MARTINE ANCIAUX PHOTOGRAPHE D'ART www.anciaux-photos.fr
met ce blog pour la diffusion de ces photos peintures et veut aussi faire découvrir sa facon de ressentir la photgraphie,SON ART;
7-10-2017 AMIS INTERNAUTES LE COEUR peut-être malade de plusieurs façons la romantique, quand le coeur bat la chamade, quand il voit sa dulcinée la préocuppante, alternant l'arythmie, ou la tachycardie la définitive pas tous le temps mais la crise cardiaque pardonne pas souvent enfin il y a celui du coeur brisé, par la mort d'un proche ou un divorce, Et malgré tout cela, nous humains arrivons a vivre . THOMAS André
Lorsque mon cœur dans ma poitrine ne battra plus, Et que tu ne sauras pas, pourquoi je n’y suis plus, Tu devras penser, que ce battement n’a point cesser pour toi, Et que même mort, il bat encore pour toi.
Comme notre amour, qui sera toujours éternel, Tu auras la charge, de penser à toi, Même si ce n’est pas, de ton goût à toi, Et alors, peut-être même, un jour de Noël,
Sans que même, tu t’y attendes, Tu sentiras frémir, le battement de ce cœur délaissé, Tu ne sauras pas pourquoi, comme une offrande, Il voudra retrouver sa nouvelle vérité, comme si, il était lassé,
De souffrir, de ne plus s’extasier, De ne plus savoir apprécier, Alors, comme un esclave révolté, Dans un chahut impressionnant, il aura hâte de récolter,
La sève dont il est issu, Et dont ta marche sans issue, Le forcer, à survivre, Lui qui ne voulait, que vivre.
Et étonné, sans le vouloir, Sans même le savoir, Tu t’accrocheras petitement, comme au commencement, un arbre, Avant de devenir, plus bruyant, et fort comme un arbre.
7-10-2017 AMIS INTERNAUTES
RépondreSupprimerLE COEUR peut-être malade de plusieurs façons
la romantique, quand le coeur bat la chamade, quand il voit sa dulcinée
la préocuppante, alternant l'arythmie, ou la tachycardie
la définitive pas tous le temps mais la crise cardiaque pardonne pas souvent
enfin il y a celui du coeur brisé, par la mort d'un proche ou un divorce,
Et malgré tout cela, nous humains arrivons a vivre .
THOMAS André
23/5/2016 MISE A JOUR ET CONTESTATION à YOUTUBE sur le refus de la musique du aux droits d'auteurs
BONJOUR,
Je voudrais que vous m'enleviez svp l'interdiction sur la bande son instrumentale du photo-poème le coeur,d'avance un très grand merci, car cette musique exprime la sentimentalité, et le ressentit de nos coeurs, une puissance d'amour, que tout être humain peut un jour ressentir, d'avance un grand merci, et je pense surtout a ces opérés du coeur, ou ses victimes de crise cardiaques dans le monde, ce diaporama est pour eux. merci
MARTINE ANCIAUX
11-09-2015 mise à jour de ce photo-poème
Ajoutée le 21 mai 2015
THOMAS ANDRE, auteur, écrivain ,poète, http://thomasandre.orgfree.com/poemes.html,
MARTINE ANCIAUX, photographe d’art,créatrice de la photo-peinture, photo painting,
Martine ANCIAUX, creator of the photo painting, new art of the photo painting, art photographer,
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com
Ce photo-poème est différent des autres, en effet il s’inspire beaucoup du Cœur, au point
De vue scientifique, médical, et à l’opposé, fait vivre le vrai cœur de monsieur, et madame tout le monde,UN BOJOUR A TOUS LES CARDIAQUES
Pressé de vivre le grand amour, de ressentir le grand frisson, de profiter de la vie,
De tenter l’aventure, de profiter des bonnes choses, de sentir vibrer ce cœur.
Comment lier les deux ? THOMAS André
©MON CŒUR PÖEME THOMAS ANDRE©
Lorsque mon cœur dans ma poitrine ne battra plus,
Et que tu ne sauras pas, pourquoi je n’y suis plus,
Tu devras penser, que ce battement n’a point cesser pour toi,
Et que même mort, il bat encore pour toi.
Comme notre amour, qui sera toujours éternel,
Tu auras la charge, de penser à toi,
Même si ce n’est pas, de ton goût à toi,
Et alors, peut-être même, un jour de Noël,
Sans que même, tu t’y attendes,
Tu sentiras frémir, le battement de ce cœur délaissé,
Tu ne sauras pas pourquoi, comme une offrande,
Il voudra retrouver sa nouvelle vérité, comme si, il était lassé,
De souffrir, de ne plus s’extasier,
De ne plus savoir apprécier,
Alors, comme un esclave révolté,
Dans un chahut impressionnant, il aura hâte de récolter,
La sève dont il est issu,
Et dont ta marche sans issue,
Le forcer, à survivre,
Lui qui ne voulait, que vivre.
Et étonné, sans le vouloir,
Sans même le savoir,
Tu t’accrocheras petitement, comme au commencement, un arbre,
Avant de devenir, plus bruyant, et fort comme un arbre.