vendredi 22 mai 2015

©Le Vent L'Eau MartineAnciauxlivre"Lumières dansl'ojectif"créatricedelap...

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  1. MARTINE ANCIAUX, photographe d’art,créatrice de la photo-peinture, photo painting,
    Martine ANCIAUX, creator of the photo painting, new art of the photo painting, art photographer,
    http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com,

    ©LE VENT poème THOMAS André©

    LE PRINTEMPS, il chasse les nuages et embaume la campagne,
    Par des milliers de petits parfums qui se font jour même en montagne.
    Il chahute les arbres et joue avec les fleurs,
    Ne sachant pas que par sa force, il peut être leurs malheurs.

    L’ETE, sa brise rafraichit souvent l’atmosphère,
    Evitant les méfaits de la chaleur de notre biosphère.
    Par le mouvement des branches, il arrive à accentuer l’ombre,
    Nous laissant souvent perplexe sur son utilité et ses ombres.

    L’AUTOMNE, il hurle et déshabille ses pauvres arbres,
    Les laissant nus et sans parure,
    C’est le début du sommeil de la nature,
    C’est la fin du cycle de l’arbre.

    L’Hiver, lorsque que tu te dois d’être dehors, il te gifle.
    Te précipitant vers le plus proche refuge des toitures,
    Te donnant cette mauvaise sensation de froidure.
    Développant le besoin de protection, pour éviter qu’il te cingle.

    ©EAU POEME DE THOMAS ANDRE©

    Comme une goutte d’eau qui fera plus tard un fleuve,
    Comme une source qui nous abreuve,
    L’eau est un élément de notre vie qui est indispensable,
    Et qui est si riche en soi que s’en est impensable.

    Une force et un pouvoir,
    Une richesse pour notre avoir,
    Une beauté et une capacité pour notre savoir,
    Et si fragile à être potable, que pour nous s’en est un devoir,

    De l’empêcher de se tarir,
    De ne pas se battre pour la conquérir,
    Qu’ ignorer ses limites pour s’en servir,
    Est-ce une faute qui peut nous desservir.

    Comme un refrain qui me trotte dans la tête,
    La mélodie de l’eau,
    Mère nourricière que l’on fête,
    Est aussi celle que l’on sort au seau.

    Nos amis indiens d’Amérique avaient du respect, comme un pacte,
    Avec cette denrée si rare, et qui a tant d’impact,
    Sur notre vie si difficile à changer,
    Que ce serait un drame si elle venait à manquer, si on ne pouvait plus la piéger.

    Alors pendant des voyages initiatiques,
    Qui réfèrent à la maturité, il fallait qu’il trouve la force pour survivre, c’était systémique.
    Le monde, doit se préparer à prendre des mesures drastiques,
    Afin de protéger l’or blanc, et inverser les statistiques.

    Ceux qui nous prédisent un monde de sécheresse,
    Car l’eau venant à être si précieuse,
    Que seul, la posséder sera signe de richesse,
    Et la détention de celle-ci sera la plus belle pierre précieuse.

    Comme par enchantement le ciel a répondu à notre appel,
    Mouillant le sol et les voitures de ce liquide si merveilleux,
    Nous rafraîchissant et sonnant pour nous comme un rappel,
    De précautions pour nos futures décisions, pour éviter un avenir désastreux.

    Mais cette pluie qui se répand dans ce champ,
    Arrosant à foison les céréales de ce champ,
    Provoquant une immense joie à en crier,
    Par cette eau si difficile que l’on a à trouver.

    Alors, toi l’homme qui sans cesse l’utilise sans détour,
    Pense que le manque d’eau peut arriver à son tour,
    Et tu n’auras alors, peut être plus de recours,
    Car sans elle impossible de vivre ton parcours.

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