mercredi 17 juillet 2013

©EXCENTRICITE POEME THOMAS ANDRE PHOTOS WEB PHOTOS&PHOTOS PEINTURES MART...

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  1. ©EXCENTRICITE POEME DE THOMAS ANDRE©


    Notre époque est devenue celle de l’excentricité,
    Comment, au temps des médias, et d’Internet, se faire remarquer,
    La simplicité, n’est pas de mise, seule, peut payer, l’excentricité,
    Le choquant, le provoquant amènent l’intérêt pour être remarquer.

    Le mauvais goût est surestimé,
    La provocation en est le signe,
    Tout être normal, est considéré, comme trop commun, et donc sous estimé,
    Le hors norme, est montré comme insigne.

    Savoir se faire remarquer dans notre temps, c’est ne pas laisser indifférent,
    C’est envoyer un signal, du tout permis,
    Et que l’inabordable est proscrit,
    Quelle tristesse, que pour pouvoir se sentir exister il faut être différent,


    Peut- être que ne sait on pas, que chaque être est unique,
    Et que point ne sert de se montrer, avec n’ importe où sans tunique,
    Pour pouvoir se faire apprécier,
    Cette recherche est une fuite, contre son moi, pour être apprécié.


    L’erreur vient de notre société de consommation,
    Ou plutôt de consumation,
    De l’individu, des médias qui mangent du scoop et de l’information,
    Sans se poser la vraie question?

    Quel avenir, pour ceux, qui encensent, et brûlent leurs idoles,
    Au point de les idolâtrés un jour, et de les sacrifiés le lendemain,
    Sans que bien souvent, on n’est compris pourquoi, on a était, et on n’est plus idoles,
    La mode, l’air, le temps, l’exposition médiatique, fabriquent des gens sans lendemains.

    Pourtant nous, humains avons une histoire,
    Un formidable temps parcouru,pour pouvoir être de cette histoire,
    Comment peut on imaginer,que l’homme puisse se substituer à DIEU,
    Pour créer des personnages,dont ils ne gèrent pas le destin,lui,qui n’est pas DIEU.

    Notre époque se caractérise en une phrase: paraître pour être,
    Pourtant être, est la vraie vie de tous les jours,
    L'apparence, est le subterfuge de la vie, et de notre toujours,
    c'est l'extraction, soit par le virtuel, soit par le rôle, comme au cinéma, de l'être.

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