MARTINE ANCIAUX PHOTOGRAPHE D'ART www.anciaux-photos.fr
met ce blog pour la diffusion de ces photos peintures et veut aussi faire découvrir sa facon de ressentir la photgraphie,SON ART;
THOMASANDRE,poète,écrivain MARTINE ANCIAUX,photographe d’art,créatrice de la photo-peinture, Martine ANCIAUX creator photo painting, Art 21ème Siècle, art photographer,photo-peinture, photo,pensée,
Contrairement à ce que l’on croit, chaque jour pour chacun, n’est pas forcément une chance. A.T
Comme un démon, qui vous ronge, Alimentant vos jours, en songes, Le jeu, est un poison Qui se distille doucement, et parfois sans raison,
Comment ne pas croire, que l’on peut gagner, Notre jugement est altéré, par la folie de jouer. Notre raison, est en deuil, Et sans s’en rendre compte, nous fonçons vers notre cercueil,
Celui, où la chance n’a plus cours, La déveine, est en cours, Et nous somme pris, par un sortilège, Ne sachant plus nous en défaire, comme un air de solfège.
Hanté, par le gain, Rattrapé, par les mauvaises passes, sans aucun gain, Nous glissons au fond du trou, sans fond, En croyant à la perspective de se refaire au fond.
Ajoutée le 2 août 2017
RépondreSupprimerPRESENTATION©©HD LE JEU UNE PASSION DEVORANTE POEME THOMAS André Photo&Photo-Peinture ANCIAUX Martine Monde Tv Monde Tv Web ADDICTION Education Film Music Vie PERTE©
THOMASANDRE,poète,écrivain
MARTINE ANCIAUX,photographe d’art,créatrice de la photo-peinture,
Martine ANCIAUX creator photo painting, Art 21ème Siècle, art photographer,photo-peinture, photo,pensée,
Contrairement à ce que l’on croit, chaque jour pour chacun, n’est pas forcément une chance. A.T
AMIS INTERNAUTES
©Le Jeu une passion dévorante poème THOMAS André©
Comme un démon, qui vous ronge,
Alimentant vos jours, en songes,
Le jeu, est un poison
Qui se distille doucement, et parfois sans raison,
Comment ne pas croire, que l’on peut gagner,
Notre jugement est altéré, par la folie de jouer.
Notre raison, est en deuil,
Et sans s’en rendre compte, nous fonçons vers notre cercueil,
Celui, où la chance n’a plus cours,
La déveine, est en cours,
Et nous somme pris, par un sortilège,
Ne sachant plus nous en défaire, comme un air de solfège.
Hanté, par le gain,
Rattrapé, par les mauvaises passes, sans aucun gain,
Nous glissons au fond du trou, sans fond,
En croyant à la perspective de se refaire au fond.