MARTINE ANCIAUX PHOTOGRAPHE D'ART www.anciaux-photos.fr
met ce blog pour la diffusion de ces photos peintures et veut aussi faire découvrir sa facon de ressentir la photgraphie,SON ART;
Aussi loin que je m’en souvienne, Lorsque petit, la disparition du jour, Etait pour moi, comme une souffrance, due à cette obscurité, Tout se transformait, par rapport à la vérité du jour.
Lorsque ces ombres, se multipliaient, et que je jetais un œil derrière moi, Comme si quelqu’un était après moi, Lors de l’adolescence, le soir devint symbole de sorties, Et là, pour en profiter, il ne fallait pas être privé de sorties.
Que ceux, qui ont connu le temps des parents plus stricts, se rappellent, La demande pour aller dehors, était une sacrée procédure, Et le travail d’écolier devait être terminé, avant de se lancer dans cette ouverture, Est-ce que je peux sortir, mes amis m’appellent?
Souvent c’était la soupe à la grimace, les résultats du gamin n’étant pas flamboyants, Alors s’entamaient de longues discussions, Sous forme de grandes négociations, Tout cela pour pouvoir, être en soirée, près et pimpants.
Il faut vous dire, qu’à cette époque, la rue était sûre, Il n’y avait pas besoin de sortir, en armure, Une sorte de paix bienveillante, était en vigueur, Ce n’était pas comme à l’heure actuelle, les villes de la terreur.
Comme si nous étions de la vraie planète terre, Et que point était nécessaire, de mettre toutes les conventions par terre, Pour un vieux comme moi, on dira que c’était le bon temps, Et que les heures du soir s’écoulant, n’amenaient pas pour les gens, du mauvais temps.
Très difficile d’imaginer, cela maintenant, On a presque l’impression, que cela se passait, sur une autre planète, Relégués que nous sommes, à l’heure actuelle, à nous protéger à chaque instant. Il y a eu comme un tsunami social, qui a engendré la mort de notre planète.
Entraînant une dislocation de la société, Où le crime est devenu banal, Où on voit tous les jours des faits divers au journal, De la télévision, ou des nouvelles sur le web, en majorité.
Suis-je pessimiste, je ne le crois pas, J’aurais voulu faire, une ode à la nuit, A la douceur de la vie, dans la nuit, Mais je n’ai pas pu, cela, avec la réalité, ne collerait pas.
©NUIT POEME DE THOMAS ANDRE©
RépondreSupprimerAussi loin que je m’en souvienne,
Lorsque petit, la disparition du jour,
Etait pour moi, comme une souffrance, due à cette obscurité,
Tout se transformait, par rapport à la vérité du jour.
Lorsque ces ombres, se multipliaient, et que je jetais un œil derrière moi,
Comme si quelqu’un était après moi,
Lors de l’adolescence, le soir devint symbole de sorties,
Et là, pour en profiter, il ne fallait pas être privé de sorties.
Que ceux, qui ont connu le temps des parents plus stricts, se rappellent,
La demande pour aller dehors, était une sacrée procédure,
Et le travail d’écolier devait être terminé, avant de se lancer dans cette ouverture,
Est-ce que je peux sortir, mes amis m’appellent?
Souvent c’était la soupe à la grimace, les résultats du gamin n’étant pas flamboyants,
Alors s’entamaient de longues discussions,
Sous forme de grandes négociations,
Tout cela pour pouvoir, être en soirée, près et pimpants.
Il faut vous dire, qu’à cette époque, la rue était sûre,
Il n’y avait pas besoin de sortir, en armure,
Une sorte de paix bienveillante, était en vigueur,
Ce n’était pas comme à l’heure actuelle, les villes de la terreur.
Comme si nous étions de la vraie planète terre,
Et que point était nécessaire, de mettre toutes les conventions par terre,
Pour un vieux comme moi, on dira que c’était le bon temps,
Et que les heures du soir s’écoulant, n’amenaient pas pour les gens, du mauvais temps.
Très difficile d’imaginer, cela maintenant,
On a presque l’impression, que cela se passait, sur une autre planète,
Relégués que nous sommes, à l’heure actuelle, à nous protéger à chaque instant.
Il y a eu comme un tsunami social, qui a engendré la mort de notre planète.
Entraînant une dislocation de la société,
Où le crime est devenu banal,
Où on voit tous les jours des faits divers au journal,
De la télévision, ou des nouvelles sur le web, en majorité.
Suis-je pessimiste, je ne le crois pas,
J’aurais voulu faire, une ode à la nuit,
A la douceur de la vie, dans la nuit,
Mais je n’ai pas pu, cela, avec la réalité, ne collerait pas.