vendredi 30 mars 2018

©HD Parcs Nationaux USA 5 2008 BryceCanyon

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  1. Présentation ©HDParcs Nationaux USA n°5 -2008-Bryce Canyon & Moab
    Photo&Photo-Peinture Anciaux Martine MondeTVweb©

    THOMASANDRE,poète,écrivain,
    MARTINEANCIAUX,photographed’art,créatricedelaphoto-peinture,creatorphotopainting,
    Art 21ème Siècle, art photographer,

    ©BRYCE CANYON © THOMAS ANDRE

    Ici, tout n’est que structure,
    Des assemblages de pierres, formant de nouvelles architectures,
    Mêlant, le travail de l’érosion, avec la couleur,
    Ou chaque grain de sable, semble être mis en valeur.

    Le grand architecte de cet ordonnancement,
    N’est pas l’homme, finalement.
    C’est notre mère Nature,
    Qui sans relâche, chaque jour a édifié cette figure.

    Perfectionnant son aspect, en le modifiant,
    Le structurant, et le laissant tel quel, pour ses quelques instants.
    En effet, comment dans 1000ans, cela aura-t- il évolué,
    Nous, hommes ne pouvant le deviner.

    Même, avec le meilleur programme informatique,
    Et l’esclave qui va avec, vous savez celui qui rentre les paramètres,
    Impossible de savoir, malgré tous les calculs savants, de la machine fantastique,
    L’évolution sur le terrain, de nos sculptures, cela il nous faut l’admettre.

    Apprécions alors, ce que le regard nous offre,
    Je vois un jeu d’échec, où est installée chaque pièce.
    Mon plateau est virtuel, et je joue comme par instinct mes pièces,
    Afin de croire, que je peux mettre en échec, ce plaisir que la nature m’offre.

    De défilés, en gorges,
    Aux barrières frontales,
    Je domine cet ensemble, et ma joie en regorge,
    La lumière, jouant sur le massif, et ses statues sidérales.

    Le soleil joue, a modifié les couleurs,
    Me renvoyant, comme un enfant, dans des interrogations,
    Pour suivre son chemin, et ses pérégrinations,
    Et cherchant comment, il créera dans l’espace, la profondeur.

    Moi, hébété, ahuri, par toute cette beauté,
    Je suis sans voix, mes yeux trop petits, pour couvrir cette immensité.
    Je me sens comme un lilliputien, ou comme Arthur, et les minimoys,
    Et me voici, maintenant dans un monde de toys.

    Déboussolé, et un peu surpris, par mon raisonnement,
    Je vois apparaître, mon ami plus petit, l’écureuil,
    Un sourire, s’échappe de mon visage, finalement,
    A son échelle, aussi je suis un géant, n’ai pas peur gentil écureuil.

    Dans un dernier regard, j’emporte ce paysage dans mon souvenir,
    Comme oppressé, par tant de belles choses, je pousse un soupir,
    Et germe en moi, l’envie d’y revenir,
    Car je le sais, je n’ai pas pu tout voir, malgré tout mon désir.
    ©MOAB Poème THOMAS ANDRE©

    Un nom, qui marque l’esprit,
    Qui fait penser, aux chefs indiens,
    Ici, nous sommes en territoires indiens,
    Et cette couleur rouge, nous le rappelle à l’esprit.

    Ici, ce qui frappe, c’est l’espace,
    Tout est grand et massif, et pourtant si petit, dans cet immense espace.
    Des amas de pierres, ayant leurs formes propres,
    Se substituant à des monuments aux sens propres.

    En cherchant bien, on aurait l’impression, que ce n’est pas fait par la nature,
    Mais par une force, et une intelligence supérieure,
    Chez nous, les chrétiens, il se nomme DIEU, voir les écritures.
    Mon ressenti, est celui de l’homme, qui découvre l’étrangeté, ailleurs.

    Et il se sent si petit, qu’il en devient humain,
    Cette nature environnante, fabuleuse, lui tend les mains,
    Et alors, émerveillé comme l’enfant,
    Qui se jette dans les bras de sa maman.

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