MARTINE ANCIAUX PHOTOGRAPHE D'ART www.anciaux-photos.fr
met ce blog pour la diffusion de ces photos peintures et veut aussi faire découvrir sa facon de ressentir la photgraphie,SON ART;
Aussi léger qu’une feuille, Mais plus fort que cette feuille Face aux vents, tu continues ton travail, Butiner voilà ton travail.
Quand j’étais jeune, j’ai eus des cocons, Dans des boites à chaussures vides, qu’on nourrissait Avec des feuilles de mûriers et on les chouchoutait, Comme participant aux cycles de vie de ses cocons,
C’était la période des vers à soie, Il n’existait pas d’enfant n’ayant pas ses propres vers à soie Et puis en grandissant cette occupation S’est éteinte, et renouvelée par d’autre préoccupations
En pénétrant dans la serre à papillons, D’abord, je fus émerveillé, par la diversité des papillons, Puis comme obnubilé, pour lire tout ce qui les concerne, A nouveau, la fièvre aux papillons m’habitait, et mes cocons du passé venaient de se libérer.
Comme un signal, tu te dresses dans la nature, Te soulevant de terre comme pour t'offrir en pâture, Aux nombreux insectes a qui tu sers de nourriture, Et qui travaille à perdre haleine pour cette nourriture.
Tu sembles là, que pour donner la vie, Alors que la tienne n'est que survie, Comme un phare tu indiques le chemin, Sur ce sol, point n'est besoin de GPS aux insectes pour trouver ton chemin.
Tu traces leurs parcours, Sans plus de discours, Et tes sublimes couleurs, Les dirigent, et les appellent, en douceur.
Moi qui suit, qu'un observateur, Suis stupéfait, par ta capacité d'interlocuteur, Tu n'es pourtant, point passive, Et grâce à eux, ta reproduction s'active.
Tu le vois, ton rôle est plus qu'important, il est même, prépondérant. Sans toi, point d'équilibre, sur notre terre, Car tu es la pierre angulaire, pour les insectes de notre terre.
Mais parlons de toi, Tes couleurs nous émerveillent, et nous ne savons pas faire notre choix, Car au printemps, tu es la renaissance, Avant que d'autres, grâce à toi, donnent naissance.
Tout ce petit monde, tourne autour de ta personne, Comme la trotteuse d'une montre, décompte notre temps, Tu es la ressource de vie, de nombres de personnes, Et cela depuis, fort longtemps.
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RépondreSupprimerAMICALEMENT MARTINE ANCIAUX
PRESENTATION©HD La Serre aux Papillons La Queue-Lez-Yvelines 15-06-2017
Photo&Photo-Peinture Anciaux Martine Monde tv web nature vie©
THOMASANDRE,poète,écrivain
MARTINE ANCIAUX,photographe d’art,créatrice de la photo-peinture,
Martine ANCIAUX creator photo painting, Art 21ème Siècle, art photographer,photo-peinture,photo,pensée,
©Papillon poème THOMAS André©
Aussi léger qu’une feuille,
Mais plus fort que cette feuille
Face aux vents, tu continues ton travail,
Butiner voilà ton travail.
Quand j’étais jeune, j’ai eus des cocons,
Dans des boites à chaussures vides, qu’on nourrissait
Avec des feuilles de mûriers et on les chouchoutait,
Comme participant aux cycles de vie de ses cocons,
C’était la période des vers à soie,
Il n’existait pas d’enfant n’ayant pas ses propres vers à soie
Et puis en grandissant cette occupation
S’est éteinte, et renouvelée par d’autre préoccupations
En pénétrant dans la serre à papillons,
D’abord, je fus émerveillé, par la diversité des papillons,
Puis comme obnubilé, pour lire tout ce qui les concerne,
A nouveau, la fièvre aux papillons m’habitait, et mes cocons du passé venaient de se libérer.
©FLEURS POEME DE THOMAS ANDRE©
Comme un signal, tu te dresses dans la nature,
Te soulevant de terre comme pour t'offrir en pâture,
Aux nombreux insectes a qui tu sers de nourriture,
Et qui travaille à perdre haleine pour cette nourriture.
Tu sembles là, que pour donner la vie,
Alors que la tienne n'est que survie,
Comme un phare tu indiques le chemin,
Sur ce sol, point n'est besoin de GPS aux insectes pour trouver ton chemin.
Tu traces leurs parcours,
Sans plus de discours,
Et tes sublimes couleurs,
Les dirigent, et les appellent, en douceur.
Moi qui suit, qu'un observateur,
Suis stupéfait, par ta capacité d'interlocuteur,
Tu n'es pourtant, point passive,
Et grâce à eux, ta reproduction s'active.
Tu le vois, ton rôle est plus qu'important,
il est même, prépondérant.
Sans toi, point d'équilibre, sur notre terre,
Car tu es la pierre angulaire, pour les insectes de notre terre.
Mais parlons de toi,
Tes couleurs nous émerveillent, et nous ne savons pas faire notre choix,
Car au printemps, tu es la renaissance,
Avant que d'autres, grâce à toi, donnent naissance.
Tout ce petit monde, tourne autour de ta personne,
Comme la trotteuse d'une montre, décompte notre temps,
Tu es la ressource de vie, de nombres de personnes,
Et cela depuis, fort longtemps.