mercredi 7 juin 2017

©HDVouloirpoèmeThomasandréphotowebmartineanciauxcréatricephoto-peinturem...

1 commentaire:

  1. 7-6-2017
    Avec le recul de l'âge, on arrive à savoir que la vie n'est pas si simple qu'elle ne parait, et que ce que nous voulons, très peut souvent nous pouvons l'obtenir, c'est ce qu'on appelle le vouloir
    16-9-2015
    Une idée m'a traversée l'esprit,pour vous atteindre,vous les internautes,pour la puissance du mot vouloir dans ce photo-poème,et pour la possibilité de concrétiser cela,par sa pensée.
    combien d'entre nous,n'avons jamaIs rêver d'être comme le chante si bien Charles Aznavour dans sa chanson,si juste,et si belle" je me voyais dèjà en haut de l'affiche",riche et celèbre,
    parfois la vie réalise ces ambitions,mais aussi à quels prix,alors notre réflexion devient encore plus puissante dans le raisonnement et alors,avec conscience,et respect,on se sent bien d'être que ce que l'on est.THOMAS André
    translated by Google t6-9-2015
    An idea crossed my mind, to reach you, the users, to the power of the word want in this photo-poem, and the possibility to realize this,for his thought.
    How many of us have never dream to be like Charles Aznavour sings so well in his song, so just, and so beautiful "I saw myself already top of the bill", rich and celèbre,
    sometimes life makes these ambitions,but also at what price,then our thinking becomes even more powerful in reasoning and then with awareness,and respect,it feels good to be that what one is. THOMAS André
    THOMAS ANDRE,écrivain,poète,
    MARTINE ANCIAUX, photographe d’art,créatrice de la photo-peinture, Martine ANCIAUX creatorphotopainting,art photographer,

    Vouloir :qui n’a jamais dit je veux,on a tous au fond de nous des désirs secrets,
    des vouloirs peût-être,impossible à réaliser,mais ils sont là.
    ©VOULOIR POEME DE THOMAS ANDRE©

    Qui n’a jamais eu dans son esprit le mot vouloir,
    Qui d’ailleurs a le don de se mettre en symbiose avec le mot pouvoir,
    Comme une étiquette double, ses 2 verbes sont souvent pour nous jumeaux,
    Mais parfois, et même assez souvent trop beaux,

    Car combien de rêves, éveillés, et préfabriqués,
    Notre cerveau a t-il débloqués, tant de scénarios sophistiqués,
    Sans que pour autant, ils puissent se concrétiser, afin de les voir se réaliser en toute réalité.
    Paysages époustouflants, histoires fantastiques, ne vivrions nous pas alors, dans la virtualité.

    Notre cerveau qui est le modèle de l’ordinateur,
    Nous fait vibrer dans ce monde surprenant,
    Irréalisable mais tellement tentant,
    Comme ces fameux jeux de nos ordinateurs.

    L’aventure et la vie du mot vouloir,
    Nous plongent souvent dans le désespoir, et parfois nous grisent sans le vouloir,
    Comme un automate asservi par un esprit tentant,
    Nous soumettant souvent à des chemins contraignants,

    Qui nous épuisent pour souvent peu d’aboutissement,
    Et là comme par un malin plaisir nous laissent trahis de ressentiments,
    Comme si cette condition sine qua non qui se forme dans notre tête,
    Nous envahi notre cerveau, pour nous perturber au fond de notre tête,

    Car le manque de succès, dans notre entreprise,
    Nous laisse souvent là, au bord du chemin, groggys, et pleins de mauvaises surprises,
    Se disant que l’on a échoué, aux défis de sa vie,
    Pour ne pouvoir vivre, qu’en survie.

    Pourtant combien de gens, ont pu concrétiser ce qu’ils voulaient,
    Très peu, et c’est souvent, grâce à des circonstances,
    Que leur vie a basculés, dans la bonne alternance,
    Alors, soyons plus indulgent envers nous même, vouloir, ne rime pas avec, pouvoir, cela se saurait !

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