MARTINE ANCIAUX PHOTOGRAPHE D'ART www.anciaux-photos.fr
met ce blog pour la diffusion de ces photos peintures et veut aussi faire découvrir sa facon de ressentir la photgraphie,SON ART;
Lorsque j'étais enfant, il y avait un très grand champion de la course automobile qui s'appelait JUAN MANUEL FANGIO et qui courait sur Ferrari, en grandissant j'ai apprécié les courses automobiles, aussi bien sur circuits que sur routes, j'ai toujours aimé la vitesse, Temps révolu et à faire sur circuit, alors souvent depuis, je me construisais mon rêve, devant un écran de cinéma ou de télévision avec STEVE MAC QUEEN ET PAUL NEWMAN, j'étais pilote aux 24 heures du Mans, avec VATANEN et Peugeot je gagnais le Tour de Corse et le RALLYE DE MONTE CARLO, AVEC SEBASTIEN LOEB ET PSA, J'étais champion du monde des rallyes, Avec PROST j'étais champion du monde des conducteurs de F1, soit avec RENAULT soit avec FERRARI. J'ai fait ce photo poème pour un clin d'œil à mon rêve non abouti.
C'est une voiture de légende, Dont Fangio, en assura en partie la légende, Grâce, à ces très nombreuses victoires en grand prix, Ceux qui s'en souviennent, savent que le directeur de l'écurie Ferrari,
Était appelé, il commandatore, et que le cheval cabré, Qu'on appelait aussi la scuderia Ferrari, était en course très dur à dompter, Cette marque au drapeau, frappé de ce cheval dressé, Semait souvent une certaine peur, pour ces concurrents les plus empressés.
Les pilotes devaient gagner, pour le titre de champions de formule 1, Magnum s'en servit beaucoup pour ses enquêtes, Nous, devant nos télévisions en fauteuil, l'accompagnons dans ses enquêtes, Juste le temps de rêver avec la voiture rouge reine des formules 1.
Il y eut aussi le feuilleton, amicalement votre, Ce duo entre Roger Moore et Tony Curtis, L'un aristocrate anglais, l'autre du peuple, et américain, et ce Tony Curtis, Toujours prêt a rendre fou ce lord Brett Sinclair, entre autre.
La Ferrari, symbole de richesse, Voiture traitée en altesse, Étant la voiture sportive de luxe, Tout comme la Rolls-Royce, est la voiture de la majesté, et du luxe.
Souvent lorsque l'on voit ces voitures, un attroupement se fait, C'est le cercle des curieux, Mais aussi parfois, le clan des envieux, Car les moyens financiers manquant, devant celle-ci, on ne peut que rêver en fait.
C'est souvent, pour le commun des mortels, Une envie de possession, Qui peut tourner à la passion, Et souvent aux jeux de poker, et de casino, dans des hôtels,
VEGAS nous voilà, Essayons de gagner le pactole, Avant de nous brûler, comme avec du vitriol, Et nous mordre les doigts, devant la Ferrari qui n'est pas à nous,mais qui est là.
Alors comme lorsqu'on était enfant, l'objet de nos rêves, Devient et sera, une dinky toy de nos pensées, Et longtemps après, on émergera des rêves, Pour se jeter, dans la dure réalité si censée,
Ou le matériel, n'aurait plus droit de cité, Et ou les sentiments, nous comblerait, Et alors, notre famille nous emmènerait, Vers la joie, et le bonheur, dans notre maison en invités.
16-2-2017 SUITE A UNE INTERDICTION BANDE SON PAR YOUTUBE MIS BANDE SON BIBLIOTHEQUE YOUTUBE.
RépondreSupprimerMise à jour, titre tags,et présentation de ce photo-poème
©Ferrari poèmethomasandré photophotopeintureMartineAnciauxcreatorphotopaintingmondeTvWebsportpeople©
Mise en ligne le 10 janv. 2012
THOMAS André auteur,écrivain,poète,
http://thomasandre.orgfree.com/
J'ai utilisé les magnifiques photos de MARTINE ANCIAUX
Photographe d'art et créatrice de la photo-peinture,new art of the photo painting, phot painting, and martine anciaux creator of the photo painting, http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com,
Lorsque j'étais enfant, il y avait un très grand champion de la course automobile qui s'appelait JUAN MANUEL FANGIO et qui courait sur Ferrari, en grandissant j'ai apprécié les courses automobiles, aussi bien sur circuits que sur routes, j'ai toujours aimé la vitesse,
Temps révolu et à faire sur circuit, alors souvent depuis, je me construisais mon rêve, devant un écran de cinéma ou de télévision avec STEVE MAC QUEEN ET PAUL NEWMAN, j'étais pilote aux 24 heures du Mans, avec VATANEN et Peugeot je gagnais le Tour de Corse et le RALLYE DE MONTE CARLO, AVEC SEBASTIEN LOEB ET PSA, J'étais champion du monde des rallyes,
Avec PROST j'étais champion du monde des conducteurs de F1, soit avec RENAULT soit avec FERRARI. J'ai fait ce photo poème pour un clin d'œil à mon rêve non abouti.
©FERRARI POEME THOMAS ANDRE©
C'est une voiture de légende,
Dont Fangio, en assura en partie la légende,
Grâce, à ces très nombreuses victoires en grand prix,
Ceux qui s'en souviennent, savent que le directeur de l'écurie Ferrari,
Était appelé, il commandatore, et que le cheval cabré,
Qu'on appelait aussi la scuderia Ferrari, était en course très dur à dompter,
Cette marque au drapeau, frappé de ce cheval dressé,
Semait souvent une certaine peur, pour ces concurrents les plus empressés.
Les pilotes devaient gagner, pour le titre de champions de formule 1,
Magnum s'en servit beaucoup pour ses enquêtes,
Nous, devant nos télévisions en fauteuil, l'accompagnons dans ses enquêtes,
Juste le temps de rêver avec la voiture rouge reine des formules 1.
Il y eut aussi le feuilleton, amicalement votre,
Ce duo entre Roger Moore et Tony Curtis,
L'un aristocrate anglais, l'autre du peuple, et américain, et ce Tony Curtis,
Toujours prêt a rendre fou ce lord Brett Sinclair, entre autre.
La Ferrari, symbole de richesse,
Voiture traitée en altesse,
Étant la voiture sportive de luxe,
Tout comme la Rolls-Royce, est la voiture de la majesté, et du luxe.
Souvent lorsque l'on voit ces voitures, un attroupement se fait,
C'est le cercle des curieux,
Mais aussi parfois, le clan des envieux,
Car les moyens financiers manquant, devant celle-ci, on ne peut que rêver en fait.
C'est souvent, pour le commun des mortels,
Une envie de possession,
Qui peut tourner à la passion,
Et souvent aux jeux de poker, et de casino, dans des hôtels,
VEGAS nous voilà,
Essayons de gagner le pactole,
Avant de nous brûler, comme avec du vitriol,
Et nous mordre les doigts, devant la Ferrari qui n'est pas à nous,mais qui est là.
Alors comme lorsqu'on était enfant, l'objet de nos rêves,
Devient et sera, une dinky toy de nos pensées,
Et longtemps après, on émergera des rêves,
Pour se jeter, dans la dure réalité si censée,
Ou le matériel, n'aurait plus droit de cité,
Et ou les sentiments, nous comblerait,
Et alors, notre famille nous emmènerait,
Vers la joie, et le bonheur, dans notre maison en invités.