MARTINE ANCIAUX PHOTOGRAPHE D'ART www.anciaux-photos.fr
met ce blog pour la diffusion de ces photos peintures et veut aussi faire découvrir sa facon de ressentir la photgraphie,SON ART;
Alors que l’aurore allait se lever, Et dans le ciel, le soleil commençait à s’élever, Devant mes yeux éblouis, par ce rêve, Je songeais à ma vie, sans trêve.
Dans mon univers quotidien, si agité, Je me sens, comme une feuille emporté, Et cela me laisse souvent, dans des états seconds, Entre colère et raison, et loin de mes sentiments profonds.
Je voudrais être libre, Quel mot, quelle beauté, quelle splendeur, que d’être libre, Voyant ces oiseaux, si majestueux, Voler vers des horizons, plus fructueux,
Je voudrais faire comme eux, m’envoler désormais, M’échapper de cette ville, qui m’étouffe, Et dont son centre, m’engouffre, Et me laisse sans réactions, et comme enchaîné à jamais.
Anesthésié, par cette marche forcée, Comme si nous étions engoncés, Par ce progrès, qui nous abîme constamment, Lui, qui devait nous aider, à nous réaliser pleinement.
Alors, je m’évade en songes, Je cherche les cieux, et la mer, Cette couleur bleue qui me repose, loin du mensonge, Mes yeux cherchent un coin de tranquillité, et le ressac des vagues de la mer.
Alors, je retrouve en moi d’autres sensations, Un homme que je croyais disparu, où ses sentiments sortent à la perfection, Qui croirait, que je suis moi, Seul, peut être, toi.
Car, tu m’as connu avant, Et tu m’as vu, me transformant, Comme par magie, ou subterfuges provocants, Eloignant de tes pas, celui que tu aimais tant,
Ne me laisse pas sans toi, et loin de notre histoire, Je ne pourrais pas vivre, sans ton amour, Moi, qui croyais tout faire, pour parfaire notre amour, Je me suis fourvoyé, je suis là, larmoyant, pour pouvoir continuer notre histoire.
©L’EVASION POEME DE THOMAS ANDRE©
RépondreSupprimerAlors que l’aurore allait se lever,
Et dans le ciel, le soleil commençait à s’élever,
Devant mes yeux éblouis, par ce rêve,
Je songeais à ma vie, sans trêve.
Dans mon univers quotidien, si agité,
Je me sens, comme une feuille emporté,
Et cela me laisse souvent, dans des états seconds,
Entre colère et raison, et loin de mes sentiments profonds.
Je voudrais être libre,
Quel mot, quelle beauté, quelle splendeur, que d’être libre,
Voyant ces oiseaux, si majestueux,
Voler vers des horizons, plus fructueux,
Je voudrais faire comme eux, m’envoler désormais,
M’échapper de cette ville, qui m’étouffe,
Et dont son centre, m’engouffre,
Et me laisse sans réactions, et comme enchaîné à jamais.
Anesthésié, par cette marche forcée,
Comme si nous étions engoncés,
Par ce progrès, qui nous abîme constamment,
Lui, qui devait nous aider, à nous réaliser pleinement.
Alors, je m’évade en songes,
Je cherche les cieux, et la mer,
Cette couleur bleue qui me repose, loin du mensonge,
Mes yeux cherchent un coin de tranquillité, et le ressac des vagues de la mer.
Alors, je retrouve en moi d’autres sensations,
Un homme que je croyais disparu, où ses sentiments sortent à la perfection,
Qui croirait, que je suis moi,
Seul, peut être, toi.
Car, tu m’as connu avant,
Et tu m’as vu, me transformant,
Comme par magie, ou subterfuges provocants,
Eloignant de tes pas, celui que tu aimais tant,
Ne me laisse pas sans toi, et loin de notre histoire,
Je ne pourrais pas vivre, sans ton amour,
Moi, qui croyais tout faire, pour parfaire notre amour,
Je me suis fourvoyé, je suis là, larmoyant, pour pouvoir continuer notre histoire.