estrada, « grande route », du latin strata).
Au XIIème siècle, à la demande de l’évêque de Mende,
Le village devient un poste frontière défendu par une garnison chargée
De la sécurité des voyageurs et des marchandises sur la Regordane.
Pendant tout le XIIIe siècle, ce lieu s’appelle simplement La Garde.
Le nom de Guérin n’apparaît qu’en 1298.
Le village fortifié, ou castrum de La Garde, est possédé en coseigneurie
Par une communauté de chevaliers los Parièrs (en occitan : « les Égaux », du latin pares),
Communauté économique et militaire dans l'esprit des Écoles de chevalerie florissante en France
Dès le XIIe siècle qui prêtent serment à l'évêque de Mende. Chaque parièr possède une parérie,
Appelée aussi part ou portion, dont il assume la charge et perçoit les revenus
: Péage, cartelage (droit sur la mesure du grain), guidage et protection des voyageurs,
Des animaux et des marchandises sur la portion du chemin de Régordane
Qu’ils entretenaient, pulvérage (droit sur la poussière soulevée par les troupeaux de bêtes).
Au XIIIe siècle, un chevalier peut devenir parier dès qu’il a 16 ans,
Réside sur place, et assure le service. C’est l’acte créateur de la parérie.
Pour empêcher un trop grand démembrement, le nombre de paréries
Ou portions d’un parièr est limité et des conditions restrictives seront aménagées au fur
Et à mesure par des statuts (les premiers datent de 1228).